Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Clark oppose à la lucidité blanche de son regard une recherche constante d'équilibre entre compassion et mise à distance. (...) son cinéma, à l'image de la longue scène de sexe finale, possède une force unique à se libérer de toute temporalité pour déboucher sur un espace à l'absolue neutralité : un Eden ambigu traversé de grises fulgurances.
Aden
par Philippe Piazzo
Le film nous mène auprès de ses copains. Leur rêve informulé : connaître la sincérité des sentiments, le respect de l'autre qui, dans le monde de ces adultes-là, leurs parents, a disparu.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Mia Hansen-Love
Aujourd'hui, aux Etats-Unis, Larry Clark pourraît être l'emblème le plus sérieux, sinon le seul, d'une contre-culture, au sens où, à une société et à sa culture de masse, il oppose une sous-culture, négatif de la première dont elle est en même temps le produit.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Exemplaire de la réussite de ce film sont les scènes de cul, les plus belles de récente mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Une étiquette - glamour trash - a même été inventée pour neutraliser le venin que Larry Clark a injecté dans la représentation contemporaine des kids urbains. Pour nous, il reste celui qui a ouvert les yeux, ou qui n'a jamais cessé de les tenir écarquillés. Une manière de témoin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Là est toute sa force, la réalisation est toujours à l'idéale distance des personnages et la photographie les rend tous beaux sans verser dans l'imagerie publicitaire. La fin sonne comme un véritable requiem.
Première
par Olivier de Bruyn
Avec une rigueur totale, le metteur en scène déshabille ses personnages au propre comme au figuré (...) une plage contemplative qui laisse pénétrer l'air du désir dans l'enfer du monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Un film un peu plus lumineux que les précédents.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
La réalisation, cosignée avec le brillant chef op Ed Lachman (...) ne cesse d''infléchir le script vers davantage de trouble, de venin, de tendresse, de compassion. Tout le monde souffre : les ados, parce qu''ils sont des ados ; les adultes, parce qu''ils ne sont plus des ados.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
D'autant plus dérangeant que le cinéaste voyeur a du talent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Chronic'art.com
Clark oppose à la lucidité blanche de son regard une recherche constante d'équilibre entre compassion et mise à distance. (...) son cinéma, à l'image de la longue scène de sexe finale, possède une force unique à se libérer de toute temporalité pour déboucher sur un espace à l'absolue neutralité : un Eden ambigu traversé de grises fulgurances.
Aden
Le film nous mène auprès de ses copains. Leur rêve informulé : connaître la sincérité des sentiments, le respect de l'autre qui, dans le monde de ces adultes-là, leurs parents, a disparu.
Cahiers du Cinéma
Aujourd'hui, aux Etats-Unis, Larry Clark pourraît être l'emblème le plus sérieux, sinon le seul, d'une contre-culture, au sens où, à une société et à sa culture de masse, il oppose une sous-culture, négatif de la première dont elle est en même temps le produit.
Les Inrockuptibles
Exemplaire de la réussite de ce film sont les scènes de cul, les plus belles de récente mémoire.
Libération
Une étiquette - glamour trash - a même été inventée pour neutraliser le venin que Larry Clark a injecté dans la représentation contemporaine des kids urbains. Pour nous, il reste celui qui a ouvert les yeux, ou qui n'a jamais cessé de les tenir écarquillés. Une manière de témoin.
MCinéma.com
Là est toute sa force, la réalisation est toujours à l'idéale distance des personnages et la photographie les rend tous beaux sans verser dans l'imagerie publicitaire. La fin sonne comme un véritable requiem.
Première
Avec une rigueur totale, le metteur en scène déshabille ses personnages au propre comme au figuré (...) une plage contemplative qui laisse pénétrer l'air du désir dans l'enfer du monde.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un film un peu plus lumineux que les précédents.
Télérama
La réalisation, cosignée avec le brillant chef op Ed Lachman (...) ne cesse d''infléchir le script vers davantage de trouble, de venin, de tendresse, de compassion. Tout le monde souffre : les ados, parce qu''ils sont des ados ; les adultes, parce qu''ils ne sont plus des ados.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
D'autant plus dérangeant que le cinéaste voyeur a du talent.