Capitaine Sky et le monde de demain : Critique presse
Capitaine Sky et le monde de demain
Note moyenne
3,3
20 titres de presse
Mad Movies
Score
Ciné Live
Cinéastes
L'Ecran Fantastique
Ouest France
aVoir-aLire.com
Brazil
L'Express
Le Figaro
Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
MCinéma.com
Positif
Studio Magazine
TéléCinéObs
Télérama
Libération
Première
Zurban
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Mad Movies
par Julien Sévéon
(...) un voyage enchanteur vers un cinéma dont on n'avait pas eu d'échos depuis Les Aventuriers de l'Arche perdue. Du vrai cinéma d'aventures empli d'un ton léger, mais sincère et authentique. Les nostalgiques de La dernière séance, des cinémas de quartier et des serials d'aventures bourrés de rebondissements vont se régaler... Les autres aussi d'ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Score
par Bob Alcazar
Sous sa couche d'imperfections et de noir profond [...], Capitaine sky est porteur de grandes nouvelles. Conran s'avère de ces rêveurs démiurges capables de diffuser sur grand écran ce sentiment d'hébétude et d'excitation que procure la meilleure SF. Plus ressenti ça depuis Star Wars, première trilogie.
La critique complète est disponible sur le site Score
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Cinéastes
par Izumi Gautier
(...) une oeuvre qui ne ressemble à rien d'autre, marquée par la personnalité de son auteur/réalisateur. [...] L'intrigue est simple, voire simpliste. [...] Les personnages sont attachants, le casting parfait. [...] Tout cela n'en fait pas une création à haute portée philosophique, ni à forte charge émotionnelle, mais un honnête film à pop-corn.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Ecran Fantastique
par Julie Deh
L'attrait principal de l'oeuvre réside dans son inventivité esthétique. Une évidente touche de BD, un glamour très années 30, fantastique dans certains de ses développements , lumineux tout en se gardant des facettes obsures, classique autant que novateur...
Ouest France
par La Rédaction
Vous découvrirez quelque chose qui ne ressemble à rien de ce qui vous est familier dans les salles obscures. Un petit bijou de technologie et d'audace, mis en forme dans une démarche nourrie de références cinéphiliques. [...] Tout est régi par un très fin esprit d'auto-dérision qui dissuade de prendre tout ça au sérieux. Ou pour autre chose que ce que ça veut être. Entre nostalgie et futurisme, le dépaysement d'un cinéma venu d'ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Un hommage aux serials et aux films noirs aussi imparfait que plaisant...Tout n'est qu'un concept - risqué et exploité jusqu'au bout - auquel on adhère ou pas dès la première image. Soit on admire, soit on s'énerve ; dans les deux cas, de plus en plus.
Brazil
par Benoît Cousin
Kerry Conran [...] joue à fond la carte de la nostalgie, et brasse ses références avec une belle maestria [...]. Malheureusement le metteur en scène n'évite pas toujours une démarche d'antiquaire à la Jeunet, à force de trop se focaliser sur de magnifiques images ultra-léchées.Autre bémol notable, la présence de la lymphatique Gwyneth Paltrow, qu'on aurait aimé voir écrasée par les robots géants du début du film...
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
il n'y a pas la moindre invention originale dans ce " digest", qui pille numériquement le vieux fonds de la SF et de la comédie d'action. Mais les décors et l'ambiance années 40, le glamour BD du couple Law-Paltrow, donnent au film un charme rétro qui n'est pas désagréable.
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Aussi séduisante visuellement que soit cette plongée dans un monde rétrofuturiste de la fin des années 30, on a du mal à se laisser emporter par une histoire qui ressemble un peu trop à une bête aventure de Blake et Mortimer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
Devant ce spectacle magique, qui ambitionne d'être la quintessence du cinéma d'aventures, on pense tour à tour aux feuilletons d'antan, à Metropolis, Buck Rogers, Indiana Jones, James Bond, King Kong... On redevient des gamins qui découvrent le spectacle cinématographique ! Et l'on est à deux doigts d'approuver ce critique américain qui dit que " ne pas aimer Capitaine Sky, c'est ne pas aimer le cinéma ". Sauf que l'on grandit très vite face à l'histoire bateau, évidente et finalement assez terne.
Positif
par Lorenzo Codelli
Jude Law refait Jude Law, séducteur ironique à la lèvre subtile comme dans Alfie, Gwyneth paltrownise en se prenant pour Audrey Hepburn, Angelina Jolie ne remue même plus sa plastique marmoréenne. [...]Look riche, richissime...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) les images du film tiennent du jamais-vu. On passera donc volontiers sur la banalité du scénario et l'incapacité des acteurs à faire exister leurs personnages pour applaudir les yeux écarquillés les premiers pas d'une pure révolution esthétique.
Télérama
par Aurélien Férenczi
Sky Captain est un film " palimpseste ", qui absorbe et cite un nombre conséquent d'influences (...) se transforme sous nos yeux en musée live de la culture populaire américaine. Si la visite séduit, après un démarrage un peu mou, c'est aussi que le plaisir des comédiens à habiter des archétypes est communicatif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par AYON
A force d'artifices [...] le film flotte dans une certaine immatérialité d'enfance rétrofuturiste recherchée. [...] Moyennant quoi Captain Sky parvient, par son maniérisme graphique très Jeunet, à ennuyer les amateurs en ravissant le profane. Cela mériterait réflexion... une autre fois.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Nicolas Schaller
L'ambition du débutant Kerry Conran était culottée et excitante. La déception est à la hauteur. Scénar plan-plan, mise en scène sclérosée, couple vedette transparent. On n'en retient guère que le beau premier quart d'heure.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Yasmine Youssi
Il n'y a pas grand chose à sauver de cet opus aussi interminable qu'assourdissant. Si ce n'est cette incroyable batterie d'effets spéciaux qui donne à l'ensemble l'esthétique élégante des plus grands films de SF des années '30. Mais cela reste malheureusement insuffisant pour masquer l'indigence du scénario. Pour les fans du genre uniquement.
Mad Movies
(...) un voyage enchanteur vers un cinéma dont on n'avait pas eu d'échos depuis Les Aventuriers de l'Arche perdue. Du vrai cinéma d'aventures empli d'un ton léger, mais sincère et authentique. Les nostalgiques de La dernière séance, des cinémas de quartier et des serials d'aventures bourrés de rebondissements vont se régaler... Les autres aussi d'ailleurs.
Score
Sous sa couche d'imperfections et de noir profond [...], Capitaine sky est porteur de grandes nouvelles. Conran s'avère de ces rêveurs démiurges capables de diffuser sur grand écran ce sentiment d'hébétude et d'excitation que procure la meilleure SF. Plus ressenti ça depuis Star Wars, première trilogie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
(...) une oeuvre qui ne ressemble à rien d'autre, marquée par la personnalité de son auteur/réalisateur. [...] L'intrigue est simple, voire simpliste. [...] Les personnages sont attachants, le casting parfait. [...] Tout cela n'en fait pas une création à haute portée philosophique, ni à forte charge émotionnelle, mais un honnête film à pop-corn.
L'Ecran Fantastique
L'attrait principal de l'oeuvre réside dans son inventivité esthétique. Une évidente touche de BD, un glamour très années 30, fantastique dans certains de ses développements , lumineux tout en se gardant des facettes obsures, classique autant que novateur...
Ouest France
Vous découvrirez quelque chose qui ne ressemble à rien de ce qui vous est familier dans les salles obscures. Un petit bijou de technologie et d'audace, mis en forme dans une démarche nourrie de références cinéphiliques. [...] Tout est régi par un très fin esprit d'auto-dérision qui dissuade de prendre tout ça au sérieux. Ou pour autre chose que ce que ça veut être. Entre nostalgie et futurisme, le dépaysement d'un cinéma venu d'ailleurs.
aVoir-aLire.com
Un hommage aux serials et aux films noirs aussi imparfait que plaisant...Tout n'est qu'un concept - risqué et exploité jusqu'au bout - auquel on adhère ou pas dès la première image. Soit on admire, soit on s'énerve ; dans les deux cas, de plus en plus.
Brazil
Kerry Conran [...] joue à fond la carte de la nostalgie, et brasse ses références avec une belle maestria [...]. Malheureusement le metteur en scène n'évite pas toujours une démarche d'antiquaire à la Jeunet, à force de trop se focaliser sur de magnifiques images ultra-léchées.Autre bémol notable, la présence de la lymphatique Gwyneth Paltrow, qu'on aurait aimé voir écrasée par les robots géants du début du film...
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
il n'y a pas la moindre invention originale dans ce " digest", qui pille numériquement le vieux fonds de la SF et de la comédie d'action. Mais les décors et l'ambiance années 40, le glamour BD du couple Law-Paltrow, donnent au film un charme rétro qui n'est pas désagréable.
Les Inrockuptibles
Aussi séduisante visuellement que soit cette plongée dans un monde rétrofuturiste de la fin des années 30, on a du mal à se laisser emporter par une histoire qui ressemble un peu trop à une bête aventure de Blake et Mortimer.
MCinéma.com
Devant ce spectacle magique, qui ambitionne d'être la quintessence du cinéma d'aventures, on pense tour à tour aux feuilletons d'antan, à Metropolis, Buck Rogers, Indiana Jones, James Bond, King Kong... On redevient des gamins qui découvrent le spectacle cinématographique ! Et l'on est à deux doigts d'approuver ce critique américain qui dit que " ne pas aimer Capitaine Sky, c'est ne pas aimer le cinéma ". Sauf que l'on grandit très vite face à l'histoire bateau, évidente et finalement assez terne.
Positif
Jude Law refait Jude Law, séducteur ironique à la lèvre subtile comme dans Alfie, Gwyneth paltrownise en se prenant pour Audrey Hepburn, Angelina Jolie ne remue même plus sa plastique marmoréenne. [...]Look riche, richissime...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) les images du film tiennent du jamais-vu. On passera donc volontiers sur la banalité du scénario et l'incapacité des acteurs à faire exister leurs personnages pour applaudir les yeux écarquillés les premiers pas d'une pure révolution esthétique.
Télérama
Sky Captain est un film " palimpseste ", qui absorbe et cite un nombre conséquent d'influences (...) se transforme sous nos yeux en musée live de la culture populaire américaine. Si la visite séduit, après un démarrage un peu mou, c'est aussi que le plaisir des comédiens à habiter des archétypes est communicatif.
Libération
A force d'artifices [...] le film flotte dans une certaine immatérialité d'enfance rétrofuturiste recherchée. [...] Moyennant quoi Captain Sky parvient, par son maniérisme graphique très Jeunet, à ennuyer les amateurs en ravissant le profane. Cela mériterait réflexion... une autre fois.
Première
L'ambition du débutant Kerry Conran était culottée et excitante. La déception est à la hauteur. Scénar plan-plan, mise en scène sclérosée, couple vedette transparent. On n'en retient guère que le beau premier quart d'heure.
Zurban
Il n'y a pas grand chose à sauver de cet opus aussi interminable qu'assourdissant. Si ce n'est cette incroyable batterie d'effets spéciaux qui donne à l'ensemble l'esthétique élégante des plus grands films de SF des années '30. Mais cela reste malheureusement insuffisant pour masquer l'indigence du scénario. Pour les fans du genre uniquement.