Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Brazil
par Alex Masson
La bonne nouvelle, c'est qu'on ne s'attendait pas à ce que le film adopte un ton très low-profie pour représenter cette croisade sanglante. La mauvais nouvelle, c'est que, du coup, on se retrouve plutôt à un sous-Justicier dans la ville, castré d'une sale humeur qui aurait réjoui les fans ; un film inoffensif que seuls les vieux croutons de Libé vont pouvoir qualifier de fasciste sans rigoler.
Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
Sans grande envergure, le film de Hensleigh vaut plus pour le plaisir de sa discrétion, ses appels aux grands moments musclés d'un cinéma dont les images se noient dans la case des souvenirs sans importance, que comme un quelconque renouveau ou une adaptation digne de ce nom. Ce qui n'est déjà pas si mal.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Ecran Fantastique
par Andrew Osmond
De sympathiques trouvailles sont effacées par l'absence d'un réel investissement des personnages, le scénario achevant de réduire le thème du justicier revanchard à néant.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Jonathan Hensleigh, jusqu'ici scénariste de films d'action, recourt à une brutalité qui renvoie à une époque où la violence cinématographique était moins aseptisée, mais efface une dimension du héros qui, dans la bande dessinée, était avant tout un psychopathe qui parlait directement à Dieu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bruno Bayon
Comme l'original avec Dolph Lundgren, ce remake heavy reste scolaire dans sa brutalité, pauvre d'action quitte à foison de morts. Total: de deux films parallèles ne se conjuguant qu'in extremis avec les deux têtes d'affiche à la Volte/Face, l'annexe Travolta, vaudeville fatal, corrige le Punisher principal.
Zurban
par Aurélie Champagne
Le scénario est cousu de fil blanc mais parvient à mêler humour et castagne chorégraphiée. Les puristes resteront sans doute sur leur faim, les autres passeront un bon moment en dégustant leur pop-corn.
Première
par Christian Jauberty
Avec ses grosses ficelles et son indécision pour savoir sur quel pied danser en attendant la prochaine scène de massacre sadique, ce film devrait rapidement gagner les rayons des vidéoclubs. (...) Dans le rôle du méchant, Travolta aurait besoin de retourner faire une cure chez Tarantino, qui vient de livrer un film de vengeance auquel celui-ci ne peut oser rêver d'être comparé.
Brazil
La bonne nouvelle, c'est qu'on ne s'attendait pas à ce que le film adopte un ton très low-profie pour représenter cette croisade sanglante. La mauvais nouvelle, c'est que, du coup, on se retrouve plutôt à un sous-Justicier dans la ville, castré d'une sale humeur qui aurait réjoui les fans ; un film inoffensif que seuls les vieux croutons de Libé vont pouvoir qualifier de fasciste sans rigoler.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Sans grande envergure, le film de Hensleigh vaut plus pour le plaisir de sa discrétion, ses appels aux grands moments musclés d'un cinéma dont les images se noient dans la case des souvenirs sans importance, que comme un quelconque renouveau ou une adaptation digne de ce nom. Ce qui n'est déjà pas si mal.
L'Ecran Fantastique
De sympathiques trouvailles sont effacées par l'absence d'un réel investissement des personnages, le scénario achevant de réduire le thème du justicier revanchard à néant.
Le Monde
Jonathan Hensleigh, jusqu'ici scénariste de films d'action, recourt à une brutalité qui renvoie à une époque où la violence cinématographique était moins aseptisée, mais efface une dimension du héros qui, dans la bande dessinée, était avant tout un psychopathe qui parlait directement à Dieu.
Libération
Comme l'original avec Dolph Lundgren, ce remake heavy reste scolaire dans sa brutalité, pauvre d'action quitte à foison de morts. Total: de deux films parallèles ne se conjuguant qu'in extremis avec les deux têtes d'affiche à la Volte/Face, l'annexe Travolta, vaudeville fatal, corrige le Punisher principal.
Zurban
Le scénario est cousu de fil blanc mais parvient à mêler humour et castagne chorégraphiée. Les puristes resteront sans doute sur leur faim, les autres passeront un bon moment en dégustant leur pop-corn.
Première
Avec ses grosses ficelles et son indécision pour savoir sur quel pied danser en attendant la prochaine scène de massacre sadique, ce film devrait rapidement gagner les rayons des vidéoclubs. (...) Dans le rôle du méchant, Travolta aurait besoin de retourner faire une cure chez Tarantino, qui vient de livrer un film de vengeance auquel celui-ci ne peut oser rêver d'être comparé.