Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
par Elisabeth Quin
Grand film euphorisant, train électrique virtuose charriant des images de synthèse et une reconstitution munificente du vieil Hollywood aussi dépravé que puritain (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par François Forestier
Scorsese donne des chef-d'oeuvres, dont cet "Aviator" magnifique et emporté (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle TRANCHANT
Avec la maestria qu'on lui connaît, Scorsese conjugue le glamour hollywoodien, la fascination pour le jusqu'au-boutisme éclatant des pilotes et pour le rêve américain, l'isolement et la destruction intérieure de son héros, dans une fresque étourdissante.
Le Monde
par Florence Colombani
Dans sa première partie, le film a toute la beauté de ces héros fitzgeraldiens, qui traversent la vie comme une fête, avec pour seule angoisse l'approche du petit matin. On peut croire, pour un moment encore, que ce brio suffira au cinéaste, que le film sera l'un des plus légers de son auteur, un divertissement luxueux, une oeuvre de commande réussie, en somme. C'est alors que tout bascule et qu'Aviator rejoint le clan des grands films de Martin Scorsese.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Rolling Stone
par Sabine Gros La Faige
Audacieux et glamour, Aviator a le souffle épique d'une production hollywoodienne (...) mais conserve une dimension humaine dans ce portrait dramatique d'un homme rongé par ses démons. (...) Casting parfait, narration maîtrisée de bout en bout et brio visuel: préparez-vous pour trois heures de vol qui passeront à la vitesse de l'éclair.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par François Forestier
La mise en scène est somptueuse. Et Leonardo DiCaprio, qui ne ressemble en rien à Howard Hughes (...), parvient à donner vie à ce personnage hors du commun. Le film dure deux heures quarante-cinq minutes : il passe comme un éclair. L'un des grands films de cette année.
Télérama
par Pierre Murat
Pour Immédiatement, on sent le bonheur du cinéaste d'être aux commandes de cette fresque, de cet immense joujou qui ressemble, en fait, aux avions de Howard Hughes, l'homme dont il raconte la vie. Et l'euphorie de Martin Scorsese est communicative.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Caroline Vié
Il manque juste à Aviator le petit supplément d'âme qui en ferait un grand moment de cinéma. En choisissant de livrer une hagiographie de Hughes, Di Caprio a probablement privé Scorcese de l'espace de liberté nécessaire pour mieux traiter les zones d'ombre du personnage. (...) Aviator n'est qu'un très bon film, alors qu'on rêvait de les voir réussir un classique du 7ème Art...
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
De tous les Scorsese, Aviator [est] le plus calme formellement. Anecdotes, portraits et vignettes défilent sans génie ni fureur (...). Pas de trouvaille ébouriffante de casting, pas non plus de narration en polyphonie off; ni fondus fous, ni sample des tubes de l'époque. Nouveauté zéro à tous ces endroits. Démission ? Sagesse plutôt.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Scorsese a désormais intégré ce que son amour du cinéma classique américain lui commandait de viser : une logique de studio. (...) une monumentalité gratouillée par une forme de classicisme un brin lisse. Aviator en est l'illustration : sûrement pas Citizen Kane, auquel on pense évidemment (...), on peut même lui préférer nettement Gangs of New York, plus fiévreux, accrocheur, puissant, moins policé.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Thierry Gandillot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-marc Lalanne
Avec Howard hughes, Martin Scorsese a trouvé matière à façonner un personnage éminemment scorsesien. Pour une fois, Martin Scorsese s'intéresse davantage à la phase de la névrose qu'à celle de son accomplissement dans la psychose.
Libération
par Alexis BERNIER
Assez rythmé et jubilatoire, le film joue à plein régime du parallèle entre l'aviateur et les avions. (...) Si le film ne traite pas l'effondrement final, il en montre avec justesse les prémices. DiCaprio joue du tic compulsif et de la grimace dégoûtée sans cabotinage, à l'occasion de quelques belles séquences de bouffées délirantes. Le mystère Hughes demeure, en dépit des réponses que le film entend apporter. C'est sans doute mieux ainsi.
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
THE AVIATOR ne fait sans doute pas partie des chefs-d'oeuvre du réalisateur des AFFRANCHIS, mais il reste une excellente biographie filmée, riche et foisonnante. (...) Il est porté par un casting irréprochable (...). On peut trouver le film un peu long, peut-être pas assez " Scorsesien ", mais l'ensemble, avec ses reconstitutions fastueuses et ses scènes aériennes hallucinantes, donne un spectacle réussi. Recommandé.
Ouest France
par La rédaction
Scorsese (...) ne signe pas là son film le plus personnel. Mais avec maîtrise, diversité et brio, il compose un grand spectacle de cinéma hollywoodien, rythmé par un superbe bande-son accents d'époque. Dans le panache de séquences haletantes ou l'élégance d'une nostalgie colorée, toutes les palpitations du cinéma nourrissent un divertissement de haute volée.
Paris Match
par Alain Spira
Le seul reproche que l'on puisse faire à la réalisation, toujours magistrale, c'est son classicisme, qui, parfois, frôle l'académisme.
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Le tout est magistralement fabriqué, (...) Cate Blanchett et Kate Beckinsale redoublent de séduction (...) dans les rôles de Katharine Hepburn et Ava Gardner.
Zurban
par Olivier Pélisson
Si Aviator n'atteint pas les sommets du cinéaste, il se distingue tout de même comme un passionnant spectacle, brillament maîtrisé.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Scorsese excelle dans la peinture de l'âge d'or hollywoodien (...). Sa virtuosité formelle n'est plus à démontrer et s'exprime ici à des degrés divers et impressionnants (...). Seulement voilà, si l'ensemble (...) atteint des sommets pendant les deux délicieuses premières heures - si on les prend à part, le film frôle la perfection -, la suite s'enlise dans une volonté d'exhaustivité qui provoque l'inverse de l'effet recherché.
Cinéastes
par boris Jeanne
(...) un produit long et filmé sans passion, mais avec suffisamment d'ingrédients (on se retrouve dans la cuisine des studios avec ce " Marty ") pour rentabiliser l'investissement, à l'échelle du film et à l'échelle du spectateur à qui on en met plein les yeux
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
A moins de considérer Scorsese comme définitivement vendu à la cause hollywoodienne, peu de chose relèvent de sa signature. (...) Le scénario linéaire est sans surprises et l'ennuyeux respect chronologique de la vie de Hughes vient parfaire une touche hollywoodienne des plus commerciales. Malgré cette lourdeur (...), Aviator mérite d'être vu.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
France Soir
par Richard Gianorio
Mise en scène irréprochablement superbe, interprétation irréprochablement superbe et pourtant...(...) curieusement, à l'écran, Hughes manque de dimension mythique. Est-ce parce que la réalisation trop luxueuse de Scorsese torpille l'histoire ? (...) Aviator laisse sur sa faim en s'arrêtant trop tôt.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Certes Aviator bénéficie du talent de Martin Scorsese. La mise en scène somptueuse s'accompagne d'une reconstitution sans faille. (...) Pourtant, cette volonté de ressemblance, poussée à son paroxysme, constitue aussi son principal défaut. Elle nuit à la chair même de l'oeuvre. Scorsese perd de vue l'essentiel et Aviator apparaît alors comme le travail soigné d'un élève extrêmement doué soucieux de faire admirer son savoir-faire.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film est plaisant à regarder, on se surprend seulement par moments à y chercher Scorsese, son audace, son énergie (...). Aviator manque de surprise et de folie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Score
par Miguelito
Passé une première demi-heure bluffante, le film ne décolle jamais. Dans The Aviator, la griffe Scorsese, ce costume rital à l'inégalable allure dont raffolent les spectateurs et les producteurs ricains, ces moments de pure virtuosité stylistique (...) semblent absents ou caricaturaux. (...) Scorcese aurait-il perdu la main ?
La critique complète est disponible sur le site Score
Télérama
par Jacques Morice
Contre. Aviator peine à décoller, bloqué sur le plancher des vaches, empêché par un chargement bien trop lourd d'informations. Manque ici la fulgurance et le vertige qu'appelait ce sujet, davantage destiné à Michael Mann (...), un temps choisi pour le réaliser. On retrouve bien dans le scénario des thèmes chers à Scorsese, mais orchestrés sur un mode tellement démonstratif qu'ils frisent la caricature.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Grand film euphorisant, train électrique virtuose charriant des images de synthèse et une reconstitution munificente du vieil Hollywood aussi dépravé que puritain (...).
L'Obs
Scorsese donne des chef-d'oeuvres, dont cet "Aviator" magnifique et emporté (...).
Le Figaroscope
Avec la maestria qu'on lui connaît, Scorsese conjugue le glamour hollywoodien, la fascination pour le jusqu'au-boutisme éclatant des pilotes et pour le rêve américain, l'isolement et la destruction intérieure de son héros, dans une fresque étourdissante.
Le Monde
Dans sa première partie, le film a toute la beauté de ces héros fitzgeraldiens, qui traversent la vie comme une fête, avec pour seule angoisse l'approche du petit matin. On peut croire, pour un moment encore, que ce brio suffira au cinéaste, que le film sera l'un des plus légers de son auteur, un divertissement luxueux, une oeuvre de commande réussie, en somme. C'est alors que tout bascule et qu'Aviator rejoint le clan des grands films de Martin Scorsese.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Rolling Stone
Audacieux et glamour, Aviator a le souffle épique d'une production hollywoodienne (...) mais conserve une dimension humaine dans ce portrait dramatique d'un homme rongé par ses démons. (...) Casting parfait, narration maîtrisée de bout en bout et brio visuel: préparez-vous pour trois heures de vol qui passeront à la vitesse de l'éclair.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
La mise en scène est somptueuse. Et Leonardo DiCaprio, qui ne ressemble en rien à Howard Hughes (...), parvient à donner vie à ce personnage hors du commun. Le film dure deux heures quarante-cinq minutes : il passe comme un éclair. L'un des grands films de cette année.
Télérama
Pour Immédiatement, on sent le bonheur du cinéaste d'être aux commandes de cette fresque, de cet immense joujou qui ressemble, en fait, aux avions de Howard Hughes, l'homme dont il raconte la vie. Et l'euphorie de Martin Scorsese est communicative.
Brazil
Il manque juste à Aviator le petit supplément d'âme qui en ferait un grand moment de cinéma. En choisissant de livrer une hagiographie de Hughes, Di Caprio a probablement privé Scorcese de l'espace de liberté nécessaire pour mieux traiter les zones d'ombre du personnage. (...) Aviator n'est qu'un très bon film, alors qu'on rêvait de les voir réussir un classique du 7ème Art...
Cahiers du Cinéma
De tous les Scorsese, Aviator [est] le plus calme formellement. Anecdotes, portraits et vignettes défilent sans génie ni fureur (...). Pas de trouvaille ébouriffante de casting, pas non plus de narration en polyphonie off; ni fondus fous, ni sample des tubes de l'époque. Nouveauté zéro à tous ces endroits. Démission ? Sagesse plutôt.
Chronic'art.com
Scorsese a désormais intégré ce que son amour du cinéma classique américain lui commandait de viser : une logique de studio. (...) une monumentalité gratouillée par une forme de classicisme un brin lisse. Aviator en est l'illustration : sûrement pas Citizen Kane, auquel on pense évidemment (...), on peut même lui préférer nettement Gangs of New York, plus fiévreux, accrocheur, puissant, moins policé.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Avec Howard hughes, Martin Scorsese a trouvé matière à façonner un personnage éminemment scorsesien. Pour une fois, Martin Scorsese s'intéresse davantage à la phase de la névrose qu'à celle de son accomplissement dans la psychose.
Libération
Assez rythmé et jubilatoire, le film joue à plein régime du parallèle entre l'aviateur et les avions. (...) Si le film ne traite pas l'effondrement final, il en montre avec justesse les prémices. DiCaprio joue du tic compulsif et de la grimace dégoûtée sans cabotinage, à l'occasion de quelques belles séquences de bouffées délirantes. Le mystère Hughes demeure, en dépit des réponses que le film entend apporter. C'est sans doute mieux ainsi.
MCinéma.com
THE AVIATOR ne fait sans doute pas partie des chefs-d'oeuvre du réalisateur des AFFRANCHIS, mais il reste une excellente biographie filmée, riche et foisonnante. (...) Il est porté par un casting irréprochable (...). On peut trouver le film un peu long, peut-être pas assez " Scorsesien ", mais l'ensemble, avec ses reconstitutions fastueuses et ses scènes aériennes hallucinantes, donne un spectacle réussi. Recommandé.
Ouest France
Scorsese (...) ne signe pas là son film le plus personnel. Mais avec maîtrise, diversité et brio, il compose un grand spectacle de cinéma hollywoodien, rythmé par un superbe bande-son accents d'époque. Dans le panache de séquences haletantes ou l'élégance d'une nostalgie colorée, toutes les palpitations du cinéma nourrissent un divertissement de haute volée.
Paris Match
Le seul reproche que l'on puisse faire à la réalisation, toujours magistrale, c'est son classicisme, qui, parfois, frôle l'académisme.
Télé 7 Jours
Le tout est magistralement fabriqué, (...) Cate Blanchett et Kate Beckinsale redoublent de séduction (...) dans les rôles de Katharine Hepburn et Ava Gardner.
Zurban
Si Aviator n'atteint pas les sommets du cinéaste, il se distingue tout de même comme un passionnant spectacle, brillament maîtrisé.
aVoir-aLire.com
Scorsese excelle dans la peinture de l'âge d'or hollywoodien (...). Sa virtuosité formelle n'est plus à démontrer et s'exprime ici à des degrés divers et impressionnants (...). Seulement voilà, si l'ensemble (...) atteint des sommets pendant les deux délicieuses premières heures - si on les prend à part, le film frôle la perfection -, la suite s'enlise dans une volonté d'exhaustivité qui provoque l'inverse de l'effet recherché.
Cinéastes
(...) un produit long et filmé sans passion, mais avec suffisamment d'ingrédients (on se retrouve dans la cuisine des studios avec ce " Marty ") pour rentabiliser l'investissement, à l'échelle du film et à l'échelle du spectateur à qui on en met plein les yeux
Fluctuat.net
A moins de considérer Scorsese comme définitivement vendu à la cause hollywoodienne, peu de chose relèvent de sa signature. (...) Le scénario linéaire est sans surprises et l'ennuyeux respect chronologique de la vie de Hughes vient parfaire une touche hollywoodienne des plus commerciales. Malgré cette lourdeur (...), Aviator mérite d'être vu.
France Soir
Mise en scène irréprochablement superbe, interprétation irréprochablement superbe et pourtant...(...) curieusement, à l'écran, Hughes manque de dimension mythique. Est-ce parce que la réalisation trop luxueuse de Scorsese torpille l'histoire ? (...) Aviator laisse sur sa faim en s'arrêtant trop tôt.
L'Humanité
Certes Aviator bénéficie du talent de Martin Scorsese. La mise en scène somptueuse s'accompagne d'une reconstitution sans faille. (...) Pourtant, cette volonté de ressemblance, poussée à son paroxysme, constitue aussi son principal défaut. Elle nuit à la chair même de l'oeuvre. Scorsese perd de vue l'essentiel et Aviator apparaît alors comme le travail soigné d'un élève extrêmement doué soucieux de faire admirer son savoir-faire.
L'Obs
Le film est plaisant à regarder, on se surprend seulement par moments à y chercher Scorsese, son audace, son énergie (...). Aviator manque de surprise et de folie.
Score
Passé une première demi-heure bluffante, le film ne décolle jamais. Dans The Aviator, la griffe Scorsese, ce costume rital à l'inégalable allure dont raffolent les spectateurs et les producteurs ricains, ces moments de pure virtuosité stylistique (...) semblent absents ou caricaturaux. (...) Scorcese aurait-il perdu la main ?
Télérama
Contre. Aviator peine à décoller, bloqué sur le plancher des vaches, empêché par un chargement bien trop lourd d'informations. Manque ici la fulgurance et le vertige qu'appelait ce sujet, davantage destiné à Michael Mann (...), un temps choisi pour le réaliser. On retrouve bien dans le scénario des thèmes chers à Scorsese, mais orchestrés sur un mode tellement démonstratif qu'ils frisent la caricature.