Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Première
par Mathieu Carratier
Tout cela sonne effectivement comme une revanche, et Boyle prouve qu'il n'est jamais meilleur que lorsqu'il travaille sur une échelle modeste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Le meilleur du film, c'est son interprétation, notamment le héros, Cillian Murphy (aperçu dans La Vie à la folie et Mon cher ennemi), qui se métamorphose tout au long du film et donne une intensité surprenante à son personnage : homme perdu et guerrier, sauvage et civilisé, il fait percevoir la tragédie de celui qui, brusquement seul au monde, doit à la fois réinventer sa vie et reconstruire une société.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Mad Movies
par Alexandre Bustillo
Une faiblesse scénaristique toute relative puisque renflouée par un Danny Boyle étonnant de justesse derrière sa DV et qui fait preuve d'une certaine finesse qu'on ne lui prêtait pas jusqu'ici.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
28 jours plus tard est à l'image du cinéma de Danny Boyle : vain, terriblement superficiel, mais avec juste ce qu'il faut de bidouillages dramatico-cinétiques pour tenir le spectateur en haleine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Des scènes affreuses et violentes (...). Le film ressemble à une série B.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Novaplanet.com
par Alex Masson
(...) voici un film plaisant mais bancal.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Obejctif-Cinema.com
par Cécile Giraud
Le cliché, d'ailleurs, parlons-en : les artifices de la terreur fonctionnent assez bien, à grand renfort d'éclairs et de bruits tonitruants. Boyle sait utiliser l'instinct de survie de ses spectateurs : oublierait-il que le spectateur d'aujourd'hui, si peu formé au cinéma qu'il soit, est lassé, blasé, repu d'histoires de zombies et de films d'horreur et que, quitte à ne pouvoir innover sur le fond, les films sont tenus de surprendre sur la forme, au risque de voir leurs carrières se limiter aux étagères des vidéoclubs...
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Zurban
par Charlotte Lipinska
Mais si l'on est séduit par les images du Londres post-apocalypse (tournés en DV, les plans sont d'une beauté saisissante), le pessimisme affiché quant à la nature humaine se révèle simpliste. Autrement dit, quelques éclaboussures plus tard, les zombies nous font doucement rigoler. Dommage, l'ambiance était oppressante et indéniablement singulière.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Danny Boyle, hélas, reste à côté de cette plaque, préférant le glauque pour le glauque, la crasse pour la crasse.
Libération
par Alexis Bernier
Si on ressort de tout ça vaguement dégoûté, ce n'est pas vraiment en raison des effets gore.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier-Pierre Salvano
En résumé, Danny Boyle ne maîtrise pas son sujet, qui part dans des dérives pseudo-guerrières lassantes dans la seconde partie du film, et sa direction artistique, si elle ne manque pas de nervosité, semble lui échapper viscéralement. Un film bancal.
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Rien de pire qu'un film qui ne tient pas ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Son chaos est une dérive complaisante, qui s'éternise dans un camp militaire où deux femmes rescapées doivent devenir des reproductrices au nom de la survie de l'espèce. Un massacre les sauvera. Carrément crade.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
Tout cela sonne effectivement comme une revanche, et Boyle prouve qu'il n'est jamais meilleur que lorsqu'il travaille sur une échelle modeste.
Aden
Le meilleur du film, c'est son interprétation, notamment le héros, Cillian Murphy (aperçu dans La Vie à la folie et Mon cher ennemi), qui se métamorphose tout au long du film et donne une intensité surprenante à son personnage : homme perdu et guerrier, sauvage et civilisé, il fait percevoir la tragédie de celui qui, brusquement seul au monde, doit à la fois réinventer sa vie et reconstruire une société.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Mad Movies
Une faiblesse scénaristique toute relative puisque renflouée par un Danny Boyle étonnant de justesse derrière sa DV et qui fait preuve d'une certaine finesse qu'on ne lui prêtait pas jusqu'ici.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
28 jours plus tard est à l'image du cinéma de Danny Boyle : vain, terriblement superficiel, mais avec juste ce qu'il faut de bidouillages dramatico-cinétiques pour tenir le spectateur en haleine.
Le Figaroscope
Des scènes affreuses et violentes (...). Le film ressemble à une série B.
Novaplanet.com
(...) voici un film plaisant mais bancal.
Obejctif-Cinema.com
Le cliché, d'ailleurs, parlons-en : les artifices de la terreur fonctionnent assez bien, à grand renfort d'éclairs et de bruits tonitruants. Boyle sait utiliser l'instinct de survie de ses spectateurs : oublierait-il que le spectateur d'aujourd'hui, si peu formé au cinéma qu'il soit, est lassé, blasé, repu d'histoires de zombies et de films d'horreur et que, quitte à ne pouvoir innover sur le fond, les films sont tenus de surprendre sur la forme, au risque de voir leurs carrières se limiter aux étagères des vidéoclubs...
Zurban
Mais si l'on est séduit par les images du Londres post-apocalypse (tournés en DV, les plans sont d'une beauté saisissante), le pessimisme affiché quant à la nature humaine se révèle simpliste. Autrement dit, quelques éclaboussures plus tard, les zombies nous font doucement rigoler. Dommage, l'ambiance était oppressante et indéniablement singulière.
Cahiers du Cinéma
Danny Boyle, hélas, reste à côté de cette plaque, préférant le glauque pour le glauque, la crasse pour la crasse.
Libération
Si on ressort de tout ça vaguement dégoûté, ce n'est pas vraiment en raison des effets gore.
MCinéma.com
En résumé, Danny Boyle ne maîtrise pas son sujet, qui part dans des dérives pseudo-guerrières lassantes dans la seconde partie du film, et sa direction artistique, si elle ne manque pas de nervosité, semble lui échapper viscéralement. Un film bancal.
TéléCinéObs
Rien de pire qu'un film qui ne tient pas ses promesses.
Télérama
Son chaos est une dérive complaisante, qui s'éternise dans un camp militaire où deux femmes rescapées doivent devenir des reproductrices au nom de la survie de l'espèce. Un massacre les sauvera. Carrément crade.