Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Kitano a rarement paru aussi libre, associant scènes de sabre et moments comiques, les confondant parfois, avec une virtuosité folle, qui le conduit à tout se permettre, jusqu'à faire exécuter des claquettes aux paysans dans la rizière (...). "Zatoichi" offre deux heures d'un plaisir jubilatoire rare.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Le tour de force de Kitano réside aussi dans le brio avec lequel il a, pour la huitième fois, assuré sa double mission de réalisateur et d'acteur. (...) [Il] ose tout et fait mouche à chaque fois. Les quelques numéros sonores sont délirants, parfaitement réglés et symbolisent à merveille l'acuité auditive de son héros aveugle.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
(...) Kitano transpose, dans un genre nouveau pour lui, la virtuosité dont il avait fait preuve dans ses films de yakuzas (...) exercice sanglant et ludique, qui mêle d'éblouissantes scènes de combat à des rythmes de comédie musicale, tout en développant une fable sur la tromperie des apparences (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Aden
L'auteur de Sonatine, Hana-bi, L'Eté de Kikujiro, Dolls... a relevé le défi de la commande pour le faire revivre sur grand écran. C'est un traitement de choc. (...) Kitano respecte l'esprit des classiques du cinéma japonais (surtout ne pas copier les succès de Hongkong) mais malmène la figure de son héros.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Dans une oeuvre qui a très tôt atteint les sommets (Jugatsu, en 1990, sans doute son meilleur film), un tel glissement de la souffrance vers le souterrain et l'invisible fait affleurer, par un effet de vases communicants, une mélancolie neuve, intacte et silencieuse. Zatoichi ne fait que la murmurer, mais si Kitano s'y abandonne (...), il pourrait bien revenir auprès de lui-même et grandir encore.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Gilles Lyon-Caen
Zatoichi est une oeuvre singulière où tout fait sens. Takeshi Kitano puise dans la culture japonaise des images et des mythes collectifs, aussi bien que des samouraïs. Nul personnage ici, mais une série d'esquisse de soldats ou gardes du corps archaïques. Le cinéaste dessine une communauté puis épure, un à un, les membres qui la régissent.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
(...) Ce film formidablement visuel [qui] brasse tous les mythes actuels, depuis le vengeur solitaire, venu du western tout autant que du film de sabre, jusqu'aux robots destructeurs du cinéma commercial d'aujourd'hui, qu'ils soient humains, de synthèse, ou machines.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Zatoichi vient démontrer avec force que la diversion, le divertissement, le jeu constituent finalement une philosophie, un comportement indispensable à l'existence, une volonté farouche d'enchanter la réalité, de supplanter ce monde par un autre tout aussi réel - à condition qu'on le veuille.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Exercice de style, recyclage récréatif, Zatoichi est un Kitano qui n'en dispense pas moins un indéniable plaisir au spectateur et tombe à pic dans la vogue actuelle du film de sabre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Ce film [a] tout ce qui manquait à ses récents prédécesseurs : l'irrévérence, la santé, la folie, la liberté formelle, le non-sens et quelque chose d'une démarche qui doit s'appeler la grâce. En cadeau bonus, Kitano lui-même, refaisant l'acteur, méconnaissable en vieux-jeune, les paupières peintes (comme Cocteau) et teint en blond platine (comme Steevy-du-Loft).
Première
par Christophe Narbonne
Zatoichi s'inscrit humblement dans le parcours d'un des auteurs contemporains les plus fascinants .
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Zatoichi n'est pas pour rassurer quand à la régénérescence du cinéma de Kitano, qui visiblement se cherche depuis qu'il a (provisoirement peut-être) quitté les terres des yakusas. (...) Tout aussi alambiqué que celui de Dolls, le récit de Zatoichi aspire à une sorte d'unité douloureuse, qui doit faire jour par un travail sur la juxtaposition des personnages et des histoires.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Télérama
par Pierre Murat
Tout ça est plus habile qu'inspiré. Assez drôle, oui, mais plutôt vain. Très loin des plus belles mises en scène de Kitano, qui créent le vertige en frôlant constamment le vide. Comme en témoignent Sonatine et Hana-Bi, ses meilleurs films.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
L'Obs
(...) Kitano a rarement paru aussi libre, associant scènes de sabre et moments comiques, les confondant parfois, avec une virtuosité folle, qui le conduit à tout se permettre, jusqu'à faire exécuter des claquettes aux paysans dans la rizière (...). "Zatoichi" offre deux heures d'un plaisir jubilatoire rare.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Le tour de force de Kitano réside aussi dans le brio avec lequel il a, pour la huitième fois, assuré sa double mission de réalisateur et d'acteur. (...) [Il] ose tout et fait mouche à chaque fois. Les quelques numéros sonores sont délirants, parfaitement réglés et symbolisent à merveille l'acuité auditive de son héros aveugle.
Positif
(...) Kitano transpose, dans un genre nouveau pour lui, la virtuosité dont il avait fait preuve dans ses films de yakuzas (...) exercice sanglant et ludique, qui mêle d'éblouissantes scènes de combat à des rythmes de comédie musicale, tout en développant une fable sur la tromperie des apparences (...)
Aden
L'auteur de Sonatine, Hana-bi, L'Eté de Kikujiro, Dolls... a relevé le défi de la commande pour le faire revivre sur grand écran. C'est un traitement de choc. (...) Kitano respecte l'esprit des classiques du cinéma japonais (surtout ne pas copier les succès de Hongkong) mais malmène la figure de son héros.
Cahiers du Cinéma
Dans une oeuvre qui a très tôt atteint les sommets (Jugatsu, en 1990, sans doute son meilleur film), un tel glissement de la souffrance vers le souterrain et l'invisible fait affleurer, par un effet de vases communicants, une mélancolie neuve, intacte et silencieuse. Zatoichi ne fait que la murmurer, mais si Kitano s'y abandonne (...), il pourrait bien revenir auprès de lui-même et grandir encore.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Zatoichi est une oeuvre singulière où tout fait sens. Takeshi Kitano puise dans la culture japonaise des images et des mythes collectifs, aussi bien que des samouraïs. Nul personnage ici, mais une série d'esquisse de soldats ou gardes du corps archaïques. Le cinéaste dessine une communauté puis épure, un à un, les membres qui la régissent.
L'Express
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L'Humanité
(...) Ce film formidablement visuel [qui] brasse tous les mythes actuels, depuis le vengeur solitaire, venu du western tout autant que du film de sabre, jusqu'aux robots destructeurs du cinéma commercial d'aujourd'hui, qu'ils soient humains, de synthèse, ou machines.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Zatoichi vient démontrer avec force que la diversion, le divertissement, le jeu constituent finalement une philosophie, un comportement indispensable à l'existence, une volonté farouche d'enchanter la réalité, de supplanter ce monde par un autre tout aussi réel - à condition qu'on le veuille.
Les Inrockuptibles
Exercice de style, recyclage récréatif, Zatoichi est un Kitano qui n'en dispense pas moins un indéniable plaisir au spectateur et tombe à pic dans la vogue actuelle du film de sabre.
Libération
Ce film [a] tout ce qui manquait à ses récents prédécesseurs : l'irrévérence, la santé, la folie, la liberté formelle, le non-sens et quelque chose d'une démarche qui doit s'appeler la grâce. En cadeau bonus, Kitano lui-même, refaisant l'acteur, méconnaissable en vieux-jeune, les paupières peintes (comme Cocteau) et teint en blond platine (comme Steevy-du-Loft).
Première
Zatoichi s'inscrit humblement dans le parcours d'un des auteurs contemporains les plus fascinants .
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Zatoichi n'est pas pour rassurer quand à la régénérescence du cinéma de Kitano, qui visiblement se cherche depuis qu'il a (provisoirement peut-être) quitté les terres des yakusas. (...) Tout aussi alambiqué que celui de Dolls, le récit de Zatoichi aspire à une sorte d'unité douloureuse, qui doit faire jour par un travail sur la juxtaposition des personnages et des histoires.
Télérama
Tout ça est plus habile qu'inspiré. Assez drôle, oui, mais plutôt vain. Très loin des plus belles mises en scène de Kitano, qui créent le vertige en frôlant constamment le vide. Comme en témoignent Sonatine et Hana-Bi, ses meilleurs films.
Studio Magazine
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