Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
(...) Il n'est pas la peine d'être un fan absolu de Bob Dylan, du protest-song ou de l'Americana pour aimer ce film. Il suffit d'adorer la musique et d'avoir soif de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par La rédaction
"I'm not there" est un voyage, plusieurs voyages même, mais c'est un film d'aujourd'hui, pleinement d'aujourd'hui, traversé par ce vent de liberté qui soufflait alors sur le monde et dont Dylan fut l'inspirateur le plus constant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Kaléidoscope vif et vibrant d'images-madeleines recréées, histoire fantasmée du rock, du cinéma et de la contre-culture en copier-coller accéléré, propulsé par une BO géniale (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
C'est un film comme il ne s'en fabrique plus beaucoup par les temps qui courent (...) Une antibiographie, ou plutôt la radioscopie d'une légende. Un Dylan en portrait chinois, un Dylan en dispersion, implosé, émietté, complexe, un film confus peut-être, mais beau comme un millefeuille.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Le propos est riche, dense, intelligent. Il provoque et il stimule. Il ne ressemble à rien de ce que l'on voit sur les grands écrans. Etrange moment de cinéma.
Positif
par Grégory Valens
(...) I'm Not There bouscule avec un aplomb euphorique et un talent considérable toutes les règles du biopic.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par Caroline Vié
Todd Haynes signe une biographie ludique et brillante de Bob Dylan.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Anne Diatkine
C'est toute l'ambiguïté de ce film, un peu long parfois : les fans de Bob Dylan identifieront sans peine des évènements ou certaines femmes de sa vie alors que l'entreprise de Todd Haynes n'a rien d'une biographie.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
Todd Haynes (...) a (...) fait preuve d'un talent monstre pour dire la compléxité de Dylan le temps d'un film peu ordinaire. "I'm not there" est un puzzle halluciné, déstructuré et d'une puissance esthétique rare.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) un jeu de miroirs sophistiqué dans lequel le moindre détail étoffe le récit de sa signification propre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
(...) le film terminé, on sait qu'on a rêvé les yeux ouverts sur un homme secret. Il fallait oser. Todd Haynes l'a fait.
Paris Match
par Christine Haas
(...) ce portrait fantasmé (...) est surtout accessible aux fans éclairés. Mais les amoureux du 7ème art y trouveront un magnifique spectacle pour les yeux et les oreilles.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Olivier de Bruyn
Inutile de maîtriser son Dylan sur le bout des doigts pour être sensible à ce spectacle unique qui montre qu'un homme n'est jamais seulement un, mais toujours plusieurs... Nom d'un chien : Dylan, c'est nous aussi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par François Gorin
Pour : Paradoxe : de sa folle accumulation de détails, le film tient à la fois sa justesse et ses insuffisance. On a parfois l'impression d'errer dans un musée Dylan dont les six salles communiquent un peu trop bien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Ce beau kaléidoscope d'images qui s'étale sur plus de deux heures séduira les fans de Bob Dylan, les aficionados du cinéaste le plus stimulant de ces vingt dernières années et les autres (si possible).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
On finit par se demander si Haynes n'en fait pas trop ; si emporté par son idée, il n'a pas sacrifié la rigueur esthétique à la tentation de la virtuosité, au plaisir mégalomane d'essayer tous le styles, d'embrasser tout le cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Parisien
par Marie Sauvion
D'accord, il faut s'accrocher un peu. (...) A l'arrivée, pourtant, ce foisonnant kaléidoscope fascinera les plus curieux (...) et rassurera les cinéphiles : le 7è art s'invente encore, alleluia.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Haynes est sans doute un magnifique faiseur d'images, mais son feu d'artifice est sans âme, un peu longuet et manque Bob Dylan, grand absent, malgré tout ce bruit.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Metro
par Jérôme Vermelin
En voulant absolument contourner la formule du biopic en vogue, Todd Haynes (...) bassine le spectateur avec six personnages et six histoires qui évoquent, sans jamais le nommer, une période ou un aspect de la carrière de Bob Dylan.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
(...) l'expérience tourne court : à moins d'être incollable sur la vie et l'oeuvre de Dylan, difficile d'accrocher à cet objet chic et, il faut bien le dire, un peu toc.
Télérama
par Pierre Murat
Contre : Idée enivrante que le réalisateur rend fumeuse, à force de suffisance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
(...) Il n'est pas la peine d'être un fan absolu de Bob Dylan, du protest-song ou de l'Americana pour aimer ce film. Il suffit d'adorer la musique et d'avoir soif de liberté.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
"I'm not there" est un voyage, plusieurs voyages même, mais c'est un film d'aujourd'hui, pleinement d'aujourd'hui, traversé par ce vent de liberté qui soufflait alors sur le monde et dont Dylan fut l'inspirateur le plus constant.
Les Inrockuptibles
Kaléidoscope vif et vibrant d'images-madeleines recréées, histoire fantasmée du rock, du cinéma et de la contre-culture en copier-coller accéléré, propulsé par une BO géniale (...).
Libération
C'est un film comme il ne s'en fabrique plus beaucoup par les temps qui courent (...) Une antibiographie, ou plutôt la radioscopie d'une légende. Un Dylan en portrait chinois, un Dylan en dispersion, implosé, émietté, complexe, un film confus peut-être, mais beau comme un millefeuille.
Ouest France
Le propos est riche, dense, intelligent. Il provoque et il stimule. Il ne ressemble à rien de ce que l'on voit sur les grands écrans. Etrange moment de cinéma.
Positif
(...) I'm Not There bouscule avec un aplomb euphorique et un talent considérable toutes les règles du biopic.
20 Minutes
Todd Haynes signe une biographie ludique et brillante de Bob Dylan.
Elle
C'est toute l'ambiguïté de ce film, un peu long parfois : les fans de Bob Dylan identifieront sans peine des évènements ou certaines femmes de sa vie alors que l'entreprise de Todd Haynes n'a rien d'une biographie.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Todd Haynes (...) a (...) fait preuve d'un talent monstre pour dire la compléxité de Dylan le temps d'un film peu ordinaire. "I'm not there" est un puzzle halluciné, déstructuré et d'une puissance esthétique rare.
Le Monde
(...) un jeu de miroirs sophistiqué dans lequel le moindre détail étoffe le récit de sa signification propre.
MCinéma.com
(...) le film terminé, on sait qu'on a rêvé les yeux ouverts sur un homme secret. Il fallait oser. Todd Haynes l'a fait.
Paris Match
(...) ce portrait fantasmé (...) est surtout accessible aux fans éclairés. Mais les amoureux du 7ème art y trouveront un magnifique spectacle pour les yeux et les oreilles.
Première
Inutile de maîtriser son Dylan sur le bout des doigts pour être sensible à ce spectacle unique qui montre qu'un homme n'est jamais seulement un, mais toujours plusieurs... Nom d'un chien : Dylan, c'est nous aussi.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Pour : Paradoxe : de sa folle accumulation de détails, le film tient à la fois sa justesse et ses insuffisance. On a parfois l'impression d'errer dans un musée Dylan dont les six salles communiquent un peu trop bien.
aVoir-aLire.com
Ce beau kaléidoscope d'images qui s'étale sur plus de deux heures séduira les fans de Bob Dylan, les aficionados du cinéaste le plus stimulant de ces vingt dernières années et les autres (si possible).
Cahiers du Cinéma
On finit par se demander si Haynes n'en fait pas trop ; si emporté par son idée, il n'a pas sacrifié la rigueur esthétique à la tentation de la virtuosité, au plaisir mégalomane d'essayer tous le styles, d'embrasser tout le cinéma américain.
Le Parisien
D'accord, il faut s'accrocher un peu. (...) A l'arrivée, pourtant, ce foisonnant kaléidoscope fascinera les plus curieux (...) et rassurera les cinéphiles : le 7è art s'invente encore, alleluia.
Chronic'art.com
Haynes est sans doute un magnifique faiseur d'images, mais son feu d'artifice est sans âme, un peu longuet et manque Bob Dylan, grand absent, malgré tout ce bruit.
Metro
En voulant absolument contourner la formule du biopic en vogue, Todd Haynes (...) bassine le spectateur avec six personnages et six histoires qui évoquent, sans jamais le nommer, une période ou un aspect de la carrière de Bob Dylan.
TéléCinéObs
(...) l'expérience tourne court : à moins d'être incollable sur la vie et l'oeuvre de Dylan, difficile d'accrocher à cet objet chic et, il faut bien le dire, un peu toc.
Télérama
Contre : Idée enivrante que le réalisateur rend fumeuse, à force de suffisance.