Présentateur vedette : la légende de Ron Burgundy : Critique presse
Présentateur vedette : la légende de Ron Burgundy
Note moyenne
3,5
6 titres de presse
Brazil
L'Express
Le Monde
Cahiers du Cinéma
Ciné Live
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Brazil
par Olivier Rodriguez
Costumes stylés, permanentes huilées, pattes d'eph' repassées, dans ce décours en forme de licence poétique, Ferrel [...] l'acteur-auteur s'est torché un rôle à sa mesure. Autant à l'aise dans le verbe - dix ans de télé... - que pour le visuel , les répliques claquent entre deux gags volés à Buster Keaton.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les gags "gênants", construits sur d'hilarantes et scabreuses situations, se multiplient allégrement alors que la structure classique des récits hollywoodiens (chute et rédemption) est aimablement brocardée. Présentateur vedette trouve (...) une énergie qui ne relève pas tant de la satire (encore que...) que de la peinture (nostalgique) d'un paradis enfantin et libidineux, régressif et féroce, machiste et ludique. (...)Le burlesque est aujourd'hui le dernier refuge d'une certaine liberté à Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Après trois minutes en suspension, La Légende... abandonne le filon excitant de la présentation du 20 heures pour n'être que comédie couillocentrée (...) Accablement ? Consternation ? Pas tant que ça. Content, plutôt de se souvenir (...) que toutes les cinématographies du monde comptent encore (...) deux ou trois élèves même régressifs puisque jamais grandis ; que cette race aura bientôt disparu, d'où une certaine bienveillance à la voir déballer sa panoplie de coussins péteurs.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Arnold
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Première
par Christian Jauberty
Star aux Etats-Unis, toujours anonyme en France, Ferrel domine cette comédie incroyablement inégale, capable d'asséner un gag franchement hilarent avant de se prendre lamentablement les pieds dans le tapis. Mais quand c'est drôle, c'est drôle. Alors...
La critique complète est disponible sur le site Première
Brazil
Costumes stylés, permanentes huilées, pattes d'eph' repassées, dans ce décours en forme de licence poétique, Ferrel [...] l'acteur-auteur s'est torché un rôle à sa mesure. Autant à l'aise dans le verbe - dix ans de télé... - que pour le visuel , les répliques claquent entre deux gags volés à Buster Keaton.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Les gags "gênants", construits sur d'hilarantes et scabreuses situations, se multiplient allégrement alors que la structure classique des récits hollywoodiens (chute et rédemption) est aimablement brocardée. Présentateur vedette trouve (...) une énergie qui ne relève pas tant de la satire (encore que...) que de la peinture (nostalgique) d'un paradis enfantin et libidineux, régressif et féroce, machiste et ludique. (...)Le burlesque est aujourd'hui le dernier refuge d'une certaine liberté à Hollywood.
Cahiers du Cinéma
Après trois minutes en suspension, La Légende... abandonne le filon excitant de la présentation du 20 heures pour n'être que comédie couillocentrée (...) Accablement ? Consternation ? Pas tant que ça. Content, plutôt de se souvenir (...) que toutes les cinématographies du monde comptent encore (...) deux ou trois élèves même régressifs puisque jamais grandis ; que cette race aura bientôt disparu, d'où une certaine bienveillance à la voir déballer sa panoplie de coussins péteurs.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Star aux Etats-Unis, toujours anonyme en France, Ferrel domine cette comédie incroyablement inégale, capable d'asséner un gag franchement hilarent avant de se prendre lamentablement les pieds dans le tapis. Mais quand c'est drôle, c'est drôle. Alors...