Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Première
par Mathieu Carratier
La bonne idée de la trilogie American pie est d'avoir vieilli avec son public. En visant plus le coeur que l'entrejambe, ce dernier volet injecte, mine de rien, un peu d'émotion bienvenue dans la gaudriole. Et rend encore plus attachants des personnages que l'on reverrait bien dans dix ans.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
On imagine que ce troisième épisode des aventures de Jim Levenstein (...) sera le dernier. Dans cet impossible cocktail de sentimentalité et de grossièreté infantile surnage le personnage incarné par Eugène Lévy, fontaine de sagesse paternelle.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
De quoi vous assurer une heure et demie de franche rigolade ou de profond ennui, tant les gags s'étirent en longueur de manière quasi provocante.
Télérama
par Jérémie Couston
Nos timides espoirs seront comblés avec une " bachelor party " décadente, avec soubrette, fessée, " bondage ", sauce au chocolat et l'arrivée impromptue des futurs beaux-parents.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par V.L.B.
Une pantalonnade de plus pour le quatuor infernal des American Pie. Avec toujours la même recette: du pseudo sexe soft, des situations graveleuses parfois même comiques. Bref, du pipi-caca à la bonne morale américaine, parfois efficace, mais sans grand intérêt. Pour les convaincus, et il y en a beaucoup !
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un catalogue de situations scabreuses reposant essentiellement sur des quiproquos théâtraux (...). Mais bien sûr, ces perversions ne sont que des faux-semblants, suggérés hypocritement pour émoustiller le gogo, et contrebalancés par une amourette à l'eau de rose. Un chapelet de blagues de banquet déguisé en film.
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
American pire. La plupart des interprètes et avec eux tout ce qui faisait le charme bizarre du premier volet ont définitivement disparu de la fameuse scato-pâtisserie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Première
La bonne idée de la trilogie American pie est d'avoir vieilli avec son public. En visant plus le coeur que l'entrejambe, ce dernier volet injecte, mine de rien, un peu d'émotion bienvenue dans la gaudriole. Et rend encore plus attachants des personnages que l'on reverrait bien dans dix ans.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
On imagine que ce troisième épisode des aventures de Jim Levenstein (...) sera le dernier. Dans cet impossible cocktail de sentimentalité et de grossièreté infantile surnage le personnage incarné par Eugène Lévy, fontaine de sagesse paternelle.
MCinéma.com
De quoi vous assurer une heure et demie de franche rigolade ou de profond ennui, tant les gags s'étirent en longueur de manière quasi provocante.
Télérama
Nos timides espoirs seront comblés avec une " bachelor party " décadente, avec soubrette, fessée, " bondage ", sauce au chocolat et l'arrivée impromptue des futurs beaux-parents.
Zurban
Une pantalonnade de plus pour le quatuor infernal des American Pie. Avec toujours la même recette: du pseudo sexe soft, des situations graveleuses parfois même comiques. Bref, du pipi-caca à la bonne morale américaine, parfois efficace, mais sans grand intérêt. Pour les convaincus, et il y en a beaucoup !
L'Humanité
Un catalogue de situations scabreuses reposant essentiellement sur des quiproquos théâtraux (...). Mais bien sûr, ces perversions ne sont que des faux-semblants, suggérés hypocritement pour émoustiller le gogo, et contrebalancés par une amourette à l'eau de rose. Un chapelet de blagues de banquet déguisé en film.
TéléCinéObs
American pire. La plupart des interprètes et avec eux tout ce qui faisait le charme bizarre du premier volet ont définitivement disparu de la fameuse scato-pâtisserie.