Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
(...) 800 balles arrive au bon moment pour pointer réussite et limites de la jeune garde du cinéma de genre espagnol : un drôle de mélange de fraîcheur et de morbidité qui, sans rien révolutionner, demeure bien au-dessus de son homologue français sans repères.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinéastes
par Emmanuel Vincenot
Alex de la Iglesia prouve une fois de plus sa capacité à faire cohabiter divertissements, cinéphilie et discours politique dans ce faux western délirant où les vrais enjeux sont avant tout sociaux et culturels.
MCinéma.com
par Camille Brun
Alex De La Iglesia fait de la série B. Il le sait, le revendique, s'en amuse. En fait, jusqu'à son clin d'oeil final culotté, le film nous rappelle qu'avant d'être des classiques du cinéma, les westerns spaghettis étaient des parodies. D'autant plus marquantes qu'elles aimaient leur sujet référent... Comme 800 BALLES en quelque sorte.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par Gilles Renault
"800 balles" assume un parti pris nostalgique, dans cette comédie gentiment réac qui, proche de l'esprit des Mocky d'antan, rue dans les brancards de la bienséance.
Première
par Christophe Narbonne
Plus élaborée qu'à l'accoutumée, l'intrigue évoque avec nostalgie un certain âge d'or du cinéma, explore avec pudeur les rapports filiaux mais aurait gagné à être dégraissée.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
L'idée est belle et l'aspect burlesque et parodique choisi par Alex de la Iglesia (...) s'avère souvent réjouissant. Dommage que le manque de rigueur de la mise en scène ne permette pas d'exploiter davantage l'originalité du scénario.
Télérama
par Jérémie Couston
L'hommage aux riches heures d'Almería, décor mythique du western européen, est parasité par un imbroglio familial désespérant de clichés. La parodie de parodie épuise. Et le serpent à sonnette se mord la queue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Richard Vantielcke
Magnifique hommage à ce qu'est (était ?) le cinéma et touchante allégorie de son principal artisan, "800 balles" est un véritable pied de nez contestataire en forme de lancer de bombes à eau sur des huissiers venus réclamer vos meubles. Malheureusement, Alex de la Iglesia a tendance à prendre son temps et à s'attarder sur des scènes qui permettent certes d'aborder un final particulièrement émouvant, mais au risque de faire subir à son métrage de grosses baisses de rythme.
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Il est difficile de saisir le projet exact de 800 balles. Le film, qui se veut un hommage à cette époque où se multipliaient les tournages de westerns made in Cinecitta, hésite constamment entre le drame psychologique, la parodie, la farce picaresque. Le mélange des genres est un art difficile. Quand c'est raté, qu'est-ce qu'on s'ennuie. Surtout quand ça dure deux heures.
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Un western-chorizo pastiche au manichéisme rampant.
Chronic'art.com
(...) 800 balles arrive au bon moment pour pointer réussite et limites de la jeune garde du cinéma de genre espagnol : un drôle de mélange de fraîcheur et de morbidité qui, sans rien révolutionner, demeure bien au-dessus de son homologue français sans repères.
Cinéastes
Alex de la Iglesia prouve une fois de plus sa capacité à faire cohabiter divertissements, cinéphilie et discours politique dans ce faux western délirant où les vrais enjeux sont avant tout sociaux et culturels.
MCinéma.com
Alex De La Iglesia fait de la série B. Il le sait, le revendique, s'en amuse. En fait, jusqu'à son clin d'oeil final culotté, le film nous rappelle qu'avant d'être des classiques du cinéma, les westerns spaghettis étaient des parodies. D'autant plus marquantes qu'elles aimaient leur sujet référent... Comme 800 BALLES en quelque sorte.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
"800 balles" assume un parti pris nostalgique, dans cette comédie gentiment réac qui, proche de l'esprit des Mocky d'antan, rue dans les brancards de la bienséance.
Première
Plus élaborée qu'à l'accoutumée, l'intrigue évoque avec nostalgie un certain âge d'or du cinéma, explore avec pudeur les rapports filiaux mais aurait gagné à être dégraissée.
TéléCinéObs
L'idée est belle et l'aspect burlesque et parodique choisi par Alex de la Iglesia (...) s'avère souvent réjouissant. Dommage que le manque de rigueur de la mise en scène ne permette pas d'exploiter davantage l'originalité du scénario.
Télérama
L'hommage aux riches heures d'Almería, décor mythique du western européen, est parasité par un imbroglio familial désespérant de clichés. La parodie de parodie épuise. Et le serpent à sonnette se mord la queue.
aVoir-aLire.com
Magnifique hommage à ce qu'est (était ?) le cinéma et touchante allégorie de son principal artisan, "800 balles" est un véritable pied de nez contestataire en forme de lancer de bombes à eau sur des huissiers venus réclamer vos meubles. Malheureusement, Alex de la Iglesia a tendance à prendre son temps et à s'attarder sur des scènes qui permettent certes d'aborder un final particulièrement émouvant, mais au risque de faire subir à son métrage de grosses baisses de rythme.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Il est difficile de saisir le projet exact de 800 balles. Le film, qui se veut un hommage à cette époque où se multipliaient les tournages de westerns made in Cinecitta, hésite constamment entre le drame psychologique, la parodie, la farce picaresque. Le mélange des genres est un art difficile. Quand c'est raté, qu'est-ce qu'on s'ennuie. Surtout quand ça dure deux heures.
Les Inrockuptibles
Un western-chorizo pastiche au manichéisme rampant.