Les Rivières pourpres 2 - Les Anges de l'Apocalypse : Critique presse
Les Rivières pourpres 2 - Les Anges de l'Apocalypse
Note moyenne
2,9
20 titres de presse
Ciné Live
Le Parisien
Studio Magazine
TéléCinéObs
Cinéastes
L'Humanité
Le Figaro
Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
Libération
MCinéma.com
Première
Télérama
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
Fluctuat.net
L'Ecran Fantastique
Le Monde
Le Point
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) un total exercice de virtuosité cinématographique sur un scénario sans cohérence. Le réalisateur, Olivier Dahan, a le découpage dans le sang. Il nous sert dans ce shaker un cocktail explosif à faire revenir les morts.
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
L'important, c'est le spectacle. Et là, on est servi (...) Agréable et sans prétention.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cinéastes
par Hendy Bicaise
S'attaquant furieusement à notre rétine, Dahan offre une gifle qu'aucun spectateur ne pensait concevable au sein du cinéma d'action français. Certains vomiront. On peut admirer.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Certes, c'est un salmigondis catho-gothique où une chatte ne retrouverait pas ses petits : lumière glauque, cadrages biscornus, mise en scène à l'estomac, avec en sus un scénario abscons de Luc Besson (...) Mais bon, ça n'est pas pire qu'une BD moyenne, et en plus ça bouge.
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Esthétique horrifique et réalisation efficace. Mais l'emballage signé Dahan ne suffit pas.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Plus barré que le précédent épisode, Les Rivières pourpres 2 sont un sommet de kitsch gothique émaillé de quelques vraies scènes d'action pure.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Ce tissu d'âneries, brodé de fantasmes politiques un rien navrants, est mis en image d'une main fébrile par Olivier Dahan (...). S'il ne s'en sort pas trop mal dans les scènes d'action pure (...) il patauge dans toutes les séquences intermédiaires (...)
MCinéma.com
par Philippe Lourenço
Malgré une première partie dynamique, la tension s'estompe ensuite. La faute à un scénario confus, où gravitent un sosie du Christ, des textes sacrés, la Ligne Maginot et un étrange ministre qui prône une Europe pratiquante...
Première
par Ghislain Loustalot
(...) cascades rentre-dedans, poursuites yamakasiennes, explosions tonitruantes, autant de temps forts (le spectateur en a pour son argent) dont l'efficacité ne fait pas vraiment oublier les faiblesses évidentes du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Même s'il tourne à l'embrouille confuse, le scénario (de Luc Besson) a un côté série B pas déplaisant (...) Avec ça, Olivier Dahan ne faillit pas à sa mission d'accommoder le thriller à la sauce " djeune ".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Dans l'artifice d'une mise en scène simili-baroque, ce deuxième volet atteint un fond de cynisme rarement dragué.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Méga-budget englouti en quelques cachets, réalisation débilisante, intrigue pathétique, ridicule de tous les instants : voici sans aucun doute la plus affreuse carcasse de film de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
De facto, rien ne justifie le déplacement. Encore moins la raison si évidemment vénale à l'origine de ce film : espérons que le spectateur encore une fois prié d'être un pigeon, n'adhèrera pas à cette bien pauvre mascarade.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Ecran Fantastique
par Stéphane Benaïm
Amalgame malsain d'Indiana Jones, de Requiem ou encore de Seven, le film s'enlise dans des références de base pour masquer son manque d'inspiration (...) si certains passages s'avèrent filmés avec brio, l'ensemble manque cruellement d'uniformité visuelle.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Une esthétique de clip et un scénario incohérent (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Visuellement, il est évident que Dahan fait ce qu'il peut (...) Mais cette esbroufe formelle ne parvient pas à masquer l'indigence gravissime d'un scénario (écrit et dialogué par Besson - encore bravo) dont l'humour vaseux et les fausses pistes éculées agacent et ennuient.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
(...) un total exercice de virtuosité cinématographique sur un scénario sans cohérence. Le réalisateur, Olivier Dahan, a le découpage dans le sang. Il nous sert dans ce shaker un cocktail explosif à faire revenir les morts.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
L'important, c'est le spectacle. Et là, on est servi (...) Agréable et sans prétention.
Cinéastes
S'attaquant furieusement à notre rétine, Dahan offre une gifle qu'aucun spectateur ne pensait concevable au sein du cinéma d'action français. Certains vomiront. On peut admirer.
L'Humanité
Certes, c'est un salmigondis catho-gothique où une chatte ne retrouverait pas ses petits : lumière glauque, cadrages biscornus, mise en scène à l'estomac, avec en sus un scénario abscons de Luc Besson (...) Mais bon, ça n'est pas pire qu'une BD moyenne, et en plus ça bouge.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Esthétique horrifique et réalisation efficace. Mais l'emballage signé Dahan ne suffit pas.
Les Inrockuptibles
Plus barré que le précédent épisode, Les Rivières pourpres 2 sont un sommet de kitsch gothique émaillé de quelques vraies scènes d'action pure.
Libération
Ce tissu d'âneries, brodé de fantasmes politiques un rien navrants, est mis en image d'une main fébrile par Olivier Dahan (...). S'il ne s'en sort pas trop mal dans les scènes d'action pure (...) il patauge dans toutes les séquences intermédiaires (...)
MCinéma.com
Malgré une première partie dynamique, la tension s'estompe ensuite. La faute à un scénario confus, où gravitent un sosie du Christ, des textes sacrés, la Ligne Maginot et un étrange ministre qui prône une Europe pratiquante...
Première
(...) cascades rentre-dedans, poursuites yamakasiennes, explosions tonitruantes, autant de temps forts (le spectateur en a pour son argent) dont l'efficacité ne fait pas vraiment oublier les faiblesses évidentes du scénario.
Télérama
Même s'il tourne à l'embrouille confuse, le scénario (de Luc Besson) a un côté série B pas déplaisant (...) Avec ça, Olivier Dahan ne faillit pas à sa mission d'accommoder le thriller à la sauce " djeune ".
Cahiers du Cinéma
Dans l'artifice d'une mise en scène simili-baroque, ce deuxième volet atteint un fond de cynisme rarement dragué.
Chronic'art.com
Méga-budget englouti en quelques cachets, réalisation débilisante, intrigue pathétique, ridicule de tous les instants : voici sans aucun doute la plus affreuse carcasse de film de l'année.
Fluctuat.net
De facto, rien ne justifie le déplacement. Encore moins la raison si évidemment vénale à l'origine de ce film : espérons que le spectateur encore une fois prié d'être un pigeon, n'adhèrera pas à cette bien pauvre mascarade.
L'Ecran Fantastique
Amalgame malsain d'Indiana Jones, de Requiem ou encore de Seven, le film s'enlise dans des références de base pour masquer son manque d'inspiration (...) si certains passages s'avèrent filmés avec brio, l'ensemble manque cruellement d'uniformité visuelle.
Le Monde
Une esthétique de clip et un scénario incohérent (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
aVoir-aLire.com
Visuellement, il est évident que Dahan fait ce qu'il peut (...) Mais cette esbroufe formelle ne parvient pas à masquer l'indigence gravissime d'un scénario (écrit et dialogué par Besson - encore bravo) dont l'humour vaseux et les fausses pistes éculées agacent et ennuient.