Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Brazil
par Mathieu Beaudou
A dirty shame flingue le politiquement correct et la bienséance à bout portant comme il le faisait à la grande époque de Divine. Graveleux, oui! Too much, oui! Crétin, oui! Blasphématoire, oh oui!
L'Humanité
par Jean Roy et Dominique Widemann
(...) atroce, corrosif, explosif et, avouons-le, jouissif.
Paris Match
par Alain Spira
Grossier, potache, anar, anal, buccal, A dirty shame, satyre sur tout ce qui couche ! (...) Alors si, comme John Waters, vous préférez les seins aux saints, vous adorerez ce fait qui fait enfin grimper le septième art au septième ciel.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Fausto Fasulo
Sorte d'Invasion Los Angeles revisitée version cul, A dirty shame est un délirant chahut au rythme infernal, aussi fendard que cheap. L'impact est certes incomparable à la claque d'un Pink Flamingos en son temps, mais le résultat n'en est pas moins réjouissant.
Première
par Gérard Delorme
Les aficionados de Waters retrouveront son style visuel inimitable. (...) Mais ici, comme dans ses autres films, le vrai plaisir naît de ses scripts méticuleux remplis de dialogues gratinés et de références à toute sorte de sous-cultures.
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
John Waters, le roi du mauvais goût, est de retour, qui dynamite les règles du politiquement correct et défie tous les tartuffes de la Terre avec un culot conséquent et une bonne humeur communicative.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
John Waters en pleine forme revient à son cinéma outrancier des années 70. Pour les amateurs d'humour (dé)culotté qui n'ont pas froid aux yeux, un véritable bijou de second degré qu'il n'est pas interdit de voir au premier degré pour en apprécier toutes les saveurs interdites.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Il y a bien quelques scènes, dans Dirty shame, qui valent leur pesant d'or (l'arrivée d'un trio de gays zozos dans le quartier, l'apparition vers la fin de David Hasselhoff), mais l'ensemble, éloge d'une pornocratie beatnik plus ou moins sénile, crisse poussivement dans son heure vingt-neuf -durée affreuse.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
par Elisabeth Quin
Regarder un film de John Waters est épuisant. (...) On en sort néanmoins requinqué. "A dirty shame" sera profitable à tous les fans frustrés par le moyen "Cecil B. Demented", mais aussi aux spectateurs en partance pour des séjours linguistiques dans l'Amérique de George Bush.
France Soir
par Richard Gianorio
Si "A dirty shame", film plus "cheap" que sulfureux, tourne rapidement à vide et radote les mêmes gags, il a le mérite de bousculer l'Amérique puritaine de Bush, celle que Waters, grand subversif, ne peut pas approuver (...)
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Déception : la rencontre explosive entre Waters et Knoxville se solde par une comédie , certes alerte, mais trop timorée et faussement subversive.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
Puisque Waters va constamment à fond les manettes sans trop se charger de subtilité, accordons-lui le privilège de la candeur : sa perversité est toute de naïveté et d'enluminure, visant à composer, autour de l'obsession du sexe et de la nymphomanie, une série de vignettes imagées d'une drôlerie certaine.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Avec A Dirty shame, l'égérie du cinéma choc a l'air largué. En effet, son style volontairement exagéré, s'il fait mouche sur certaines scènes bien senties, tombe le plus souvent à l'eau. Car cette débauche d'humour " trash " et d'hystérie semble davantage cacher le peu de construction du scénario et l'absence d'idées nouvelles, que diriger un véritable propos. Certes, il est toujours efficace pour dénoncer la pudibonderie et les frustrations américaines, mais il sombre dans des gags faciles et peu originaux, peu propices à toute réflexion sarcastique. Les acteurs, s'en donnant à coeur joie, sont les seuls réels points forts du film, donnant une vraie folie à un script qui n'en a que finalement peu.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par François Forestier
Waters se délecte : c'est souvent drôle, toujours pittoresque, pas tout à fait aussi choquant que le cinéaste l'aimerait (...). Waters pépère ? Pas encore tout à fait. Mais, entre deux rires, on sent que ça vient.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Yasmine Youssi
Waters retrouve ses thèmes de prédilection, scatologie comprise. On lui a connu des scénarios plus construits. Mais le film est éminemment subversif.
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) le sentiment s'impose d'être face à une satire à la fois réservée (de cette effervescence sexuelle rien n'est vraiment visible) et datée, limitée à une succession de vignettes se satisfaisant à bon compte d'une hypothétique audace qui en ferait admettre la laideur insistante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Grégory Valens
John Waters fut, à défaut d'être un grand cinéaste, un roi de la provocation. On l'aima davantage lorsqu'il s'essaya au pastiche, avec réussite (Cry Baby) ou au moins humour et efficacité (Serial Mon). Las, son dernier film marque une tentative désastreuse de renouer avec le goût de la provocation dans une époque qui en a vu d'autres.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Rolling Stone
par La rédaction
On aurait aimer adorer le nouveau John Waters. Mais ce fourre-tout sur les perversions sexuelles est une autoparodie navrante du maître du mauvais goût, qui finit presque par contredire son message pro-cul. Un comble!
Télérama
par Pierre Murat
Cette ode au sexe triomphant est si totalement nulle qu'elle risque de devenir culte. Mais attendez plutôt la sortie en DVD pour organiser, entre copains, des soirées rigolotes ou crapuleuses.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
A dirty shame flingue le politiquement correct et la bienséance à bout portant comme il le faisait à la grande époque de Divine. Graveleux, oui! Too much, oui! Crétin, oui! Blasphématoire, oh oui!
L'Humanité
(...) atroce, corrosif, explosif et, avouons-le, jouissif.
Paris Match
Grossier, potache, anar, anal, buccal, A dirty shame, satyre sur tout ce qui couche ! (...) Alors si, comme John Waters, vous préférez les seins aux saints, vous adorerez ce fait qui fait enfin grimper le septième art au septième ciel.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Mad Movies
Sorte d'Invasion Los Angeles revisitée version cul, A dirty shame est un délirant chahut au rythme infernal, aussi fendard que cheap. L'impact est certes incomparable à la claque d'un Pink Flamingos en son temps, mais le résultat n'en est pas moins réjouissant.
Première
Les aficionados de Waters retrouveront son style visuel inimitable. (...) Mais ici, comme dans ses autres films, le vrai plaisir naît de ses scripts méticuleux remplis de dialogues gratinés et de références à toute sorte de sous-cultures.
Télé 7 Jours
John Waters, le roi du mauvais goût, est de retour, qui dynamite les règles du politiquement correct et défie tous les tartuffes de la Terre avec un culot conséquent et une bonne humeur communicative.
aVoir-aLire.com
John Waters en pleine forme revient à son cinéma outrancier des années 70. Pour les amateurs d'humour (dé)culotté qui n'ont pas froid aux yeux, un véritable bijou de second degré qu'il n'est pas interdit de voir au premier degré pour en apprécier toutes les saveurs interdites.
Cahiers du Cinéma
Il y a bien quelques scènes, dans Dirty shame, qui valent leur pesant d'or (l'arrivée d'un trio de gays zozos dans le quartier, l'apparition vers la fin de David Hasselhoff), mais l'ensemble, éloge d'une pornocratie beatnik plus ou moins sénile, crisse poussivement dans son heure vingt-neuf -durée affreuse.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Regarder un film de John Waters est épuisant. (...) On en sort néanmoins requinqué. "A dirty shame" sera profitable à tous les fans frustrés par le moyen "Cecil B. Demented", mais aussi aux spectateurs en partance pour des séjours linguistiques dans l'Amérique de George Bush.
France Soir
Si "A dirty shame", film plus "cheap" que sulfureux, tourne rapidement à vide et radote les mêmes gags, il a le mérite de bousculer l'Amérique puritaine de Bush, celle que Waters, grand subversif, ne peut pas approuver (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Déception : la rencontre explosive entre Waters et Knoxville se solde par une comédie , certes alerte, mais trop timorée et faussement subversive.
Libération
Puisque Waters va constamment à fond les manettes sans trop se charger de subtilité, accordons-lui le privilège de la candeur : sa perversité est toute de naïveté et d'enluminure, visant à composer, autour de l'obsession du sexe et de la nymphomanie, une série de vignettes imagées d'une drôlerie certaine.
MCinéma.com
Avec A Dirty shame, l'égérie du cinéma choc a l'air largué. En effet, son style volontairement exagéré, s'il fait mouche sur certaines scènes bien senties, tombe le plus souvent à l'eau. Car cette débauche d'humour " trash " et d'hystérie semble davantage cacher le peu de construction du scénario et l'absence d'idées nouvelles, que diriger un véritable propos. Certes, il est toujours efficace pour dénoncer la pudibonderie et les frustrations américaines, mais il sombre dans des gags faciles et peu originaux, peu propices à toute réflexion sarcastique. Les acteurs, s'en donnant à coeur joie, sont les seuls réels points forts du film, donnant une vraie folie à un script qui n'en a que finalement peu.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Waters se délecte : c'est souvent drôle, toujours pittoresque, pas tout à fait aussi choquant que le cinéaste l'aimerait (...). Waters pépère ? Pas encore tout à fait. Mais, entre deux rires, on sent que ça vient.
Zurban
Waters retrouve ses thèmes de prédilection, scatologie comprise. On lui a connu des scénarios plus construits. Mais le film est éminemment subversif.
Le Monde
(...) le sentiment s'impose d'être face à une satire à la fois réservée (de cette effervescence sexuelle rien n'est vraiment visible) et datée, limitée à une succession de vignettes se satisfaisant à bon compte d'une hypothétique audace qui en ferait admettre la laideur insistante.
Positif
John Waters fut, à défaut d'être un grand cinéaste, un roi de la provocation. On l'aima davantage lorsqu'il s'essaya au pastiche, avec réussite (Cry Baby) ou au moins humour et efficacité (Serial Mon). Las, son dernier film marque une tentative désastreuse de renouer avec le goût de la provocation dans une époque qui en a vu d'autres.
Rolling Stone
On aurait aimer adorer le nouveau John Waters. Mais ce fourre-tout sur les perversions sexuelles est une autoparodie navrante du maître du mauvais goût, qui finit presque par contredire son message pro-cul. Un comble!
Télérama
Cette ode au sexe triomphant est si totalement nulle qu'elle risque de devenir culte. Mais attendez plutôt la sortie en DVD pour organiser, entre copains, des soirées rigolotes ou crapuleuses.