Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...) Le nouveau film de Claude Chabrol est un petit bijou , ciselé par un orfèvre qui nous a tellement habitués à la qualité qu'il est presque devenu de bon ton de faire la moue quand on prononce son seul nom.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Elle
par Elisabeth Quin
Très noir et réussi, le film est la chronique de l'emboîtement parfait de deux névroses. L'amour est aveugle ? Chabrol lui rend la vue.
La critique complète est disponible sur le site Elle
France Soir
par Richard Gianorio
Claude chabrol avait déjà adapté La cérémonie, avec Sandrine Bonnaire et Isabelle Huppert. Cette fois-ci, le choix de "chacha" s'est porté sur La Demoiselle d'honneur, qu'il a transposé avec sa perversité rouée dans la classe (très)moyenne provincial.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Claude Chabrol change de direction. La Demoiselle d'honneur, adapté d'un roman de Ruth Rendell, marque une bifurcation d'autant plus notable qu'elle est discrète, subtile, expression d'une maturité assurée, consciente d'elle-même et résolue à aller toujours plus loin dans la construction d'un univers personnel, à mille lieux d'un cinéma français au réalisme paresseux et au naturalisme peureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Fabien Bauman
L'une des oeuvres de Chabrol les plus convaincantes de la décennie, parce que dense, compacte, et pour une fois dénuée de toute complaisance.
Première
par Olivier De Bruyn
Il y a dix ans, Claude Chabrol signait l'un de ses meilleurs films en adaptant un livre de la romancière anglaise, La Cérémonie. Aujourd'hui, il récidive. Et sa Demoiselle d'honneur -sèche, épurée, enroulée dans les rets de l'inéluctable- frappe un grand coup. (...) La mise en scène de Chabrol entraîne là où l'on respire avec difficulté. Délicieuse asphyxie.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
La Demoiselle d'honneur glisse de la description, classique chez Chabrol, de la classe moyenne provinciale à celle, tout aussi convaincante, du psychisme perturbé de l'héroïne.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
(...) en compagnie de Laura Smet, ambiguë sans efforts, et de Benoît Magimel sous influence, idéalement dépassé, un nouveau rendez-vous délectable et sans conséquences.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Addison De Witt
L'intrigue criminelle passe au second plan de la description minutieuse des comportements (...) que le cinéaste examine avec son oeil à la fois ironique et empathique. Tous les acteurs sont épatants, et jouent sur la même portée cette nouvelle partition chabrolienne.
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
S'il est vrai que l'intrigue est d'une banalité absolue (...), Chabrol l'utilise en réalité pour scruter la limite entre la folie et raison et nous entraîne, avec un malin plaisir, dans une descente aux enfers. Comme à l'accoutumée, La demoiselle d'honneur ravira les admirateurs du cinéaste et énervera ses détracteurs qui lui reprocheront de toujours refaire le même film... Peut-être, mais il le fait si bien !
Aden
par Philippe Piazzo
On préfère Chabrol en grand chef, comme lorsqu'il nous offre La Cérémonie, thriller aiguisé et glaçant d'après un roman de Ruth Rendell (...). Chabrol s'amuse. Mais souvent sans nous, tant on a l'impression de l'avoir déjà vu signer ce genre de film, en mieux.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Dix ans après La Cérémonie, il est clair que Chabrol ambitionne de moins en moins le chef-d'oeuvre, et de plus en plus le confort d'une espèce d'anonymat esthétique. Il y atteint avec cette Demoiselle d'honneur, mol imbroglio de kidnapping, d'amour fou, d'héroïne mytho, de jeune cadre dynamique puis dépassé. Intrigue sans suspense ni issue véritables d'où sort un tout petit Chabrol, supérieur néanmoins à la précédente Fleur du Mal.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
par Philippe AZOURY
Cela fait quelque temps que rien ne va plus dans la maison Chabrol. C'est loin d'être un scoop : l'auteur ne fait même plus semblant de masquer le manque d'ambition de ses films récents. La petite entreprise sonne comme une machinerie à la tuyauterie rouillée. Mais il suffit (...) de regarder Chabrol filmer longuement un échange courtois entre un entrepreneur et une vioque autour d'un problème d'installation chauffagiste, pour comprendre qu'il lui reste au moins l'ironie salutaire envers lui-même comme la méchanceté à l'égard du petit jeu social.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Il y a de mauvaises années, et le Chabrol cru 2004 déçoit. Pas franchement ennuyeuse, même si un brin soporifique, sa Demoiselle d'honneur délaisse cette fois la grande bourgeoisie et nous entraîne dans la banlieue de Nantes, au sein d'une classe moyenne laborieuse pour une ambiance toujours aussi plombante. Seul intérêt de ce film au scénario cousu de fil blanc : pousser avec force perversion le spectateur à vivre de l'intérieur le dilemme et la longue descente aux enfers du personnage de Benoît Magimel, amoureux de la mauvaise femme.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Claude Chabrol adapte de nouveau un roman de Ruth Rendell, cette orfèvre de la pathologie criminelle féminine. C'est assez subtil, et Laura Smet ne manque pas de charme, mais il lui aurait fallu un véritable charisme pour que le film apporte le vertige souhaité.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Il n'est plus temps, depuis belle lurette, de dire à quoi carbure la mécanique d'un vieux briscard comme Chabrol. Les films enchaînés comme les briques d'un mur, un par an, sur un rythme paradoxal que l'on devine tout sauf stakhanoviste. (...) Grimace sans relief de vieux singe, le film se noie très vite dans un ronron grisâtre, exécuté sans inspiration.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) Le nouveau film de Claude Chabrol est un petit bijou , ciselé par un orfèvre qui nous a tellement habitués à la qualité qu'il est presque devenu de bon ton de faire la moue quand on prononce son seul nom.
Elle
Très noir et réussi, le film est la chronique de l'emboîtement parfait de deux névroses. L'amour est aveugle ? Chabrol lui rend la vue.
France Soir
Claude chabrol avait déjà adapté La cérémonie, avec Sandrine Bonnaire et Isabelle Huppert. Cette fois-ci, le choix de "chacha" s'est porté sur La Demoiselle d'honneur, qu'il a transposé avec sa perversité rouée dans la classe (très)moyenne provincial.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Claude Chabrol change de direction. La Demoiselle d'honneur, adapté d'un roman de Ruth Rendell, marque une bifurcation d'autant plus notable qu'elle est discrète, subtile, expression d'une maturité assurée, consciente d'elle-même et résolue à aller toujours plus loin dans la construction d'un univers personnel, à mille lieux d'un cinéma français au réalisme paresseux et au naturalisme peureux.
Positif
L'une des oeuvres de Chabrol les plus convaincantes de la décennie, parce que dense, compacte, et pour une fois dénuée de toute complaisance.
Première
Il y a dix ans, Claude Chabrol signait l'un de ses meilleurs films en adaptant un livre de la romancière anglaise, La Cérémonie. Aujourd'hui, il récidive. Et sa Demoiselle d'honneur -sèche, épurée, enroulée dans les rets de l'inéluctable- frappe un grand coup. (...) La mise en scène de Chabrol entraîne là où l'on respire avec difficulté. Délicieuse asphyxie.
TéléCinéObs
La Demoiselle d'honneur glisse de la description, classique chez Chabrol, de la classe moyenne provinciale à celle, tout aussi convaincante, du psychisme perturbé de l'héroïne.
Télérama
(...) en compagnie de Laura Smet, ambiguë sans efforts, et de Benoît Magimel sous influence, idéalement dépassé, un nouveau rendez-vous délectable et sans conséquences.
Zurban
L'intrigue criminelle passe au second plan de la description minutieuse des comportements (...) que le cinéaste examine avec son oeil à la fois ironique et empathique. Tous les acteurs sont épatants, et jouent sur la même portée cette nouvelle partition chabrolienne.
aVoir-aLire.com
S'il est vrai que l'intrigue est d'une banalité absolue (...), Chabrol l'utilise en réalité pour scruter la limite entre la folie et raison et nous entraîne, avec un malin plaisir, dans une descente aux enfers. Comme à l'accoutumée, La demoiselle d'honneur ravira les admirateurs du cinéaste et énervera ses détracteurs qui lui reprocheront de toujours refaire le même film... Peut-être, mais il le fait si bien !
Aden
On préfère Chabrol en grand chef, comme lorsqu'il nous offre La Cérémonie, thriller aiguisé et glaçant d'après un roman de Ruth Rendell (...). Chabrol s'amuse. Mais souvent sans nous, tant on a l'impression de l'avoir déjà vu signer ce genre de film, en mieux.
Cahiers du Cinéma
Dix ans après La Cérémonie, il est clair que Chabrol ambitionne de moins en moins le chef-d'oeuvre, et de plus en plus le confort d'une espèce d'anonymat esthétique. Il y atteint avec cette Demoiselle d'honneur, mol imbroglio de kidnapping, d'amour fou, d'héroïne mytho, de jeune cadre dynamique puis dépassé. Intrigue sans suspense ni issue véritables d'où sort un tout petit Chabrol, supérieur néanmoins à la précédente Fleur du Mal.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Cela fait quelque temps que rien ne va plus dans la maison Chabrol. C'est loin d'être un scoop : l'auteur ne fait même plus semblant de masquer le manque d'ambition de ses films récents. La petite entreprise sonne comme une machinerie à la tuyauterie rouillée. Mais il suffit (...) de regarder Chabrol filmer longuement un échange courtois entre un entrepreneur et une vioque autour d'un problème d'installation chauffagiste, pour comprendre qu'il lui reste au moins l'ironie salutaire envers lui-même comme la méchanceté à l'égard du petit jeu social.
MCinéma.com
Il y a de mauvaises années, et le Chabrol cru 2004 déçoit. Pas franchement ennuyeuse, même si un brin soporifique, sa Demoiselle d'honneur délaisse cette fois la grande bourgeoisie et nous entraîne dans la banlieue de Nantes, au sein d'une classe moyenne laborieuse pour une ambiance toujours aussi plombante. Seul intérêt de ce film au scénario cousu de fil blanc : pousser avec force perversion le spectateur à vivre de l'intérieur le dilemme et la longue descente aux enfers du personnage de Benoît Magimel, amoureux de la mauvaise femme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Claude Chabrol adapte de nouveau un roman de Ruth Rendell, cette orfèvre de la pathologie criminelle féminine. C'est assez subtil, et Laura Smet ne manque pas de charme, mais il lui aurait fallu un véritable charisme pour que le film apporte le vertige souhaité.
Chronic'art.com
Il n'est plus temps, depuis belle lurette, de dire à quoi carbure la mécanique d'un vieux briscard comme Chabrol. Les films enchaînés comme les briques d'un mur, un par an, sur un rythme paradoxal que l'on devine tout sauf stakhanoviste. (...) Grimace sans relief de vieux singe, le film se noie très vite dans un ronron grisâtre, exécuté sans inspiration.
Ciné Live
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