Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Positif
par Yann Tobin
Il y en a pour tous les goûts (...) Et au pire, pour chaque spectateur, il y a des passages anodins et oubliables, mais jamais d'exaspération ni d'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ciné Live
par Emmanuel Cirrode
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
(...) toutes ces "pastilles" n'ont pas le même intérêt, chacune d'entre elles tient la route et permet au spectateur d'adhérer à une vraie histoire (...). Le rythme général est des plus plaisants grâce à un fluide montage d'ensemble et un agencement savamment étudié pour ménager les émotions.
Studio Magazine
par Béatrice Toulon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Frédéric Strauss
"Paris je t'aime", c'est au fond une déclaration d'amour au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
par Anne Diatkine
Outre que les opus sont de qualité inégale, il est difficile de regarder un film de la même manière qu'on lit un recueil de nouvelles : en réajustant sans cesse son regard et sa capacité à s'illusionner.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Tenter un film collectif avec tant d'histoires, tant de disparités est une vraie gageure et là, miracle, ça fonctionne. Bien sûr, tous ces courts-métrages ne sont pas de la même qualité.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
A l'arrivée, l'ensemble, inégal, s'apprécie pour quelques bons moments.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Nicolas Schaller
L'excursion terminée, subsistent les doux effluves d'un parfum propre à la capitale. Légèrement capiteux et gravement frivole.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Nourrie d'une large palette de registres (...), cette oeuvre polyphonique, un rien inégale, balaye une multitude de thématiques contemporaines (...) et impose sans peine sa séduction.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Seuls les films composites portés par une cohérence dans le choix des coauteurs (...) réussissent parfois à relever ce défi. On en est loin ici. Restent quelques beaux éclats singuliers, et une ligne de partage prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Obs
par Pascal Mérigeau
cette enfilade de films courts (...) ne [réussit] pas à maintenir un intérêt constant, la curiosité s'émoussant rapidement à mesure qu'un segment sans intérêt succède à un autre, qui n'en présentait pas davantage.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) une succession très inégale de cartes postales [qui] ne laisse au spectateur désemparé que la liberté de grappiller, ici et là, les restes d'un festin dont le moins qu'on puisse dire est qu'il ne met à l'honneur ni Paris ni le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) la plupart de ces exercices de style s'évaporent tranquillement dans une espèce de paresse scénaristique - quand l'histoire ne confine carrément pas au ridicule (...) - qui finit par exaspérer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Aucune ligne de force, aucune proposition d'idée constituée du cinéma n'émergent de ce vaste fourre-tout, où se croisent des réalisateurs de nationalités, notoriétés, sensibilités, esthétiques totalement dépareillées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Alain Spira
Au final, cette pièce montée cinématographique est bourrative et très décevante. Heureusement, quelques petites cerises surnagent sur ce gâteau indigeste (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par Alex Masson
(...) du cinéma de syndicat d'initiative, servant de GPS pour touriste perdu dans les arrondissements de la ville.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Philippe Piazzo
(...) le résultat finit par ressembler à une compilation indigeste. (...) la brièveté des séquences, au bout de deux heures, n'entraîne que frustration. Et comme aucun lien profond ne lie les histoires entre elles, on se désintéresse très vite de ce défilé d'arrondissements et de stars, chic et toc.
Positif
Il y en a pour tous les goûts (...) Et au pire, pour chaque spectateur, il y a des passages anodins et oubliables, mais jamais d'exaspération ni d'ennui.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
(...) toutes ces "pastilles" n'ont pas le même intérêt, chacune d'entre elles tient la route et permet au spectateur d'adhérer à une vraie histoire (...). Le rythme général est des plus plaisants grâce à un fluide montage d'ensemble et un agencement savamment étudié pour ménager les émotions.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
"Paris je t'aime", c'est au fond une déclaration d'amour au cinéma.
Elle
Outre que les opus sont de qualité inégale, il est difficile de regarder un film de la même manière qu'on lit un recueil de nouvelles : en réajustant sans cesse son regard et sa capacité à s'illusionner.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Tenter un film collectif avec tant d'histoires, tant de disparités est une vraie gageure et là, miracle, ça fonctionne. Bien sûr, tous ces courts-métrages ne sont pas de la même qualité.
Le Journal du Dimanche
A l'arrivée, l'ensemble, inégal, s'apprécie pour quelques bons moments.
Première
L'excursion terminée, subsistent les doux effluves d'un parfum propre à la capitale. Légèrement capiteux et gravement frivole.
Télé 7 Jours
Nourrie d'une large palette de registres (...), cette oeuvre polyphonique, un rien inégale, balaye une multitude de thématiques contemporaines (...) et impose sans peine sa séduction.
Cahiers du Cinéma
Seuls les films composites portés par une cohérence dans le choix des coauteurs (...) réussissent parfois à relever ce défi. On en est loin ici. Restent quelques beaux éclats singuliers, et une ligne de partage prévisible.
L'Obs
cette enfilade de films courts (...) ne [réussit] pas à maintenir un intérêt constant, la curiosité s'émoussant rapidement à mesure qu'un segment sans intérêt succède à un autre, qui n'en présentait pas davantage.
Le Monde
(...) une succession très inégale de cartes postales [qui] ne laisse au spectateur désemparé que la liberté de grappiller, ici et là, les restes d'un festin dont le moins qu'on puisse dire est qu'il ne met à l'honneur ni Paris ni le cinéma.
Le Parisien
(...) la plupart de ces exercices de style s'évaporent tranquillement dans une espèce de paresse scénaristique - quand l'histoire ne confine carrément pas au ridicule (...) - qui finit par exaspérer.
Les Inrockuptibles
Aucune ligne de force, aucune proposition d'idée constituée du cinéma n'émergent de ce vaste fourre-tout, où se croisent des réalisateurs de nationalités, notoriétés, sensibilités, esthétiques totalement dépareillées.
Paris Match
Au final, cette pièce montée cinématographique est bourrative et très décevante. Heureusement, quelques petites cerises surnagent sur ce gâteau indigeste (...).
Score
(...) du cinéma de syndicat d'initiative, servant de GPS pour touriste perdu dans les arrondissements de la ville.
TéléCinéObs
(...) le résultat finit par ressembler à une compilation indigeste. (...) la brièveté des séquences, au bout de deux heures, n'entraîne que frustration. Et comme aucun lien profond ne lie les histoires entre elles, on se désintéresse très vite de ce défilé d'arrondissements et de stars, chic et toc.