Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Sur une trame loufoque, Raoul Ruiz signe un film jubilatoire formidablement interprété par Elsa Zylberstein et Bernard Giraudeau. Le film est un délice humoristique, politique et poétique, porté par des acteurs au sommet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Aden
par Philippe Piazzo
Entrez dans ce labyrinthe cauchemardesque et vous n'en sortez plus. Les assassins sont assassinés. Un film à personnalités multiples, schizo, donc bel et bien fou, pour des fous de cinéma, d'humour et d'étrangeté n'ayant peur ni des signes ni des symboles. Avec un gros plus pour ceux qui aiment croire à la profonde (f)utilité des rêves.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Comme Raoul Ruiz fera encore une centaine de films pour recommencer l'expérience, pour jouer le jeu encore une fois, Ce jour-là promet quelques beaux lendemains.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Servie par des comédiens formidables, une comédie macabre autour de la folie signée Raoul Ruiz.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Echos
par Annie Coppermann
Plus potache et surréaliste que jamais, le réalisateur chilien avait ouvert la compétition cannoise avec cette farce macabre sur fond de satire du capitalisme. L'interprétation est un régal.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Enfin, la galerie de seconds rôles est absolument réjouissante, d'Edith Scob à Jean-Luc Bideau, en passant par Michel Piccoli, toujours aussi vif. A savourer dans n'importe quel état !
TéléCinéObs
par John Duff
Avec ce nouveau film, le cinéaste chilien signe un rébus policier doublé d'une réjouissante farce helvétophobe où ce sont les fous qui ont raison et qui triomphent.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Marine Landrot
Ce n'est sans doute ni le plus beau film, ni le plus important de Raoul Ruiz, mais son esprit facétieux fait plaisir à voir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par La rédaction
. Outré et radical, le jeu des comédiens adhère parfaitement à cette vision d'une Suisse flegmatique, plate et calme comme un lac. Méfions-nous de l'eau qui dort...
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
(...) une mécanique qui tourne un peu à vide, une petite farce morbide dont la seule ambition réside en quelques points de fuite largement atteints au finish : efficacité, fluidité, simple plaisir de la boîte à musique qui se délie peu à peu pour ouvrir, comme par enchantement, sur une fiction autonome en roue libre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Parisien
par La rédaction
Un peu d'amour, un zeste de poésie et l'envie d'un réalisateur de faire un film pour une actrice. Elsa Zylberstein est la grande triomphatrice de ce polar.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Ghislain Loustalot
Servi par des acteurs extrêmement brillants, ce conte loufoque, gore et drôle met un peu de temps à démarrer. Mais une fois que la machine infernale est lancée, plus rien ne l'arrête.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Les Inrockuptibles
Sur une trame loufoque, Raoul Ruiz signe un film jubilatoire formidablement interprété par Elsa Zylberstein et Bernard Giraudeau. Le film est un délice humoristique, politique et poétique, porté par des acteurs au sommet.
Aden
Entrez dans ce labyrinthe cauchemardesque et vous n'en sortez plus. Les assassins sont assassinés. Un film à personnalités multiples, schizo, donc bel et bien fou, pour des fous de cinéma, d'humour et d'étrangeté n'ayant peur ni des signes ni des symboles. Avec un gros plus pour ceux qui aiment croire à la profonde (f)utilité des rêves.
Cahiers du Cinéma
Comme Raoul Ruiz fera encore une centaine de films pour recommencer l'expérience, pour jouer le jeu encore une fois, Ce jour-là promet quelques beaux lendemains.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Servie par des comédiens formidables, une comédie macabre autour de la folie signée Raoul Ruiz.
Les Echos
Plus potache et surréaliste que jamais, le réalisateur chilien avait ouvert la compétition cannoise avec cette farce macabre sur fond de satire du capitalisme. L'interprétation est un régal.
MCinéma.com
Enfin, la galerie de seconds rôles est absolument réjouissante, d'Edith Scob à Jean-Luc Bideau, en passant par Michel Piccoli, toujours aussi vif. A savourer dans n'importe quel état !
TéléCinéObs
Avec ce nouveau film, le cinéaste chilien signe un rébus policier doublé d'une réjouissante farce helvétophobe où ce sont les fous qui ont raison et qui triomphent.
Télérama
Ce n'est sans doute ni le plus beau film, ni le plus important de Raoul Ruiz, mais son esprit facétieux fait plaisir à voir.
Zurban
. Outré et radical, le jeu des comédiens adhère parfaitement à cette vision d'une Suisse flegmatique, plate et calme comme un lac. Méfions-nous de l'eau qui dort...
Chronic'art.com
(...) une mécanique qui tourne un peu à vide, une petite farce morbide dont la seule ambition réside en quelques points de fuite largement atteints au finish : efficacité, fluidité, simple plaisir de la boîte à musique qui se délie peu à peu pour ouvrir, comme par enchantement, sur une fiction autonome en roue libre.
Le Parisien
Un peu d'amour, un zeste de poésie et l'envie d'un réalisateur de faire un film pour une actrice. Elsa Zylberstein est la grande triomphatrice de ce polar.
Première
Servi par des acteurs extrêmement brillants, ce conte loufoque, gore et drôle met un peu de temps à démarrer. Mais une fois que la machine infernale est lancée, plus rien ne l'arrête.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com