Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Pas étonnant que cette série d'encastrements ludiques se termine sur la case Passion, témoignage brillant de l'objectif du cinéaste : la séduction absolue du spectateur. Certes, on n'y croyait plus tellement, mais Almodovar nous a somptueusement bien dragué.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinéastes
par Emmanuel Vincenot
Abandonnant un instant les oripeaux de la postmodernité, Almodovar se laisse alors aller à des images d'une délicate gravité, comme s'il tombait un masque : le plus exhibitionniste des cinéastes nous montre enfin son côté pudique.
Libération
par La rédaction
La Mauvaise Education est une magnifique enquête sur l'imagination. Celle qui permet de changer de sexe et de vie, au risque d'en mourir, celle, pas moins aventurière, qui pousse à faire des films et à en vivre.
Positif
par Philippe Rouyer
Avec La mauvaise éducation, le cinéaste ne propose pas moins que son Art poétique.
Première
par Olivier de Bruyn
Le cinéaste signe un pur film noir avec retournements brusques, femmes fatales (pardon, hommes fatals) et ambiance torve. Structurellement Almodovar fait preuve d'une rigueur implacable qui renvoie aux oeuvres américaines de Fritz Lang. Se laisser entraîner dans cet écheveau manipulateur est un délice. Plus que jamais chez le metteur en scène de Parle avec elle, le feu brûle de l'intérieur. Consume-toi avec lui.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
The Hollywood Reporter
Régulièrement surprenant, parfois carrément déroutant, le film est une pièce de maître où l'on retrouve la plupart des obessions de Pedro Almodovar. Les acteurs évoulent avec aisance entres les différentes "réalités", sans la moinde confusion. Gael Garcia Bernal interpelle tout particulièrement dans le rôle de la "femme fatale" du film.
Aden
par La rédaction
La Mauvaise Education est ainsi, tour à tour, une fantaisie, un drame et un film noir - et cette dernière partie est celle qui nous convainc le plus, peut-être parce qu'elle fait figure de relative nouveauté chez Almodovar.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Un ouragan narratif où, symptomatiquement, un scénario tient lieu de ciment (...) La force d'Almodovar, sa constance: une sobre manie du mythe qui fait de ses films d'insatiables usines esthétiques.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
Beau film si limpide dans sa facture, et qui pourtant donne l'impression d'une obscurité insondable. (...) C'est encore une fois dans la fiction, et non dans les détails autobiographiques, que se trouve l'amorce d'une vérité humaine. Cela n'a rien d'étonnant au sein d'un film dont le sujet est si inextricablement fondu dans la forme, expression d'un oeil qui, par le contrôle et la pondération, recrée le réel afin de le magnifier.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Humanité
par Dominique Widemann
Depuis le manifeste aux graphismes datés de son générique à la superbe bande sonore dont on doit les principaux plaisirs à Alberto Iglesias, Pedro Almodovar, dont les deux derniers films ont été accueillis par une pléthore de prix prestigieux, échappe une fois de plus aux catégorisations en passant du rouge au noir sans y perdre de passion.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Loin du rose bonbon des premières oeuvres d'Almo dovar, l'homosexualité fait ici plutôt dans le sordide et le tragique. Cela n'empêche pas que le spectateur suive, captivé par cette histoire à tiroirs multiples, racontée ici par un cinéaste au summum de son talent, qui multiplie les difficultés narratives : flash-back, film dans le film, voix off, sans que cela ne gène en rien la fluidité du récit. Ajoutez à cela une superbe brochette d'acteurs : Gael Garcia Bernal, homme fatal et vous avez vraiment de la très belle ouvrage.
Le Parisien
par Bérangère Adda
On retrouve des thèmes qui sont chers au réalisateur - l'homosexualité, le travestissement, l'amour d'une mère... - mais, en plus, au summum de sa forme, il use de tous les stratagèmes cinématographiques (flash-back, narration, fausses pistes...) pour nous plonger dans cet univers ultra-sombre. Gabriel Garcia Bernal est époustouflant dans ses multiples rôles.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Un film plus puissant qu'harmonieux, plus profond que séduisant. Mais le type de beautés qu'il recèle, troubles, a tout pour durer.
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Moins bouillonant que La loi du désir en 1986, mais plus cru et surtout plus noir, ce film est à la fois l'une des peintures les plus cruelles jamais réalisées sur l'homosexualité et un remarquable thriller qui prend toute son ampleur dans la seconde partie.
Télérama
par Marine Landrot
Avec ce film très noir, hanté par la pédophilie, Almodóvar signe un nouvel éloge de la fiction.
Zurban
par Charlotte Lipinska
C'est savamment tricoté, extrêmement bien monté et curieusement distancé. On est loin du choc Tout sur ma mère ou Parle avec elle. Mais l'on découvre un film qui, en dépit de ses maladresses, s'avère peut-être comme le plus personnel du réalisateur...
Chronic'art.com
Pas étonnant que cette série d'encastrements ludiques se termine sur la case Passion, témoignage brillant de l'objectif du cinéaste : la séduction absolue du spectateur. Certes, on n'y croyait plus tellement, mais Almodovar nous a somptueusement bien dragué.
Cinéastes
Abandonnant un instant les oripeaux de la postmodernité, Almodovar se laisse alors aller à des images d'une délicate gravité, comme s'il tombait un masque : le plus exhibitionniste des cinéastes nous montre enfin son côté pudique.
Libération
La Mauvaise Education est une magnifique enquête sur l'imagination. Celle qui permet de changer de sexe et de vie, au risque d'en mourir, celle, pas moins aventurière, qui pousse à faire des films et à en vivre.
Positif
Avec La mauvaise éducation, le cinéaste ne propose pas moins que son Art poétique.
Première
Le cinéaste signe un pur film noir avec retournements brusques, femmes fatales (pardon, hommes fatals) et ambiance torve. Structurellement Almodovar fait preuve d'une rigueur implacable qui renvoie aux oeuvres américaines de Fritz Lang. Se laisser entraîner dans cet écheveau manipulateur est un délice. Plus que jamais chez le metteur en scène de Parle avec elle, le feu brûle de l'intérieur. Consume-toi avec lui.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
The Hollywood Reporter
Régulièrement surprenant, parfois carrément déroutant, le film est une pièce de maître où l'on retrouve la plupart des obessions de Pedro Almodovar. Les acteurs évoulent avec aisance entres les différentes "réalités", sans la moinde confusion. Gael Garcia Bernal interpelle tout particulièrement dans le rôle de la "femme fatale" du film.
Aden
La Mauvaise Education est ainsi, tour à tour, une fantaisie, un drame et un film noir - et cette dernière partie est celle qui nous convainc le plus, peut-être parce qu'elle fait figure de relative nouveauté chez Almodovar.
Cahiers du Cinéma
Un ouragan narratif où, symptomatiquement, un scénario tient lieu de ciment (...) La force d'Almodovar, sa constance: une sobre manie du mythe qui fait de ses films d'insatiables usines esthétiques.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Beau film si limpide dans sa facture, et qui pourtant donne l'impression d'une obscurité insondable. (...) C'est encore une fois dans la fiction, et non dans les détails autobiographiques, que se trouve l'amorce d'une vérité humaine. Cela n'a rien d'étonnant au sein d'un film dont le sujet est si inextricablement fondu dans la forme, expression d'un oeil qui, par le contrôle et la pondération, recrée le réel afin de le magnifier.
L'Humanité
Depuis le manifeste aux graphismes datés de son générique à la superbe bande sonore dont on doit les principaux plaisirs à Alberto Iglesias, Pedro Almodovar, dont les deux derniers films ont été accueillis par une pléthore de prix prestigieux, échappe une fois de plus aux catégorisations en passant du rouge au noir sans y perdre de passion.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Loin du rose bonbon des premières oeuvres d'Almo dovar, l'homosexualité fait ici plutôt dans le sordide et le tragique. Cela n'empêche pas que le spectateur suive, captivé par cette histoire à tiroirs multiples, racontée ici par un cinéaste au summum de son talent, qui multiplie les difficultés narratives : flash-back, film dans le film, voix off, sans que cela ne gène en rien la fluidité du récit. Ajoutez à cela une superbe brochette d'acteurs : Gael Garcia Bernal, homme fatal et vous avez vraiment de la très belle ouvrage.
Le Parisien
On retrouve des thèmes qui sont chers au réalisateur - l'homosexualité, le travestissement, l'amour d'une mère... - mais, en plus, au summum de sa forme, il use de tous les stratagèmes cinématographiques (flash-back, narration, fausses pistes...) pour nous plonger dans cet univers ultra-sombre. Gabriel Garcia Bernal est époustouflant dans ses multiples rôles.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un film plus puissant qu'harmonieux, plus profond que séduisant. Mais le type de beautés qu'il recèle, troubles, a tout pour durer.
TéléCinéObs
Moins bouillonant que La loi du désir en 1986, mais plus cru et surtout plus noir, ce film est à la fois l'une des peintures les plus cruelles jamais réalisées sur l'homosexualité et un remarquable thriller qui prend toute son ampleur dans la seconde partie.
Télérama
Avec ce film très noir, hanté par la pédophilie, Almodóvar signe un nouvel éloge de la fiction.
Zurban
C'est savamment tricoté, extrêmement bien monté et curieusement distancé. On est loin du choc Tout sur ma mère ou Parle avec elle. Mais l'on découvre un film qui, en dépit de ses maladresses, s'avère peut-être comme le plus personnel du réalisateur...