Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
(...) une stupéfiante odyssée, très pasolinienne, qui mêle le divin et le profane et demande au spectateur de croire en l'image comme en une apparition poétique.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film ambitieux, culotté, risqué, un pur objet de beauté traversé d'images sidérantes et fascinantes, un objet impur par excellence, intérieur, bouillant comme la lave que l'on voit au début du film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Tiresia va ainsi : aveuglant (de beauté) et aveuglé (par nous autres, qui voudrions l'enfermer dans des définitions, des cases). Stylistiquement hermaphrodite, donc pour toujours partagé. Double, ambigu. Pute et saint à la fois. Et incroyablement visionnaire.
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
(...) un véritable objet de fascination. TIRESIA, film à la mise en scène épurée, évoque par moments des oeuvres aussi fortes que THERESE ou SOUS LE SOLEIL DE SATAN. Il est de ceux dont les images vous hantent longuement. Envoûtant.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Tiresia est un beau film, mais c'était moins une, et Bonello un hyperbolique qui mérite que l'on fasse grand cas de ses emportements.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) Bertrand Bonello se révèle, avec ce troisième long métrage, comme un des jeunes cinéastes français les plus originaux apparus depuis longtemps. Tiresia n'en élève pas moins cette originalité à un niveau d'exigence et d'aridité propre à décontenancer le spectateur le mieux disposé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Epuré à l'image, lyrique sur la bande-son, servi par des acteurs épatants, "Tiresia" propose une réflexion exigeant sur la question complexe de l'identité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Bonello n'a pas froid aux yeux et continue de graver sa différence, deux ans après Le Pornographe, splendide élégie avec Jean-Pierre Léaud.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Très sombre et carcéral dans sa première partie, le film s'ouvre ensuite vers une lumière pastorale. Un trajet métaphysique, esthétique et charnel, très prégnant, qui confirme l'importance de Bonello dans le cinéma français.
L'Humanité
par Vincent Ostria
En dehors d'un regard troublant sur la transsexualité (...), on ne voit pas bien où veut en venir le cinéaste en juxtaposant ainsi sexualité et religion. S'il veut se mesurer à Pasolini, ce n'est pas tout à fait convaincant.
Première
par Sophie Grassin
Tiresia sidère par son refus obstiné de tout naturalisme et de toutes concessions. Au risque de demeurer parfois elliptique. On pense à Bresson (...) On se réfère à Cavalier (...) Et l'on mise en tout cas sur Bonello, leur disciple saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
(...) une stupéfiante odyssée, très pasolinienne, qui mêle le divin et le profane et demande au spectateur de croire en l'image comme en une apparition poétique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Un film ambitieux, culotté, risqué, un pur objet de beauté traversé d'images sidérantes et fascinantes, un objet impur par excellence, intérieur, bouillant comme la lave que l'on voit au début du film.
Libération
Tiresia va ainsi : aveuglant (de beauté) et aveuglé (par nous autres, qui voudrions l'enfermer dans des définitions, des cases). Stylistiquement hermaphrodite, donc pour toujours partagé. Double, ambigu. Pute et saint à la fois. Et incroyablement visionnaire.
MCinéma.com
(...) un véritable objet de fascination. TIRESIA, film à la mise en scène épurée, évoque par moments des oeuvres aussi fortes que THERESE ou SOUS LE SOLEIL DE SATAN. Il est de ceux dont les images vous hantent longuement. Envoûtant.
Chronic'art.com
Tiresia est un beau film, mais c'était moins une, et Bonello un hyperbolique qui mérite que l'on fasse grand cas de ses emportements.
Le Monde
(...) Bertrand Bonello se révèle, avec ce troisième long métrage, comme un des jeunes cinéastes français les plus originaux apparus depuis longtemps. Tiresia n'en élève pas moins cette originalité à un niveau d'exigence et d'aridité propre à décontenancer le spectateur le mieux disposé.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
Epuré à l'image, lyrique sur la bande-son, servi par des acteurs épatants, "Tiresia" propose une réflexion exigeant sur la question complexe de l'identité.
Télérama
Bonello n'a pas froid aux yeux et continue de graver sa différence, deux ans après Le Pornographe, splendide élégie avec Jean-Pierre Léaud.
Zurban
Très sombre et carcéral dans sa première partie, le film s'ouvre ensuite vers une lumière pastorale. Un trajet métaphysique, esthétique et charnel, très prégnant, qui confirme l'importance de Bonello dans le cinéma français.
L'Humanité
En dehors d'un regard troublant sur la transsexualité (...), on ne voit pas bien où veut en venir le cinéaste en juxtaposant ainsi sexualité et religion. S'il veut se mesurer à Pasolini, ce n'est pas tout à fait convaincant.
Première
Tiresia sidère par son refus obstiné de tout naturalisme et de toutes concessions. Au risque de demeurer parfois elliptique. On pense à Bresson (...) On se réfère à Cavalier (...) Et l'on mise en tout cas sur Bonello, leur disciple saisissant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com