Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Les Inrockuptibles
par François Baldin
Il est rare de trouver dans le cinéma américain des films aussi adultes, ambitieux et élégants, s'aventurant dans des territoires mentaux et affectifs dont on ne sort pas indemnes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Faisant fi des effets spéciaux et autres artifices techniques sophistiqués, Jonathan Glazer renoue avec le classicisme élégant de ces maîtres du septième art que furent Hitchcock et Mankiewicz.
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Tout le film repose sur la pure étrangeté de cette relation improbable, dans laquelle Nicole Kidman, immobile, silencieuse s'absorbe avec une nostalgie obsessionnelle et un bouleversant désir de croire son amour vivant (...). Même si le scénario reste superficiel, et la fin artificielle, on est entraîné par moments vers des profondeurs envoûtantes.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film prend (...) une résonance amère, douloureuse, d'une tristesse insondable, en avouant son sujet principal, le deuil non accompli, la volonté exprimée jusqu'à la folie que le réel ne soit pas ce qu'il est, la quête désespérée d'une réalité alternative. De conte fantastique, il se transforme ainsi en un beau portrait de femme brisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
Fable sensible qui malaxe avec habileté le thème du deuil et de l'oubli impossibles, Birth ne cherche pas tant le coup d'éclat que la plongée en apnée dans un univers capitonné dont la puissance sociale, économique et spirituelle vacille face à l'impudence d'un enfant justement laconique et buté (...).
Première
par Gerard Delorme
Pour son second long-métrage, Jonathan Glazer montre un style à la fois puissant et humble évitant les effets attendus. Même si la description qu'il donne de la haute société new-yorkaise (...) risque de refroidir une partie du public, cette exigence est tenue jusqu'à la conclusion, qui, en laissant planer le doute, ne fait rien pour flatter le confort.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
MCinéma.com
par Camille Brun
Birth ne succombe jamais aux sirènes du fantastique pompier(...). On apprécie surtout les très bonnes scènes où BIRTH prend une voie subversive. (...) Malheureusement, ces moments hors-normes (...) sont assez rares. Il faut donc se contenter de la toujours excellente Nicole Kidman pour passer le temps, qui s'avère tout de même bien long.
Positif
par Catherine Axelrad
Malgré un scénario bancal, aussi peu cpnvaincant dans son développement spiritualiste (...) que dans sa conclusion prétendument logique (...) le film se laisse regarder sans déplaisir. Coiffée à la Jean Seberg, Nicole Kidman, qui nous ferait gober les pires sornettes, a tellement envie d'y croire qu'elle déploie ici toute sa palette d'émotions (...)
Rolling Stone
par Sabine Gros la Faige
Se basant sur une très bonne idée (...), le film, malgré une atmosphère troublante et une Nicole Kidman fascinante, ne parvient pourtant pas à convaincre complètement.
Score
par Bob Alcazar
La plus grande histoire d'amour jamais contée ou une bête fable new age qui blablate à n'en plus finir? Le choix vous appartient. Mais la Kidman (...) devrait faire l'unanimité.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) difficile de ne pas ressortir de la projection de Birth frustré par le tour que prend progressivement l'intrigue du film. (...) La conclusion poussive et prévisible achève nos espoirs de voir le grand film tant attendu. La faute à des ambitions scénaristiques limitées qui desservent l'ingéniosité de la mise en scène.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
par François Gorin
Aux commandes, Jonathan Glazer (...) paraît s'ennuyer ferme, ou du moins le redouter pour nous. Il se concentre sur Nicole (...). Ses cheveux sont coupés court, à la garçonne. Ça lui va plutôt bien. On finit par lui trouver une étrange ressemblance avec le gamin buté, trapu, pas dégrossi. C'est la seule distraction de ce fort joli navet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Il est rare de trouver dans le cinéma américain des films aussi adultes, ambitieux et élégants, s'aventurant dans des territoires mentaux et affectifs dont on ne sort pas indemnes.
TéléCinéObs
Faisant fi des effets spéciaux et autres artifices techniques sophistiqués, Jonathan Glazer renoue avec le classicisme élégant de ces maîtres du septième art que furent Hitchcock et Mankiewicz.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Tout le film repose sur la pure étrangeté de cette relation improbable, dans laquelle Nicole Kidman, immobile, silencieuse s'absorbe avec une nostalgie obsessionnelle et un bouleversant désir de croire son amour vivant (...). Même si le scénario reste superficiel, et la fin artificielle, on est entraîné par moments vers des profondeurs envoûtantes.
Le Monde
Le film prend (...) une résonance amère, douloureuse, d'une tristesse insondable, en avouant son sujet principal, le deuil non accompli, la volonté exprimée jusqu'à la folie que le réel ne soit pas ce qu'il est, la quête désespérée d'une réalité alternative. De conte fantastique, il se transforme ainsi en un beau portrait de femme brisée.
Libération
Fable sensible qui malaxe avec habileté le thème du deuil et de l'oubli impossibles, Birth ne cherche pas tant le coup d'éclat que la plongée en apnée dans un univers capitonné dont la puissance sociale, économique et spirituelle vacille face à l'impudence d'un enfant justement laconique et buté (...).
Première
Pour son second long-métrage, Jonathan Glazer montre un style à la fois puissant et humble évitant les effets attendus. Même si la description qu'il donne de la haute société new-yorkaise (...) risque de refroidir une partie du public, cette exigence est tenue jusqu'à la conclusion, qui, en laissant planer le doute, ne fait rien pour flatter le confort.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Birth ne succombe jamais aux sirènes du fantastique pompier(...). On apprécie surtout les très bonnes scènes où BIRTH prend une voie subversive. (...) Malheureusement, ces moments hors-normes (...) sont assez rares. Il faut donc se contenter de la toujours excellente Nicole Kidman pour passer le temps, qui s'avère tout de même bien long.
Positif
Malgré un scénario bancal, aussi peu cpnvaincant dans son développement spiritualiste (...) que dans sa conclusion prétendument logique (...) le film se laisse regarder sans déplaisir. Coiffée à la Jean Seberg, Nicole Kidman, qui nous ferait gober les pires sornettes, a tellement envie d'y croire qu'elle déploie ici toute sa palette d'émotions (...)
Rolling Stone
Se basant sur une très bonne idée (...), le film, malgré une atmosphère troublante et une Nicole Kidman fascinante, ne parvient pourtant pas à convaincre complètement.
Score
La plus grande histoire d'amour jamais contée ou une bête fable new age qui blablate à n'en plus finir? Le choix vous appartient. Mais la Kidman (...) devrait faire l'unanimité.
aVoir-aLire.com
(...) difficile de ne pas ressortir de la projection de Birth frustré par le tour que prend progressivement l'intrigue du film. (...) La conclusion poussive et prévisible achève nos espoirs de voir le grand film tant attendu. La faute à des ambitions scénaristiques limitées qui desservent l'ingéniosité de la mise en scène.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
Aux commandes, Jonathan Glazer (...) paraît s'ennuyer ferme, ou du moins le redouter pour nous. Il se concentre sur Nicole (...). Ses cheveux sont coupés court, à la garçonne. Ça lui va plutôt bien. On finit par lui trouver une étrange ressemblance avec le gamin buté, trapu, pas dégrossi. C'est la seule distraction de ce fort joli navet.