Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Le petit frère de Ridley Scott, Tony, est au top (...). Le film est stylé, violent, mélancolique : il y passe un parfum d'octobre, de choses finissantes, de regrets lourds.
MCinéma.com
Mexico est le théâtre de ce thriller très violent, à la fois classique et complètement expérimental. (...). Ames sensibles s'abstenir.
Positif
Man on Fire, remake du film éponyme d'Elie Chouraqui, poursuit de façon radicale les expérimentations visuelles de Spy Game. (...) Bref, un superbe polar "hardboiled" comme on en avait pas vu depuis longtemps.
TéléCinéObs
par François Forestier
Le polar est beau, élégant, parfois méditatif, et le dénouement de l'intrigue est d'autant plus surprenant (...). Rien d'original, juste une atmosphère poétique. C'est comme un blues : il suffit de se laisser aller.
Aden
Un " divertissement " comme on l'imagine aujourd'hui à Hollywood : qui laisse l'oeil épuisé et le cerveau à plat. Bientôt chez vous un dimanche soir.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Première
par Christian Jauberty
Il se dégage de l'ensemble une vision si sombre de l'humanité en général et du Mexique en particulier qu'elle en est révoltante. (...). Mais l'arme secrète de Scott, c'est son interprète, Denzel Washington (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
(...) Scott trépigne aux machines et gonfle l'affaire avec les outils à portée de main, guitare mexicaine, ralentis humides, symbolique d'hippopotame. En un mot, il fait du style. (...). Et c'est ainsi qu'au détour d'un zoom aveugle s'évoque Soderbergh à son plus creux.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Tony Scott, qui avait plutôt marqué des points avec ses deux précédents titres (Ennemi d'Etat et Spy Game), retombe dans ses pires errements : un maniérisme visuel et sonore (ralentis, sirop musical, surimpressions) emphatique et vulgaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Chez Tony Scott, on torture, d'abord avec une débauche d'ingéniosité dans des scènes frôlant l'insoutenable et sans que celà empêche le film de baigner dans la plus belle eau évangélique. (...) Vraiment dégoûtant.
Rock & Folk
par Christophe Lemaire
Avec un montage ultra-découpé où les plans durent rarement plus de deux secondes, des couleurs saturées à l'extrême et des mouvements de caméra totalement incontrôlés (...) le résultat esthétique est littéralement insoutenable pour l'oeil. (...) Restent quelques coups de flingue vaguement violents (et encore) et l'apparition impressionnante de Mickey Rourke et son visage remodelé par un chirurgien esthétique visiblement alcoolique.
La critique complète est disponible sur le site Rock & Folk
Score
par G.D. Jones
Le problème c'est qu'ici, les effets d'avant-gardiste de Tony Scott ne servent plus à grand-chose et filent un mal de tronche sévère. L'indigence du scénario (...) ne permet même pas de sauver quelques moments de barbarie vraiment impressionnants.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
Amoral et bancal, Man on fire est un film empli de prétentions. La morale de cette histoire trop longue, de ce film maniéré et ennuyeux, est aussi celle de son héros : "une balle dit toujours la vérité". Nauséeux.
L'Obs
Le petit frère de Ridley Scott, Tony, est au top (...). Le film est stylé, violent, mélancolique : il y passe un parfum d'octobre, de choses finissantes, de regrets lourds.
MCinéma.com
Mexico est le théâtre de ce thriller très violent, à la fois classique et complètement expérimental. (...). Ames sensibles s'abstenir.
Positif
Man on Fire, remake du film éponyme d'Elie Chouraqui, poursuit de façon radicale les expérimentations visuelles de Spy Game. (...) Bref, un superbe polar "hardboiled" comme on en avait pas vu depuis longtemps.
TéléCinéObs
Le polar est beau, élégant, parfois méditatif, et le dénouement de l'intrigue est d'autant plus surprenant (...). Rien d'original, juste une atmosphère poétique. C'est comme un blues : il suffit de se laisser aller.
Aden
Un " divertissement " comme on l'imagine aujourd'hui à Hollywood : qui laisse l'oeil épuisé et le cerveau à plat. Bientôt chez vous un dimanche soir.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Il se dégage de l'ensemble une vision si sombre de l'humanité en général et du Mexique en particulier qu'elle en est révoltante. (...). Mais l'arme secrète de Scott, c'est son interprète, Denzel Washington (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
(...) Scott trépigne aux machines et gonfle l'affaire avec les outils à portée de main, guitare mexicaine, ralentis humides, symbolique d'hippopotame. En un mot, il fait du style. (...). Et c'est ainsi qu'au détour d'un zoom aveugle s'évoque Soderbergh à son plus creux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Tony Scott, qui avait plutôt marqué des points avec ses deux précédents titres (Ennemi d'Etat et Spy Game), retombe dans ses pires errements : un maniérisme visuel et sonore (ralentis, sirop musical, surimpressions) emphatique et vulgaire.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Chez Tony Scott, on torture, d'abord avec une débauche d'ingéniosité dans des scènes frôlant l'insoutenable et sans que celà empêche le film de baigner dans la plus belle eau évangélique. (...) Vraiment dégoûtant.
Rock & Folk
Avec un montage ultra-découpé où les plans durent rarement plus de deux secondes, des couleurs saturées à l'extrême et des mouvements de caméra totalement incontrôlés (...) le résultat esthétique est littéralement insoutenable pour l'oeil. (...) Restent quelques coups de flingue vaguement violents (et encore) et l'apparition impressionnante de Mickey Rourke et son visage remodelé par un chirurgien esthétique visiblement alcoolique.
Score
Le problème c'est qu'ici, les effets d'avant-gardiste de Tony Scott ne servent plus à grand-chose et filent un mal de tronche sévère. L'indigence du scénario (...) ne permet même pas de sauver quelques moments de barbarie vraiment impressionnants.
aVoir-aLire.com
Amoral et bancal, Man on fire est un film empli de prétentions. La morale de cette histoire trop longue, de ce film maniéré et ennuyeux, est aussi celle de son héros : "une balle dit toujours la vérité". Nauséeux.