Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
L'intérêt du film de James Cox réside là, dans ce doute immuable sur la conduite de Holmes et dans la constatation de l'inanité de la vérité. En effet, alors qu'en règle générale la superposition des récits et des hypothèses semble devoir conduire à un dévoilement véritable et conclusif des faits, l'incertitude demeure ici. Et elle débouche sur l'horrible constat que le degré de culpabilité du personnage principal du film importe peu. Le pire est toujours sûr, la rédemption impossible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par B. A.
Le triptyque sexe, drogue et rock'n'roll est réuni dans ce film choc, inspiré d'un authentique fait divers. Et grâce à une mise en scène survitaminée comme un cocktail inavouable, on suit sans hésitation un Val Kilmer parfait dans le rôle de l'idole underground.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Camille Brun
Ce qui pourrait être la suite non-officielle de BOOGIE NIGHTS avait la matière d'un bon film. Mais James Cox n'est pas Paul Thomas Anderson. Et s'il a les ingrédients pour faire une oeuvre intéressante, il rate en grande partie son coup. (...) Grossièrement dessinés, les personnages ont du mal à nous fasciner. Et sans construction psychologique, le questionnement sur la culpabilité possible de John Holmes perd fortement de son impact.
Télérama
par Pierre Murat
Comme Boogie Nights, de Paul Thomas Anderson, Wonderland est un témoignage sur une époque et une société frénétiques, dont on contemple, fasciné, le ridicule visible et le mal-être secret. Mais Paul Thomas Anderson enveloppait sa mise à mort des années 70 de mouvements de caméra suaves et cruels. James Cox, lui, a cru pouvoir entretenir le mystère et l'ambiguïté en tournant une sorte de clip hypervitaminé. Scénario et comédiens (Val Kilmer, pour une fois très bien) lui résistent vaillamment. Ils ont bien du mérite et, par moments, un peu de mal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
James Cox ne tire de cette biographie " scandaleuse " qu'une série de vignettes toc où chaque événement est monté en épingle dans un style tape-à-l'oeil. (...) Certains ont fait la fine bouche devant Boogie Nights de Paul Thomas Anderson (inspiré du même personnage) : comme dit l'autre, y'a pas photo.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Pour combler un scénario bien pâlot, on nous ressert des artifices à la Scarface ou des plus pompeux thrillers, avec profusion de musiques de la fin des années 70 et des effets de caméra qui lassent très vite.
Première
par Nicolas Schaller
Wonderland a beau suinter le glauque de partout, on est loin du pamphlet cinglant sur les dessous du rêve américain qu'il prétend être.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Reconstitution glauque, mise en scène complaisante et morale douteuse sur l'idée que le porno appelle nécessairement le vice : la forme et le fond sont ici conjointement nauséeux.
Le Monde
L'intérêt du film de James Cox réside là, dans ce doute immuable sur la conduite de Holmes et dans la constatation de l'inanité de la vérité. En effet, alors qu'en règle générale la superposition des récits et des hypothèses semble devoir conduire à un dévoilement véritable et conclusif des faits, l'incertitude demeure ici. Et elle débouche sur l'horrible constat que le degré de culpabilité du personnage principal du film importe peu. Le pire est toujours sûr, la rédemption impossible.
Le Parisien
Le triptyque sexe, drogue et rock'n'roll est réuni dans ce film choc, inspiré d'un authentique fait divers. Et grâce à une mise en scène survitaminée comme un cocktail inavouable, on suit sans hésitation un Val Kilmer parfait dans le rôle de l'idole underground.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Ce qui pourrait être la suite non-officielle de BOOGIE NIGHTS avait la matière d'un bon film. Mais James Cox n'est pas Paul Thomas Anderson. Et s'il a les ingrédients pour faire une oeuvre intéressante, il rate en grande partie son coup. (...) Grossièrement dessinés, les personnages ont du mal à nous fasciner. Et sans construction psychologique, le questionnement sur la culpabilité possible de John Holmes perd fortement de son impact.
Télérama
Comme Boogie Nights, de Paul Thomas Anderson, Wonderland est un témoignage sur une époque et une société frénétiques, dont on contemple, fasciné, le ridicule visible et le mal-être secret. Mais Paul Thomas Anderson enveloppait sa mise à mort des années 70 de mouvements de caméra suaves et cruels. James Cox, lui, a cru pouvoir entretenir le mystère et l'ambiguïté en tournant une sorte de clip hypervitaminé. Scénario et comédiens (Val Kilmer, pour une fois très bien) lui résistent vaillamment. Ils ont bien du mérite et, par moments, un peu de mal.
Aden
James Cox ne tire de cette biographie " scandaleuse " qu'une série de vignettes toc où chaque événement est monté en épingle dans un style tape-à-l'oeil. (...) Certains ont fait la fine bouche devant Boogie Nights de Paul Thomas Anderson (inspiré du même personnage) : comme dit l'autre, y'a pas photo.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Pour combler un scénario bien pâlot, on nous ressert des artifices à la Scarface ou des plus pompeux thrillers, avec profusion de musiques de la fin des années 70 et des effets de caméra qui lassent très vite.
Première
Wonderland a beau suinter le glauque de partout, on est loin du pamphlet cinglant sur les dessous du rêve américain qu'il prétend être.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Reconstitution glauque, mise en scène complaisante et morale douteuse sur l'idée que le porno appelle nécessairement le vice : la forme et le fond sont ici conjointement nauséeux.