Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Première
par Gérard Delorme
Ce qui hisse le film au-dessus de la moyenne, c'est le degré de conviction qui a été mis dans sa fabrication. (...) Tout à l'air vrai parce que tout est vrai, les extérieurs comme les requins.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une nouvelle version du "Grand Bleu", la poésie en moins, l'action en plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La Rédaction
Et tant pis s'il n'y a que du cliché, de l'ineptie et de la niaiserie dans un scénario transparent comme les fonds sous-marins. C'est quand même un film de saison, frais et exotique (...)
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Score
par Emmanuelle Spadacenta
Désespérément creux mais beau à regarder, le principal intérêt du film restant le torse de Paul Walker. Et pour votre plus grand plaisir messieurs : les multi-angles des popotins de Ashley Scott et Jessica Alba (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
(...) une série B que l'on dégustera au retour de la plage et oubliera sitôt vue.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Déjà dure à avaler cinématographiquement parlant, la pilule est catégoriquement contre indiquée pour ceux qui devrait partir au bord de la mer après le visionnage du film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme et Jean-Philippe Tessé
Pauvre Stockwell obligé de filmer une enquête, la tentation de l'or blanc, les narcotraficants bagués, alors que ce beach boy , en éternel juilletiste, ne craque que pour Galak : bleu profond, bleu d'enfer, bikinis minis, mines bronzées (...) Un été sans nanar serait bien long.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Obs
par Bernard Achour
Tout dans les muscles, rien dans la tête.
Le Monde
par Jérome Provencal
Lorgnant complaisamment vers le public adolescent, John Stockwell multiplie les effets spéciaux aussi aseptisés que son quatuor d'acteurs principaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Charlotte Moreau
Rien de bouillant (...) côté scénario : quand il n'est pas tiré par les cheveux (...) il se révèle prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Laurent Duroche
(...) Bleu d'enfer se révèle être un nanar luxueux ultra calibré, où un cast 100 % " jeune et jolie approved " masque à peine l'aspect carte postale d'une production sans âme ni originalité.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Première
Ce qui hisse le film au-dessus de la moyenne, c'est le degré de conviction qui a été mis dans sa fabrication. (...) Tout à l'air vrai parce que tout est vrai, les extérieurs comme les requins.
Le Journal du Dimanche
Une nouvelle version du "Grand Bleu", la poésie en moins, l'action en plus.
Ouest France
Et tant pis s'il n'y a que du cliché, de l'ineptie et de la niaiserie dans un scénario transparent comme les fonds sous-marins. C'est quand même un film de saison, frais et exotique (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Score
Désespérément creux mais beau à regarder, le principal intérêt du film restant le torse de Paul Walker. Et pour votre plus grand plaisir messieurs : les multi-angles des popotins de Ashley Scott et Jessica Alba (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
(...) une série B que l'on dégustera au retour de la plage et oubliera sitôt vue.
aVoir-aLire.com
Déjà dure à avaler cinématographiquement parlant, la pilule est catégoriquement contre indiquée pour ceux qui devrait partir au bord de la mer après le visionnage du film.
Cahiers du Cinéma
Pauvre Stockwell obligé de filmer une enquête, la tentation de l'or blanc, les narcotraficants bagués, alors que ce beach boy , en éternel juilletiste, ne craque que pour Galak : bleu profond, bleu d'enfer, bikinis minis, mines bronzées (...) Un été sans nanar serait bien long.
L'Obs
Tout dans les muscles, rien dans la tête.
Le Monde
Lorgnant complaisamment vers le public adolescent, John Stockwell multiplie les effets spéciaux aussi aseptisés que son quatuor d'acteurs principaux.
Le Parisien
Rien de bouillant (...) côté scénario : quand il n'est pas tiré par les cheveux (...) il se révèle prévisible.
Mad Movies
(...) Bleu d'enfer se révèle être un nanar luxueux ultra calibré, où un cast 100 % " jeune et jolie approved " masque à peine l'aspect carte postale d'une production sans âme ni originalité.