Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Humanité
par Émile Breton
Ce film n'est pas une histoire du blues, pas même celle de trois chanteurs choisis entre d'autres. Il est un rappel à la vie de ces hommes qui un temps enchantèrent le monde et que le monde oublia. (...) C'est un film autobiographique, c'est un film d'amour.
Télérama
par François Gorin
Au moment de s'attaquer au blues sous le parrainage de Martin Scorsese (...), il n'est donc pas étonnant de trouver le bon goût Wenders en plein dans le mille. Blind Willie Johnson, Skip James, J.B. Lenoir : un brelan d'as même obscurs, pas n'importe quel clampin des douze mesures et de la six cordes
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gaëlle Lennon
Hymne à la mémoire, grande ode au blues The Soul of a man ferait du coup presque office de laissez-passer pour l'éternité.
Aden
par La rédaction
Images d'archives côtoient reconstitutions de scènes de la vie de ces musiciens que l'histoire a négligés. Wenders procède par touches impressionnistes.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Africultures.com
par Olivier Barlet
Cet assemblage hétéroclite aurait pu lasser si une magnifique rencontre ne permettait à Wenders de renouveler complètement son approche avec le troisième musicien qu'il découvre grâce à John Mayall qui chante The death of JB Lenoir (...) Wenders nous laisse éberlués et convaincus de l'éternelle prégnance du blues.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Jean-Luc Wachthausen
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette énumération suffit à donner une idée de l'assemblage hétéroclite qu'est ce film. Et pourtant, même s'il boitille de temps en temps, un seul souffle traverse The Soul of a Man, l'amour de Wenders pour le blues.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Ce n'est pas un documentaire mais plutôt une fiction basée sur un mélange d'infos biographiques et de mythologie ; il n'y a pas de thèse, pas d'explication, aucun des habituels (et insupportables) témoignages de musiciens secondaires (...).
Libération
par Serge LOUPIEN
Wenders soigne le blues à l'âme. (...) Soucieux de ne pas tomber dans le travers ethnomusicologique, mais déterminé à jouer les prosélytes auprès d'un public "jeune", Wenders s'est attaché à faire intervenir des chanteurs "contemporains".
MCinéma.com
par Camille Brun
Les histoires de ces trois musiciens sont fortes, et Wenders sait les rendre passionnantes, admirablement rythmées par leurs chansons reprises par des artistes d'aujourd'hui.
Première
par Gérard Delorme
Pour inaugurer ce premier film d'une série de sept sur le thème du blues, il n'y avait pas mieux placé que Wenders, érudit et mélomane au goût impeccable.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Tout simplement magique.
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
(...) rien ne fonctionne de ces saynètes en noir et blanc ( qui eussent exigé les couleurs du Sud profond), parfois accélérés pour faire archives (...) et semblant reposer sur le postulat, mensonger voire involontairement raciste (un comble), d'un âge d'or où les émotions humaines s'affichaient bien lisibles sur le visage des doux de coeur et des simples d'esprit.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
par Jean-Loup Bourget
Hommage où l'on retrouve bien des traits du cinéaste : l'enthousisame et la fidélité dans l'admiration, mais encore la bizarrerie (l'emploi de l'accéléré), le goût des freaks (...), le culte morbide des tombeaux (...), la croyance en l'au-delà et sa figuration littérale (...).
L'Humanité
Ce film n'est pas une histoire du blues, pas même celle de trois chanteurs choisis entre d'autres. Il est un rappel à la vie de ces hommes qui un temps enchantèrent le monde et que le monde oublia. (...) C'est un film autobiographique, c'est un film d'amour.
Télérama
Au moment de s'attaquer au blues sous le parrainage de Martin Scorsese (...), il n'est donc pas étonnant de trouver le bon goût Wenders en plein dans le mille. Blind Willie Johnson, Skip James, J.B. Lenoir : un brelan d'as même obscurs, pas n'importe quel clampin des douze mesures et de la six cordes
aVoir-aLire.com
Hymne à la mémoire, grande ode au blues The Soul of a man ferait du coup presque office de laissez-passer pour l'éternité.
Aden
Images d'archives côtoient reconstitutions de scènes de la vie de ces musiciens que l'histoire a négligés. Wenders procède par touches impressionnistes.
Africultures.com
Cet assemblage hétéroclite aurait pu lasser si une magnifique rencontre ne permettait à Wenders de renouveler complètement son approche avec le troisième musicien qu'il découvre grâce à John Mayall qui chante The death of JB Lenoir (...) Wenders nous laisse éberlués et convaincus de l'éternelle prégnance du blues.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Cette énumération suffit à donner une idée de l'assemblage hétéroclite qu'est ce film. Et pourtant, même s'il boitille de temps en temps, un seul souffle traverse The Soul of a Man, l'amour de Wenders pour le blues.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Ce n'est pas un documentaire mais plutôt une fiction basée sur un mélange d'infos biographiques et de mythologie ; il n'y a pas de thèse, pas d'explication, aucun des habituels (et insupportables) témoignages de musiciens secondaires (...).
Libération
Wenders soigne le blues à l'âme. (...) Soucieux de ne pas tomber dans le travers ethnomusicologique, mais déterminé à jouer les prosélytes auprès d'un public "jeune", Wenders s'est attaché à faire intervenir des chanteurs "contemporains".
MCinéma.com
Les histoires de ces trois musiciens sont fortes, et Wenders sait les rendre passionnantes, admirablement rythmées par leurs chansons reprises par des artistes d'aujourd'hui.
Première
Pour inaugurer ce premier film d'une série de sept sur le thème du blues, il n'y avait pas mieux placé que Wenders, érudit et mélomane au goût impeccable.
TéléCinéObs
Tout simplement magique.
Cahiers du Cinéma
(...) rien ne fonctionne de ces saynètes en noir et blanc ( qui eussent exigé les couleurs du Sud profond), parfois accélérés pour faire archives (...) et semblant reposer sur le postulat, mensonger voire involontairement raciste (un comble), d'un âge d'or où les émotions humaines s'affichaient bien lisibles sur le visage des doux de coeur et des simples d'esprit.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
Hommage où l'on retrouve bien des traits du cinéaste : l'enthousisame et la fidélité dans l'admiration, mais encore la bizarrerie (l'emploi de l'accéléré), le goût des freaks (...), le culte morbide des tombeaux (...), la croyance en l'au-delà et sa figuration littérale (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com