Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Apocalyptique, gentiment provocateur, bricolé mais pleins de fougue, Mercano est un pur produit de contre-culture comme vont l'adorer ceux qui aiment les bandes dessinées trash des années Crumb.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Si l'altermondialisme surprend ici parce qu'intergalactique, c'est surtout la satire du chaos social argentin qui fait mouche.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Très rock'n roll, mordant et maîtrisé, le film se glose de sa propre trivialité avec une folie cartoonesque rarement égalée. Fauché comme les blés, grand guignol ricaneur et anarcho, son créateur Juan Antin est surtout un grand frondeur dont l'étonnante clairvoyance et la débrouillardise de bricoleur lui permettent de tenir efficacement son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinéastes
par Emmanuel Vincenot
Courez voir Mercano le martien, film d'animation argentin petit par la durée mais grand par le talent, qui pose un regard acide et drôle sur l'époque desespérée qui est la nôtre.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Déclinaison d'une série télé, cette réponse de l'Amérique gaucho (de la pampa) à South Park mêle provocations et lucidité en transposant de façon drôle et saisissante la société actuelle.
L'Obs
par François Forestier
Quelque part entre "South park" et le graffiti d'écolier, voici un dessin animé argentin particulièrement déjanté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Emmanuèle Frois
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) Après South park, sur un mode trash/fun/nihiliste, Mercano le Martien, qui est aussi à l'origine une série télé, montre encore une fois que le cinéma d'animation favorise l'expression de la contestation la plus subversive. Le cinéma en images réelles ferait bien d'en prendre de la graine.
Libération
par Michel Roudevitch
Après avoir pris d'assaut le cinéma traditionnel, voici donc que la "nouvelle vague" argentine se présente aux portes de l'animation.
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Au risque d'employer une métaphore facile, on dira que MERCANO LE MARTIEN est un ovni comme il en apparaît régulièrement dans la production mondiale de films d'animation. (...) Sous ses aspects potaches et drôles, MERCANO a même un petit côté subversif, notamment dans la dénonciation de la mondialisation, du fossé entre riches et pauvres ou la place omniprésente de la technologie. Et tout cela le rend sympathique.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Issu des studios d'animation de la Universidad del Cine (FUC) de San Telmo, au centre de Buenos Aires, le film de Juan Antin est une fable transparente sur la domination technique et économique. En se réclamant à la fois de la provocation underground et du clip musical, Mercano, le Martien fonctionne essentiellement mais efficacement sur un mélange de satire, de ricanement adolescent et de transe à la régression enivrante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
Critique de la mondialisation étendue à l'univers, Mercano... s'apparente bien à un objet filmique non identifié.
Télérama
par François Gorin
Juan Antin pouvait se planter, en laissant l'invention graphique céder le pas à une fable antimondialiste forcément attendue. Mais l'indécision prime jusqu'au feu d'artifice, telle une petite bombe artisanale qui n'en finit pas de se charger avant le boum fatal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Alex Masson
C'est plutôt plaisant les vingts premières minutes, qui laissent envisager un équivalent sud-américain de Beavis & Butthead ou South park, la virulence comme la méchanceté absurde du propos comblant une animation particulièrement fruste. Sauf qu'il faut se fader les cinquantes suivantes, qui tournent rapidement à vide, l'aspect bricolé ne justifiant pas les faiblesses et les répétitions du scénario.
Aden
Apocalyptique, gentiment provocateur, bricolé mais pleins de fougue, Mercano est un pur produit de contre-culture comme vont l'adorer ceux qui aiment les bandes dessinées trash des années Crumb.
Cahiers du Cinéma
Si l'altermondialisme surprend ici parce qu'intergalactique, c'est surtout la satire du chaos social argentin qui fait mouche.
Chronic'art.com
Très rock'n roll, mordant et maîtrisé, le film se glose de sa propre trivialité avec une folie cartoonesque rarement égalée. Fauché comme les blés, grand guignol ricaneur et anarcho, son créateur Juan Antin est surtout un grand frondeur dont l'étonnante clairvoyance et la débrouillardise de bricoleur lui permettent de tenir efficacement son sujet.
Cinéastes
Courez voir Mercano le martien, film d'animation argentin petit par la durée mais grand par le talent, qui pose un regard acide et drôle sur l'époque desespérée qui est la nôtre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Déclinaison d'une série télé, cette réponse de l'Amérique gaucho (de la pampa) à South Park mêle provocations et lucidité en transposant de façon drôle et saisissante la société actuelle.
L'Obs
Quelque part entre "South park" et le graffiti d'écolier, voici un dessin animé argentin particulièrement déjanté.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
(...) Après South park, sur un mode trash/fun/nihiliste, Mercano le Martien, qui est aussi à l'origine une série télé, montre encore une fois que le cinéma d'animation favorise l'expression de la contestation la plus subversive. Le cinéma en images réelles ferait bien d'en prendre de la graine.
Libération
Après avoir pris d'assaut le cinéma traditionnel, voici donc que la "nouvelle vague" argentine se présente aux portes de l'animation.
MCinéma.com
Au risque d'employer une métaphore facile, on dira que MERCANO LE MARTIEN est un ovni comme il en apparaît régulièrement dans la production mondiale de films d'animation. (...) Sous ses aspects potaches et drôles, MERCANO a même un petit côté subversif, notamment dans la dénonciation de la mondialisation, du fossé entre riches et pauvres ou la place omniprésente de la technologie. Et tout cela le rend sympathique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Issu des studios d'animation de la Universidad del Cine (FUC) de San Telmo, au centre de Buenos Aires, le film de Juan Antin est une fable transparente sur la domination technique et économique. En se réclamant à la fois de la provocation underground et du clip musical, Mercano, le Martien fonctionne essentiellement mais efficacement sur un mélange de satire, de ricanement adolescent et de transe à la régression enivrante.
Première
Critique de la mondialisation étendue à l'univers, Mercano... s'apparente bien à un objet filmique non identifié.
Télérama
Juan Antin pouvait se planter, en laissant l'invention graphique céder le pas à une fable antimondialiste forcément attendue. Mais l'indécision prime jusqu'au feu d'artifice, telle une petite bombe artisanale qui n'en finit pas de se charger avant le boum fatal.
Brazil
C'est plutôt plaisant les vingts premières minutes, qui laissent envisager un équivalent sud-américain de Beavis & Butthead ou South park, la virulence comme la méchanceté absurde du propos comblant une animation particulièrement fruste. Sauf qu'il faut se fader les cinquantes suivantes, qui tournent rapidement à vide, l'aspect bricolé ne justifiant pas les faiblesses et les répétitions du scénario.