Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Brazil
par Caroline Vié
Loin de se laisser écraser par un sujet intimidant, Robert Guédiguian sort grandi de l'avoir traité. Parfois drôle, souvent bouleversant, Le promeneur du Champ de Mars est sans doute le meilleur film d'un auteur passionnant.
France Soir
par Ariane Dollfus
Robert Guédiguian peut se rassurer : son film conversation d'une heure cinquante est bien plus captivant qu'un film d'action. (...) Seule ombre au tableau, (...) un portrait très bienveillant. Encore que. (...) Une gigantesque, impressionnante et hypnotisante leçon d'acteur. Michel Bouquet place le jeu au rang du sublime. (...) Le tout est subjuguant.
Positif
par Jean A. Gili
Pendant toute la projection (...), on a devant soi et "le président" et un acteur dans toute la subtilité de son art. (...) Pour tenir le spectateur pendant près de deux heures devant un spectacle dans lequel il ne se passe quasiment rien et dont la fin est connue, il fallait beaucoup d'habileté et surtout de confiance dans la tension engendrée par cet homme face à la mort qui approche.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
Michel Bouquet, admirable, campe le personnage avec une finesse exceptionnelle. La réussite du film est la sienne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sabine Gros La Faige
Magnifiquement servi par un impeccable Michel Bouquet, ce portrait hommage est passionnant de bout en bout. (...) Les interrogations de Mitterrand face à son legs politique et à cette mort qui se rapproche inéluctablement font de cette oeuvre un beau témoignage, mêlant intimement les notions de fin de règne et de fin de vie.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Synopsis
par Valérie Ganne
Robert Guédiguian a surtout cherché l'homme derrière le président.[...] Michel Bouquet, au plus haut de son art, entouré de seconds rôles impeccables.[...] Ce treizième film de Guédiguian, première infidélité à sa troupe et à sa ville, est à la fois une réflexion passionnante et uen incarnation qui fera date.
Télérama
par François Gorin
Robert Guédiguian réussit un portrait en forme d'épure, fasciné et palpitant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Subtil, excessivement bien dialogué, cette ultime confrontation entre le maître et l'élève (Jalil Lespert convaincu et convaincant) est tout à l'avantage du cinéaste qui signe ici son film le plus profond et paradoxalement le plus original et le plus sincère.
L'Humanité
par Michel Guilloux
Incarnant le personnage, Michel Bouquet semble avoir gardé ce qu'il faut de son passage à la scène par Thomas Bernhard pour nourrir l'ironie grinçante des saillies qui, par petites touches, livrent, si ce n'est le mystère de l'homme, du moins la vérité du regard que porte sur lui le cinéaste. Face à lui, Jalil Lespert (...) déploie ici la gamme de ses qualités, que l'on savait grandes et qui se confirment ici (...).
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Robert Guédiguian réussit fort bien l'exercice. (...) Le portrait est vraisemblable, grâce à Michel Bouquet. Sans prendre la pose, cet immense acteur, d'un battement de cils ou d'un pincement de lèvres, nous fait croire que Mitterrand est là.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Quoi que chacun pense par ailleurs du bilan politique de l'homme, cette approche romanesque, épurée, grise, ascétique est une bonne nouvelle du côté du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
Le film invente un personnage, Antoine Moreau (...) C'est la faiblesse du film, car on ne croit guère à cette transmission, ni à la fascination de Mitterrand pour ce jeune idéaliste. Mais cela n'est rien en regard de ce qui restera de ce Promeneur du Champ-de-Mars, la présence mitterrandienne phénoménale de Michel Bouquet. (...) Mitterrand reste un mystère politique, et Bouquet incarne le mystère du jeu d'acteur. C'est au croisement de ces deux énigmes que se tient la vraie réussite de cette promenade en politique-fiction.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
On peut reprocher au PROMENEUR sa longueur, mais le pari du cinéaste marseillais est en grande partie réussi.
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Une impression de flottement, le sentiment d'être sans cesse à la périphérie de l'homme et de son parcours, empêchent le film d'accéder à la ferveur des idées. L'échec du héros dans sa démarche pour cerner l'énigme qu'il a devant lui est aussi celle du film qui adopte peu ou prou le point de vue du journaliste.(...) Le film peine à imposer son point de vue sur l'Histoire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Elisabeth Quin
Un corps et des mots, c'est ce qu'on retiendra de ce film gris et léthargique vampirisé par son principal interprète. On se fiche un peu du rapport filial artificiellement établi entre le jeune scribe joué par Jalil Lespert, pas trop à l'aise, et l'astre politique crépusculaire (...) C'est un long monologue étincelant (...) L'impuissance du jeune journaliste à faire parler Mitterrand de ses rapports avec René Bousquet recouvre celle de Guédiguian à percer le mystère Mitterrand.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Pour savoir encore ce qu'est un acteur, et parce que ce qu'il donne est à la fois proprement sidérant et d'une évidence qui crève les yeux et pénètre l'âme, il faut voir Michel Bouquet dans Le Promeneur du Champ de Mars. Qui, par ailleurs, sans doute, n'est pas un grand film. (...) Le final est émouvant, sobre, retenu, mais l'histoire de cette relation est trop rarement intéressante. La faute, peut-être, à un scénario qui semble souvent à côté de la plaque (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Comme nimbé d'un "état de grâce" permanent, le premier film de l'histoire du cinéma français consacré à un président de la République reste imprégné par une image de gouvernant héritière de l'Ancien Régime. L'aventure intime du président étouffe son bilan politique. Verra-t-on un jour un film privilégiant la fiction du peuple sur celle de son élu ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Un goût d'inachevé, au terme d'une investigation qui peine à quitter le cadre "franco-français" de son personnage, pour toucher la dimension universelle qu'ambitionnait d'être cette chronique d'une fin de règne.
Paris Match
par Alain Spira
Il fallait tout l'immense talent de Michel Bouquet pour redonner vie à François Mitterrand. (...) S'il est (...) stupéfiant de justesse en homme vieillissant confronté à la mort, Jalil Lespert est beaucoup moins convaincant dans son rôle de confident.
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Michel Bouquet incarne le président défunt. Contempler ce grand acteur au travail est le seul intérêt de ce curieux film. Multiples nuances, vertigineuse ambiguïté...Pour le reste, un projet assez vain qui frôle parfois le malaise...
TéléCinéObs
par Emmanuel Luc
Admirable, Michel Bouquet incarne, en dernier des princes, ce stratège parfois hautain dont les silences et les affirmations laissent ses interloctuteurs désarmés. (...) Mais le face-à-face reste assez raide et plutôt théorique. Aussi bien politiquement qu'artistiquement, on a connu le réalisateur de Marius et Jeanette et de La ville est tranquille beaucoup plus offensif.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
L'interprétation de Michel Bouquet (...) est prodigieuse et d'une très grande subtilité. Paradoxalement, elle finit par nuire au film. Le génie de Bouquet éclipse celui de Mitterrand, et le mystère de son insondable jeu d'acteur est si absorbant qu'il devient le principal intérêt du film. (...) Ni à charge, ni à décharge, le film, en forme de longue conversation, ne parvient (...) jamais à percer le mystère Mitterrand.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Quand Robert Guédiguian filme en dehors de Marseille, ça donne du gris. (...) Ce Mitterrand sauce Bouquet, à peine cassant sauf lorsqu'il s'agit de sa piètre descendance socialiste, on lui donnerait le bon Dieu sans confession. (...) Finalement, Guédiguian continue ce qu'il a toujours fait : du cinéma de proximité, visant à exorciser par un baiser la terrible marche du monde.
Cinéastes
par Judith Sibony
Triste tableau, mais pour être triste, il n'en est pas moins fade. Dommage en effet que la mise en scène soit d'une sobriété si surannée. Car à force d'osciller entre une distance qu'il ne prend pas vraiment et une émotion qu'il ne parvient pas à déclencher, le film laisse peu de chance au spectateur de ne pas s'ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Score
par G.D. Jones
On s'attend à une biopic sanglante qui raclerait les bidets de l'Histoire et on découvre horrifié un film bavard, une succession de conversations niaises (...) dans lesquelles un vieillard pathétique dispense ses leçons de vie à un jeune journaliste couillon.
La critique complète est disponible sur le site Score
Brazil
Loin de se laisser écraser par un sujet intimidant, Robert Guédiguian sort grandi de l'avoir traité. Parfois drôle, souvent bouleversant, Le promeneur du Champ de Mars est sans doute le meilleur film d'un auteur passionnant.
France Soir
Robert Guédiguian peut se rassurer : son film conversation d'une heure cinquante est bien plus captivant qu'un film d'action. (...) Seule ombre au tableau, (...) un portrait très bienveillant. Encore que. (...) Une gigantesque, impressionnante et hypnotisante leçon d'acteur. Michel Bouquet place le jeu au rang du sublime. (...) Le tout est subjuguant.
Positif
Pendant toute la projection (...), on a devant soi et "le président" et un acteur dans toute la subtilité de son art. (...) Pour tenir le spectateur pendant près de deux heures devant un spectacle dans lequel il ne se passe quasiment rien et dont la fin est connue, il fallait beaucoup d'habileté et surtout de confiance dans la tension engendrée par cet homme face à la mort qui approche.
Première
Michel Bouquet, admirable, campe le personnage avec une finesse exceptionnelle. La réussite du film est la sienne.
Rolling Stone
Magnifiquement servi par un impeccable Michel Bouquet, ce portrait hommage est passionnant de bout en bout. (...) Les interrogations de Mitterrand face à son legs politique et à cette mort qui se rapproche inéluctablement font de cette oeuvre un beau témoignage, mêlant intimement les notions de fin de règne et de fin de vie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Robert Guédiguian a surtout cherché l'homme derrière le président.[...] Michel Bouquet, au plus haut de son art, entouré de seconds rôles impeccables.[...] Ce treizième film de Guédiguian, première infidélité à sa troupe et à sa ville, est à la fois une réflexion passionnante et uen incarnation qui fera date.
Télérama
Robert Guédiguian réussit un portrait en forme d'épure, fasciné et palpitant.
Zurban
Subtil, excessivement bien dialogué, cette ultime confrontation entre le maître et l'élève (Jalil Lespert convaincu et convaincant) est tout à l'avantage du cinéaste qui signe ici son film le plus profond et paradoxalement le plus original et le plus sincère.
L'Humanité
Incarnant le personnage, Michel Bouquet semble avoir gardé ce qu'il faut de son passage à la scène par Thomas Bernhard pour nourrir l'ironie grinçante des saillies qui, par petites touches, livrent, si ce n'est le mystère de l'homme, du moins la vérité du regard que porte sur lui le cinéaste. Face à lui, Jalil Lespert (...) déploie ici la gamme de ses qualités, que l'on savait grandes et qui se confirment ici (...).
Le Figaroscope
Robert Guédiguian réussit fort bien l'exercice. (...) Le portrait est vraisemblable, grâce à Michel Bouquet. Sans prendre la pose, cet immense acteur, d'un battement de cils ou d'un pincement de lèvres, nous fait croire que Mitterrand est là.
Les Inrockuptibles
Quoi que chacun pense par ailleurs du bilan politique de l'homme, cette approche romanesque, épurée, grise, ascétique est une bonne nouvelle du côté du cinéma.
Libération
Le film invente un personnage, Antoine Moreau (...) C'est la faiblesse du film, car on ne croit guère à cette transmission, ni à la fascination de Mitterrand pour ce jeune idéaliste. Mais cela n'est rien en regard de ce qui restera de ce Promeneur du Champ-de-Mars, la présence mitterrandienne phénoménale de Michel Bouquet. (...) Mitterrand reste un mystère politique, et Bouquet incarne le mystère du jeu d'acteur. C'est au croisement de ces deux énigmes que se tient la vraie réussite de cette promenade en politique-fiction.
MCinéma.com
On peut reprocher au PROMENEUR sa longueur, mais le pari du cinéaste marseillais est en grande partie réussi.
Chronic'art.com
Une impression de flottement, le sentiment d'être sans cesse à la périphérie de l'homme et de son parcours, empêchent le film d'accéder à la ferveur des idées. L'échec du héros dans sa démarche pour cerner l'énigme qu'il a devant lui est aussi celle du film qui adopte peu ou prou le point de vue du journaliste.(...) Le film peine à imposer son point de vue sur l'Histoire.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Un corps et des mots, c'est ce qu'on retiendra de ce film gris et léthargique vampirisé par son principal interprète. On se fiche un peu du rapport filial artificiellement établi entre le jeune scribe joué par Jalil Lespert, pas trop à l'aise, et l'astre politique crépusculaire (...) C'est un long monologue étincelant (...) L'impuissance du jeune journaliste à faire parler Mitterrand de ses rapports avec René Bousquet recouvre celle de Guédiguian à percer le mystère Mitterrand.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Pour savoir encore ce qu'est un acteur, et parce que ce qu'il donne est à la fois proprement sidérant et d'une évidence qui crève les yeux et pénètre l'âme, il faut voir Michel Bouquet dans Le Promeneur du Champ de Mars. Qui, par ailleurs, sans doute, n'est pas un grand film. (...) Le final est émouvant, sobre, retenu, mais l'histoire de cette relation est trop rarement intéressante. La faute, peut-être, à un scénario qui semble souvent à côté de la plaque (...).
Le Monde
Comme nimbé d'un "état de grâce" permanent, le premier film de l'histoire du cinéma français consacré à un président de la République reste imprégné par une image de gouvernant héritière de l'Ancien Régime. L'aventure intime du président étouffe son bilan politique. Verra-t-on un jour un film privilégiant la fiction du peuple sur celle de son élu ?
Ouest France
Un goût d'inachevé, au terme d'une investigation qui peine à quitter le cadre "franco-français" de son personnage, pour toucher la dimension universelle qu'ambitionnait d'être cette chronique d'une fin de règne.
Paris Match
Il fallait tout l'immense talent de Michel Bouquet pour redonner vie à François Mitterrand. (...) S'il est (...) stupéfiant de justesse en homme vieillissant confronté à la mort, Jalil Lespert est beaucoup moins convaincant dans son rôle de confident.
Télé 7 Jours
Michel Bouquet incarne le président défunt. Contempler ce grand acteur au travail est le seul intérêt de ce curieux film. Multiples nuances, vertigineuse ambiguïté...Pour le reste, un projet assez vain qui frôle parfois le malaise...
TéléCinéObs
Admirable, Michel Bouquet incarne, en dernier des princes, ce stratège parfois hautain dont les silences et les affirmations laissent ses interloctuteurs désarmés. (...) Mais le face-à-face reste assez raide et plutôt théorique. Aussi bien politiquement qu'artistiquement, on a connu le réalisateur de Marius et Jeanette et de La ville est tranquille beaucoup plus offensif.
aVoir-aLire.com
L'interprétation de Michel Bouquet (...) est prodigieuse et d'une très grande subtilité. Paradoxalement, elle finit par nuire au film. Le génie de Bouquet éclipse celui de Mitterrand, et le mystère de son insondable jeu d'acteur est si absorbant qu'il devient le principal intérêt du film. (...) Ni à charge, ni à décharge, le film, en forme de longue conversation, ne parvient (...) jamais à percer le mystère Mitterrand.
Cahiers du Cinéma
Quand Robert Guédiguian filme en dehors de Marseille, ça donne du gris. (...) Ce Mitterrand sauce Bouquet, à peine cassant sauf lorsqu'il s'agit de sa piètre descendance socialiste, on lui donnerait le bon Dieu sans confession. (...) Finalement, Guédiguian continue ce qu'il a toujours fait : du cinéma de proximité, visant à exorciser par un baiser la terrible marche du monde.
Cinéastes
Triste tableau, mais pour être triste, il n'en est pas moins fade. Dommage en effet que la mise en scène soit d'une sobriété si surannée. Car à force d'osciller entre une distance qu'il ne prend pas vraiment et une émotion qu'il ne parvient pas à déclencher, le film laisse peu de chance au spectateur de ne pas s'ennuyer.
Score
On s'attend à une biopic sanglante qui raclerait les bidets de l'Histoire et on découvre horrifié un film bavard, une succession de conversations niaises (...) dans lesquelles un vieillard pathétique dispense ses leçons de vie à un jeune journaliste couillon.