Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Comédie hautement classique, " Ladykillers " monte en puissance de gag en gag jusqu'à la dernière séquence et s'appuie, au passage, sur une bande originale entre gospel, blues et hip-hop (Sam Cook and the Soul Stirrers, Nappy Roots, Blind Willie Johnson...) qui ravira les mélomanes. Il n'y a pas à dire, quand les Coen s'emploient à faire rire, ils connaissent la musique. Impossible de résister à cette avalanche de gags !
Première
par Nicolas Schaller
Ce mélange improbable de saveurs, cette musique typique des Coen, fonctionne ici à plein régime dans un registre proche de The Big Lebowski et du Grand Saut. (...) Face à la surprenante Irma P. Hall et entouré d'une galerie de "grandes gueules", Tom Hanks, que l'on n'avait pas vu drôle depuis un bout de temps, s'éclate comme un petit fou, tel Alec Guiness en son temps. On saura gré aux Coen d'avoir injecté quelques gouttes d'acide dans la filmo proprette de ce grand acteur.
Télérama
par Pierre Murat
Le nouveau film des frères Coen est une gourmandise que l'on déguste avec délectation. (...) Certains parleront de film mineur. Mais, s'ils existent vraiment, les films mineurs révèlent, mieux que certains " majeurs ", le talent de leurs réalisateurs. Dans le cas des Coen, leur sens du cadrage, du rythme et de l'humour noir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
La mise en place peut paraître un peu longuette mais on découvrira ultérieurement qu'aucun plan n'en était inutile (...) Tom Hanks fait merveille. Les autres sont à l'unisson. Et, comme toujours chez les Coen, tous les techniciens sont impeccables.
L'Obs
par François Forestier
Joel et Ethan Coen panachent la commedia dell' arte, frôlent le mauvais goût, ont des regards de connivence, parodient leurs propres films, puisent dans leur enfance une infinie galerie de portraits et de personnages (...) Ils affinent un peu plus leur vision du monde, celle d'un chaos délirant.
Le Monde
par Florence Colombani
(...) l'on assiste au déploiement d'une rhétorique élaborée qui donne aux intentions les moins avouables un vernis de moralité. Ainsi, l'air de rien, avec cette comédie enlevée qui ne paye pas de mine, les frères Coen ajoutent un chapitre très contemporain à leur grand oeuvre sur les errements de notre monde.
Positif
par Jean-Pierre Coursodon
La natre cartoonesque de l'argument permet aux Coen de donner libre cours au cynisme amusé qui est leur marque de fabrique. L'absence de tout enracinement dans une quelconque "réalité" rend ce cynisme plus recevable et efficace que dans leur film précédent, l'assez laborieux Intolérable Cruauté. Mais quoi qu'ils entreprennent, les deux frères restent, et tiennent à rester, suprêmement cool. Que cette qualité soit ou non leur "limite", Ladykillers en apporte un brillant exemple supplémentaire.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Voir ce film donne l'impression d'être confortablement installé dans son canapé : la Coen's touch s'apparente à un univers codifié (mise en scène élégante, chansons rétros...) qu'on retrouve toujours avec un plaisir identique. On connaît la chanson mais on ne s'en lasse pas. (...) L'excellente interprétation de l'acteur (enfin dans un registre comique et léger) est probablement le noyau électrique de cette comédie distinguée et euphorisante qui fait du bien aux maxillaires et détend la pupille. Vu l'indigence des films à l'affiche en ce moment, c'est déjà beaucoup...
Aden
par La rédaction
Un divertissement mineur. Les modifications apportées sont en effet anecdotiques, les ressorts comiques sont les mêmes, et Tom Hanks, prêt à en rajouter dans la composition énorme de son personnage, se fait voler la vedette par la logeuse, mamma black vraiment drôle, elle, qui reçut en récompense un prix justifié au Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Bien sûr, les frères Coen injectent leur grain de folie. S'ils respectent la trame de l'oeuvre originale, ils font des personnages de véritables branquignols. Quant au chef de bande, l'imperturbable et inventif professeur Dorr –Tom Hanks que l'on a plaisir à retrouver débridé, bien loin de ses rôles habituels–, les deux frères lui ont attribué une distinction surannée, presque britannique. On rit même si certains gags sont parfois répétitifs.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Techniquement, les frères Coen ont déjà été plus ambitieux, même si leurs cadres sont toujours aussi beaux et la lumière de Roger Deakins, qui collabore ici avec eux pour la huitième fois, toujours aussi pénétrante. Ce ne sera pas faire injure aux deux frangins que de considérer LADYKILLERS comme un opus mineur de leur filmographie. A ranger plutôt à côté de O'BROTHER que de BARTON FINK, FARGO ou THE BARBER.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Le film vaut surtout pour sa galerie de portraits : le regard que les Coen portent sur leur petit monde, plein d'une tendresse féroce, fait mouche, en rehaussant légèrement ce qui reste un film de pur divertissement. A quand un Coen majeur?
Brazil
par Alex Masson
Ce remake parvient à être à la fois feignasse formellement, dopé au cabotinage et aux gags mous, et cultiver un vague racisme ambiant. Il va finir par devenir vital pour les frangins d'abandonner les studios pour retourner à des projets indépendants moins complaisants et je m'enfoutiste.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Jamais film des Coen n'aura paru si sec, avec en outre ce côté "emballez, c'est pesé" qui témoigne, pour la première fois, d'un cynisme jouant désormais contre les cinéastes eux-mêmes. Adorable régression du Grand Saut et fausse désinvolture de Big Lebowski ont déserté la place. Et dans la coquille vide, ce petit air lancinant : s'il chante encore, ce cinéma-là semble désormais au fond du trou.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Ayant épuisé tous ses jokers, le cinéma des frères Coen atteint ici un point-limite par lequel tout ce qui faisait jusque là sa saveur -machinerie virtuose, fluidité des enchaînements, maîtrise de chaque détail- devient une coquille vide, inerte, un squelette de procédés complètement usés.(...) De rebelles jouissifs ou d'adorables régressifs, les Coen sont devenus, lentement mais sûrement, Playmobils officiels de la comédie contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
Un bac rempli d'ordures va et vient, déposant régulièrement son monceau d'immondices sur une île du Mississippi. L'image, récurrente dans Ladykillers, résume assez bien le film : un monument de grossièreté et de mauvais goût qui prétend à la satire. Nous, on a mauvais esprit. Alors, de cet objet qui prête parfois, rarement, à rire, on retient surtout les mauvaises odeurs.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Les Inrockuptibles
par La rédaction
L'humour du film, aussi lourd que poussif, ne nous atteint pas.
Libération
par Didier Péron
Moins désagréablement sinistre que leur précédent Intolérable Cruauté, avec un Clooney hystérique mais tout aussi creux, The Ladykillers est de l'entertainment stricto sensu. (...) la mise en scène des Coen, qui consiste à tout souligner et charger à la truelle, ne sert pas vraiment (disons, pas toujours...) leur désir d'amuser.
Variety
par Todd MacCarthy
Le soufflé tombe un peu à plat dans cette comédie noire des frères Coen, dans laquelle le sens de l'humour peut sembler méprisant, et le récit ne décolle pas avant le dernier tiers.
Zurban
par Mathieu Dupont
(...) Personne n'a le même sens de l'humour. Moi, j'ai trouvé bien plate et déjà vue cent fois cette histoire de braqueurs maladroits. Moi, je n'ai pas goûté cette caricature de Noirs aux intonations forcées (...) Moi, je n'ai pas ruminé de plaisir une seule réplique (...) Et moi, je n'ai pas aimé Tom Hanks en George Clooney.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
Comédie hautement classique, " Ladykillers " monte en puissance de gag en gag jusqu'à la dernière séquence et s'appuie, au passage, sur une bande originale entre gospel, blues et hip-hop (Sam Cook and the Soul Stirrers, Nappy Roots, Blind Willie Johnson...) qui ravira les mélomanes. Il n'y a pas à dire, quand les Coen s'emploient à faire rire, ils connaissent la musique. Impossible de résister à cette avalanche de gags !
Première
Ce mélange improbable de saveurs, cette musique typique des Coen, fonctionne ici à plein régime dans un registre proche de The Big Lebowski et du Grand Saut. (...) Face à la surprenante Irma P. Hall et entouré d'une galerie de "grandes gueules", Tom Hanks, que l'on n'avait pas vu drôle depuis un bout de temps, s'éclate comme un petit fou, tel Alec Guiness en son temps. On saura gré aux Coen d'avoir injecté quelques gouttes d'acide dans la filmo proprette de ce grand acteur.
Télérama
Le nouveau film des frères Coen est une gourmandise que l'on déguste avec délectation. (...) Certains parleront de film mineur. Mais, s'ils existent vraiment, les films mineurs révèlent, mieux que certains " majeurs ", le talent de leurs réalisateurs. Dans le cas des Coen, leur sens du cadrage, du rythme et de l'humour noir.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
La mise en place peut paraître un peu longuette mais on découvrira ultérieurement qu'aucun plan n'en était inutile (...) Tom Hanks fait merveille. Les autres sont à l'unisson. Et, comme toujours chez les Coen, tous les techniciens sont impeccables.
L'Obs
Joel et Ethan Coen panachent la commedia dell' arte, frôlent le mauvais goût, ont des regards de connivence, parodient leurs propres films, puisent dans leur enfance une infinie galerie de portraits et de personnages (...) Ils affinent un peu plus leur vision du monde, celle d'un chaos délirant.
Le Monde
(...) l'on assiste au déploiement d'une rhétorique élaborée qui donne aux intentions les moins avouables un vernis de moralité. Ainsi, l'air de rien, avec cette comédie enlevée qui ne paye pas de mine, les frères Coen ajoutent un chapitre très contemporain à leur grand oeuvre sur les errements de notre monde.
Positif
La natre cartoonesque de l'argument permet aux Coen de donner libre cours au cynisme amusé qui est leur marque de fabrique. L'absence de tout enracinement dans une quelconque "réalité" rend ce cynisme plus recevable et efficace que dans leur film précédent, l'assez laborieux Intolérable Cruauté. Mais quoi qu'ils entreprennent, les deux frères restent, et tiennent à rester, suprêmement cool. Que cette qualité soit ou non leur "limite", Ladykillers en apporte un brillant exemple supplémentaire.
aVoir-aLire.com
Voir ce film donne l'impression d'être confortablement installé dans son canapé : la Coen's touch s'apparente à un univers codifié (mise en scène élégante, chansons rétros...) qu'on retrouve toujours avec un plaisir identique. On connaît la chanson mais on ne s'en lasse pas. (...) L'excellente interprétation de l'acteur (enfin dans un registre comique et léger) est probablement le noyau électrique de cette comédie distinguée et euphorisante qui fait du bien aux maxillaires et détend la pupille. Vu l'indigence des films à l'affiche en ce moment, c'est déjà beaucoup...
Aden
Un divertissement mineur. Les modifications apportées sont en effet anecdotiques, les ressorts comiques sont les mêmes, et Tom Hanks, prêt à en rajouter dans la composition énorme de son personnage, se fait voler la vedette par la logeuse, mamma black vraiment drôle, elle, qui reçut en récompense un prix justifié au Festival de Cannes.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Bien sûr, les frères Coen injectent leur grain de folie. S'ils respectent la trame de l'oeuvre originale, ils font des personnages de véritables branquignols. Quant au chef de bande, l'imperturbable et inventif professeur Dorr –Tom Hanks que l'on a plaisir à retrouver débridé, bien loin de ses rôles habituels–, les deux frères lui ont attribué une distinction surannée, presque britannique. On rit même si certains gags sont parfois répétitifs.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Techniquement, les frères Coen ont déjà été plus ambitieux, même si leurs cadres sont toujours aussi beaux et la lumière de Roger Deakins, qui collabore ici avec eux pour la huitième fois, toujours aussi pénétrante. Ce ne sera pas faire injure aux deux frangins que de considérer LADYKILLERS comme un opus mineur de leur filmographie. A ranger plutôt à côté de O'BROTHER que de BARTON FINK, FARGO ou THE BARBER.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le film vaut surtout pour sa galerie de portraits : le regard que les Coen portent sur leur petit monde, plein d'une tendresse féroce, fait mouche, en rehaussant légèrement ce qui reste un film de pur divertissement. A quand un Coen majeur?
Brazil
Ce remake parvient à être à la fois feignasse formellement, dopé au cabotinage et aux gags mous, et cultiver un vague racisme ambiant. Il va finir par devenir vital pour les frangins d'abandonner les studios pour retourner à des projets indépendants moins complaisants et je m'enfoutiste.
Cahiers du Cinéma
Jamais film des Coen n'aura paru si sec, avec en outre ce côté "emballez, c'est pesé" qui témoigne, pour la première fois, d'un cynisme jouant désormais contre les cinéastes eux-mêmes. Adorable régression du Grand Saut et fausse désinvolture de Big Lebowski ont déserté la place. Et dans la coquille vide, ce petit air lancinant : s'il chante encore, ce cinéma-là semble désormais au fond du trou.
Chronic'art.com
Ayant épuisé tous ses jokers, le cinéma des frères Coen atteint ici un point-limite par lequel tout ce qui faisait jusque là sa saveur -machinerie virtuose, fluidité des enchaînements, maîtrise de chaque détail- devient une coquille vide, inerte, un squelette de procédés complètement usés.(...) De rebelles jouissifs ou d'adorables régressifs, les Coen sont devenus, lentement mais sûrement, Playmobils officiels de la comédie contemporaine.
Fluctuat.net
Un bac rempli d'ordures va et vient, déposant régulièrement son monceau d'immondices sur une île du Mississippi. L'image, récurrente dans Ladykillers, résume assez bien le film : un monument de grossièreté et de mauvais goût qui prétend à la satire. Nous, on a mauvais esprit. Alors, de cet objet qui prête parfois, rarement, à rire, on retient surtout les mauvaises odeurs.
Les Inrockuptibles
L'humour du film, aussi lourd que poussif, ne nous atteint pas.
Libération
Moins désagréablement sinistre que leur précédent Intolérable Cruauté, avec un Clooney hystérique mais tout aussi creux, The Ladykillers est de l'entertainment stricto sensu. (...) la mise en scène des Coen, qui consiste à tout souligner et charger à la truelle, ne sert pas vraiment (disons, pas toujours...) leur désir d'amuser.
Variety
Le soufflé tombe un peu à plat dans cette comédie noire des frères Coen, dans laquelle le sens de l'humour peut sembler méprisant, et le récit ne décolle pas avant le dernier tiers.
Zurban
(...) Personne n'a le même sens de l'humour. Moi, j'ai trouvé bien plate et déjà vue cent fois cette histoire de braqueurs maladroits. Moi, je n'ai pas goûté cette caricature de Noirs aux intonations forcées (...) Moi, je n'ai pas ruminé de plaisir une seule réplique (...) Et moi, je n'ai pas aimé Tom Hanks en George Clooney.