Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Jamais le cinéaste n'avait poussé si loin ce flottement des figures qui pulvérise ce qui valait jusqu'ici comme dernier refuge de ce cinéma: le lien au récit. (...) Coeur volé et mis à nu du merveilleux selon Miyazaki: pur affect qui fait battre le monde, clé à portée de main dans la poche, et qu'on prendrait plaisir à ne jamais trouver.
Elle
par Elisabeth Quin
Miyazaki, le magicien japonais de l'animation pleine d'âme, livre son film le plus fou, à l'imaginaire échevelé (...). Un film mûri, paraît-il, de longues années, somme quasi philosophique qui ne pèse jamais mais émerveille à force de séquences féériques qui font littéralement décoller l'héroïne et le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
Le Château ambulant est l'une des oeuvres les plus complexes, mais aussi l'une des plus limpides, de Miyazaki Hayao. (...) En arpentant diverses couches de réalité au sein d'une seule (et d'un même visage), Le Château ambulant se hisse en toute simplicité au rang des Resnais les plus conceptuels - L'Année dernière à Marienbad, (1960), Providence (1977) - sans jamais perdre en émotion.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les deux heures de projection du Château ambulant, le nouveau long métrage d'Hayao Miyazaki, laissent dans un état d'épuisement euphorique. (...) on ne pouvait imaginer (...) l'audace narrative, l'insouciance face aux règles que Miyazaki met en oeuvre dans son dernier film. Cette liberté de pensée et d'imagination est d'autant plus frappante qu'elle se double d'une fidélité amoureuse à la forme que Miyazaki a d'abord contribué à définir, avant de la transcender : le cinéma d'animation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Plus encore que par sa richesse graphique, c'est, une nouvelle fois, par sa merveilleuse instabilité que Le Château ambulant séduit au plus profond. (...) En des temps plus apaisés, le Château ambulant n'aurait peut-être été que l'oeuvre réflexive d'un créateur au sommet de son art. Rattrapé par les tumultes de l'actualité, le film perd sans doute en achèvement ce qu'il gagne en noirceur et en complexité. Les contes aussi suivent le cours de l'histoire.
Libération
par Didier PERON
Miyazaki entre dans sa quatrième décennie d'activité et il est connu pour sa capacité colossale de travail. Mais jamais cette frénésie ne s'était libérée avec une telle joie combustible que dans ce nouvel opus brassant nombre de références secrètes du maître qui nous resteront probablement à jamais dérobées, mais aussi un tas d'éléments antérieurs de son oeuvre qui refont ici un tour de piste. (...) Grandiose.
Mad Movies
par Julien Dupuy
Pour mesurer l'importance de ce film, nous pourrions nous limiter à une sentence radicale: le genre meveilleux tel que nous le connaissons jusqu'à présent., pourrait bien ne pas se relever de ce chef-d'oeuvre visionnaire.
Ouest France
par La rédaction
Le maître japonais (...) donne ici plus libre cours encore à son sens de la création visuelle pour vagabonder sur des thèmes qui lui sont chers et familiers. La liberté de son trait et la composition de ses scènes font irrésistiblement penser à des extravagances de Bosch ou d'Arcimboldo.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Catherine Axelrad
Outre une inventivité que le réalisateur a décuplée en tirant parti des moindres détails, (...) le film est (...) libéré des teintes pastel un peu mièvres associées d'habitude au préambule et au mmonde de l'enfance.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Rolling Stone
par Christophe Chadefaud
Les rétines toujours en éveil, on suit cette aventure fantastique où tout est possible, tels des enfants avides de magie. Le sort est jeté...Miyazaki nous a assurément envoûtés.
Score
par G.D. Jones
Vertigineux. Jamais le sorcier de l'anime n'avait adopté un rythme aussi effréné, déployant les intrigues et les plans à une vitesse folle. (...) De la grâce, de la beauté, et une puissance d'imagination toujours aussi vivace. Miyazaki est simplement allé plus loin dans le foiseonnement baroque; il reste définitivement le plus grand magicien du cellulo.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Faisant fi de toute convention narrative, le maître de l'animation japonaise signe là son film le plus libre, le plus démesuré, le plus baroque. Et démontre, une fois de plus, que ce genre n'est pas l'apanage des enfants.
Télérama
par Cécile Mury
Fluide, débordant de trouvailles ébouriffantes, entre l'esthétique rétro-futuriste des machines et la limpidité des paysages, le dessin est, comme toujours, à la hauteur du récit. L'imagination y déborde sur le trait, dans le style inimitable de Miyazaki, jouant des codes du manga pour mieux se les approprier et les magnifier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par Sara Ri
des envolées lyriques d'une rare intensité où les scènes d'amour se font en communion avec la nature, thème central du cinéaste. Les plans contemplatifs se multiplient montrant une nature sublimée par l'esthétique époustouflante des paysages. Un instant de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Michaël Melinard
Cette fable écologiste et antimilitariste péche sans doute par sa naïveté. Elle n'en possède pas moins des accents profondément touchants.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Dans ce conte magique à tiroirs, adapté d'un roman de l'Anglaise Diana Wynne Jones, on retrouve toute la merveilleuse imagination visuelle de Miyazaki (...).Jeunesse et vieillesse, laideur et beauté, s'inversent dans une fantasmagorie inventive qui est aussi une jolie fable sur la force de l'amour pacificateur (...).
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
Tout est impeccable, sauf –et c'est souvent le seul défaut des films de Miyazaki- un script confus et inutilement compliqué. A trop chasser le manichéisme, le maître des studios Ghibli nous égare parfois, comme cela a déjà été le cas avec PRINCESSE MONONOKE. (...) Mais ne boudons pas notre plaisir : ce long métrage d'animation est encore une réussite pour Miyazaki, un petit bijou comique, poétique et drôlement émouvant.
Chronic'art.com
par Julien Bastide
Malgré des moments de pur enchantement visuel, c'est là sans nul doute un Miyazaki mineur, qui devrait pourtant définitivement asseoir son statut d'artiste auprès du grand public, mais pose de sérieuses questions quant au devenir d'une oeuvre qui tend inexorablement vers la décadence depuis le sommet absolu que constitue Princesse Mononoke
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Paris Match
par Christine Haas
Une fois de plus, Miyazaki nous en met plein les yeux et les rêves. Son inventivité, la richesse de son graphisme, la beauté des couleurs, tout cela émerveille. Malheureusement l'histoire essouffle un peu les spectateurs. (...) Et puis pourquoi ce grand créateur japonais s'obstine-t-il à donner figure européenne à ses personnages par ailleurs 100 % asiatiques ?
Première
par Gérard Delorme
Passée l'excitation immédiate de l'effet "montagnes russes", ce Château ambulant laisse au mieux perplexe, au pire déçu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Eric Quéméré
Ce Château ambulant creuse plus profondément encore le sillon fantasmagorique ouvert avec Le Voyage de Chihiro. Au point d'ailleurs que l'on se perd parfois un peu dans ce scénario aux mille rebondissements, qui n'exploite au fond qu'assez peu son formidable postulat.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Disons-le tout de go : Le château ambulant n'atteint pas le niveau stratosphérique du superbe Château dans le ciel. Pourtant, en l'état, ce bel édifice stimule plus d'une fois les mirettes : il se révèle par ailleurs suffisamment dense, intelligent, drôle, touchant et foisonnant pour n'apporter que de la satisfaction sur un plan technique et narratif.
Cahiers du Cinéma
Jamais le cinéaste n'avait poussé si loin ce flottement des figures qui pulvérise ce qui valait jusqu'ici comme dernier refuge de ce cinéma: le lien au récit. (...) Coeur volé et mis à nu du merveilleux selon Miyazaki: pur affect qui fait battre le monde, clé à portée de main dans la poche, et qu'on prendrait plaisir à ne jamais trouver.
Elle
Miyazaki, le magicien japonais de l'animation pleine d'âme, livre son film le plus fou, à l'imaginaire échevelé (...). Un film mûri, paraît-il, de longues années, somme quasi philosophique qui ne pèse jamais mais émerveille à force de séquences féériques qui font littéralement décoller l'héroïne et le spectateur.
Fluctuat.net
Le Château ambulant est l'une des oeuvres les plus complexes, mais aussi l'une des plus limpides, de Miyazaki Hayao. (...) En arpentant diverses couches de réalité au sein d'une seule (et d'un même visage), Le Château ambulant se hisse en toute simplicité au rang des Resnais les plus conceptuels - L'Année dernière à Marienbad, (1960), Providence (1977) - sans jamais perdre en émotion.
Le Monde
Les deux heures de projection du Château ambulant, le nouveau long métrage d'Hayao Miyazaki, laissent dans un état d'épuisement euphorique. (...) on ne pouvait imaginer (...) l'audace narrative, l'insouciance face aux règles que Miyazaki met en oeuvre dans son dernier film. Cette liberté de pensée et d'imagination est d'autant plus frappante qu'elle se double d'une fidélité amoureuse à la forme que Miyazaki a d'abord contribué à définir, avant de la transcender : le cinéma d'animation.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Plus encore que par sa richesse graphique, c'est, une nouvelle fois, par sa merveilleuse instabilité que Le Château ambulant séduit au plus profond. (...) En des temps plus apaisés, le Château ambulant n'aurait peut-être été que l'oeuvre réflexive d'un créateur au sommet de son art. Rattrapé par les tumultes de l'actualité, le film perd sans doute en achèvement ce qu'il gagne en noirceur et en complexité. Les contes aussi suivent le cours de l'histoire.
Libération
Miyazaki entre dans sa quatrième décennie d'activité et il est connu pour sa capacité colossale de travail. Mais jamais cette frénésie ne s'était libérée avec une telle joie combustible que dans ce nouvel opus brassant nombre de références secrètes du maître qui nous resteront probablement à jamais dérobées, mais aussi un tas d'éléments antérieurs de son oeuvre qui refont ici un tour de piste. (...) Grandiose.
Mad Movies
Pour mesurer l'importance de ce film, nous pourrions nous limiter à une sentence radicale: le genre meveilleux tel que nous le connaissons jusqu'à présent., pourrait bien ne pas se relever de ce chef-d'oeuvre visionnaire.
Ouest France
Le maître japonais (...) donne ici plus libre cours encore à son sens de la création visuelle pour vagabonder sur des thèmes qui lui sont chers et familiers. La liberté de son trait et la composition de ses scènes font irrésistiblement penser à des extravagances de Bosch ou d'Arcimboldo.
Positif
Outre une inventivité que le réalisateur a décuplée en tirant parti des moindres détails, (...) le film est (...) libéré des teintes pastel un peu mièvres associées d'habitude au préambule et au mmonde de l'enfance.
Rolling Stone
Les rétines toujours en éveil, on suit cette aventure fantastique où tout est possible, tels des enfants avides de magie. Le sort est jeté...Miyazaki nous a assurément envoûtés.
Score
Vertigineux. Jamais le sorcier de l'anime n'avait adopté un rythme aussi effréné, déployant les intrigues et les plans à une vitesse folle. (...) De la grâce, de la beauté, et une puissance d'imagination toujours aussi vivace. Miyazaki est simplement allé plus loin dans le foiseonnement baroque; il reste définitivement le plus grand magicien du cellulo.
TéléCinéObs
Faisant fi de toute convention narrative, le maître de l'animation japonaise signe là son film le plus libre, le plus démesuré, le plus baroque. Et démontre, une fois de plus, que ce genre n'est pas l'apanage des enfants.
Télérama
Fluide, débordant de trouvailles ébouriffantes, entre l'esthétique rétro-futuriste des machines et la limpidité des paysages, le dessin est, comme toujours, à la hauteur du récit. L'imagination y déborde sur le trait, dans le style inimitable de Miyazaki, jouant des codes du manga pour mieux se les approprier et les magnifier.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
des envolées lyriques d'une rare intensité où les scènes d'amour se font en communion avec la nature, thème central du cinéaste. Les plans contemplatifs se multiplient montrant une nature sublimée par l'esthétique époustouflante des paysages. Un instant de grâce.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Cette fable écologiste et antimilitariste péche sans doute par sa naïveté. Elle n'en possède pas moins des accents profondément touchants.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Dans ce conte magique à tiroirs, adapté d'un roman de l'Anglaise Diana Wynne Jones, on retrouve toute la merveilleuse imagination visuelle de Miyazaki (...).Jeunesse et vieillesse, laideur et beauté, s'inversent dans une fantasmagorie inventive qui est aussi une jolie fable sur la force de l'amour pacificateur (...).
MCinéma.com
Tout est impeccable, sauf –et c'est souvent le seul défaut des films de Miyazaki- un script confus et inutilement compliqué. A trop chasser le manichéisme, le maître des studios Ghibli nous égare parfois, comme cela a déjà été le cas avec PRINCESSE MONONOKE. (...) Mais ne boudons pas notre plaisir : ce long métrage d'animation est encore une réussite pour Miyazaki, un petit bijou comique, poétique et drôlement émouvant.
Chronic'art.com
Malgré des moments de pur enchantement visuel, c'est là sans nul doute un Miyazaki mineur, qui devrait pourtant définitivement asseoir son statut d'artiste auprès du grand public, mais pose de sérieuses questions quant au devenir d'une oeuvre qui tend inexorablement vers la décadence depuis le sommet absolu que constitue Princesse Mononoke
Paris Match
Une fois de plus, Miyazaki nous en met plein les yeux et les rêves. Son inventivité, la richesse de son graphisme, la beauté des couleurs, tout cela émerveille. Malheureusement l'histoire essouffle un peu les spectateurs. (...) Et puis pourquoi ce grand créateur japonais s'obstine-t-il à donner figure européenne à ses personnages par ailleurs 100 % asiatiques ?
Première
Passée l'excitation immédiate de l'effet "montagnes russes", ce Château ambulant laisse au mieux perplexe, au pire déçu.
Studio Magazine
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Zurban
Ce Château ambulant creuse plus profondément encore le sillon fantasmagorique ouvert avec Le Voyage de Chihiro. Au point d'ailleurs que l'on se perd parfois un peu dans ce scénario aux mille rebondissements, qui n'exploite au fond qu'assez peu son formidable postulat.
aVoir-aLire.com
Disons-le tout de go : Le château ambulant n'atteint pas le niveau stratosphérique du superbe Château dans le ciel. Pourtant, en l'état, ce bel édifice stimule plus d'une fois les mirettes : il se révèle par ailleurs suffisamment dense, intelligent, drôle, touchant et foisonnant pour n'apporter que de la satisfaction sur un plan technique et narratif.