Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Michel Guilloux
Le plus remarquable dans l'affaire, tout comme dans 8 Femmes d'ailleurs (et non exclusivement) est le choix d'interprètes qui seraient comme les doubles d'Ozon lui-même. Charlotte Rampling - rencontrée dans Sous le sable, et de quelle manière ! - porte en elle et sur ses épaules tous les doutes de l'artiste, et s'en libère comme par hasard au fur et à mesure que ce film-ci prend vie et chair. À l'inverse, Ludivine Sagnier, qui tenait le rôle clef de l'intrigue de 8 Femmes, paraît comme la muse, l'inspiratrice et la jeunesse dont on peut se nourrir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Quant au très prolifique Ozon, il avance vers la maturité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce film fait preuve de la maîtrise du réalisateur patiemment affinée et procède par petites touches de mystère qui jouent au chat et à la souris avec le spectateur. Jusqu'à la surprise du chef.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Ludivine Sagnier, transformée, est impressionnante, d'abord d'assurance, ensuite de fragilité. Quant à Charlotte Rampling, fausse vieille fille prude, presque risible et touchante d'abord, elle esquisse au fur et à mesure que les barrières tombent des demi-sourires absolument inoubliables et finit par laisser entrevoir des abîmes de perversité jubilatoire. Un nouveau grand rôle. Et peut-être un prix d'interprétation ?
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Obejctif-Cinema.com
par Romain Le Vern
Les différents degrés de lecture, la richesse émotionnelle du scénario, la force de l'atmosphère et la justesse de l'interprétation procurent un plaisir infini.
Première
par Olivier De Bruyn
Soutenu admirablement par ses deux comédiennes (surtout Charlotte Rampling, exceptionnelle), Swimming Pool obéit à une rigueur totale qui métamorphose un script intelligemment cérébral en film envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
(...) Charlotte Rampling, une fois de plus transfigurée dans le rôle d'une femme qui réapprend à vivre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Avec l'aide de ses deux comédiennes (Rampling, grandiose, Ludivine Sagnier, troublante), dans une villa cernée par une lumière douce (signée Yorick Le Saux), François Ozon a filmé une inquiétude en attente. Un suspense en suspens. Un danger immobile.
Zurban
par Adisson de Witt
Quant à Charlotte Rampling, elle, impose une fois de plus sa triomphante maturité d'actrice, et se permet même un clin d'oeil aux swinging sixties de ses 20 ans.
Chronic'art.com
par Charlotte Garson
Ce miroitement entre fiction et réalité (Ozon entend bien sûr par réalité un premier degré de la fiction, l'histoire "réaliste") constitue à la fois la limite et l'intérêt de Swimming pool, "roman dans le film" potentiel comme on dit "film dans le film", jeu entre surface et profondeur cristallisé autour de la piscine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
Calme plat, bien loin d'un quelconque trouble en eau profonde.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Noyé sous les poncifs, Swimming pool finit par faire plouf. Et ressemble surtout à un ticket d'entrée pour Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
"Swimming Pool", aussi vain que chic.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Autant Sous le sable – son meilleur film, où on le sentait, où on le voyait subjugué par une Charlotte Rampling ressuscitée – lui échappait avec profit, autant celui-là reste verrouillé et mécanique, malgré les apparences (et Rampling, toujours divinement ambiguë). Si on avait entre les mains le bouquin que Sarah Morton est en train d'écrire à l'écran, il est certain qu'on ne lirait pas jusqu'au bout ce polar creux maquillé en oeuvre profonde.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Le plus remarquable dans l'affaire, tout comme dans 8 Femmes d'ailleurs (et non exclusivement) est le choix d'interprètes qui seraient comme les doubles d'Ozon lui-même. Charlotte Rampling - rencontrée dans Sous le sable, et de quelle manière ! - porte en elle et sur ses épaules tous les doutes de l'artiste, et s'en libère comme par hasard au fur et à mesure que ce film-ci prend vie et chair. À l'inverse, Ludivine Sagnier, qui tenait le rôle clef de l'intrigue de 8 Femmes, paraît comme la muse, l'inspiratrice et la jeunesse dont on peut se nourrir.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Quant au très prolifique Ozon, il avance vers la maturité.
Le Parisien
Ce film fait preuve de la maîtrise du réalisateur patiemment affinée et procède par petites touches de mystère qui jouent au chat et à la souris avec le spectateur. Jusqu'à la surprise du chef.
Les Echos
Ludivine Sagnier, transformée, est impressionnante, d'abord d'assurance, ensuite de fragilité. Quant à Charlotte Rampling, fausse vieille fille prude, presque risible et touchante d'abord, elle esquisse au fur et à mesure que les barrières tombent des demi-sourires absolument inoubliables et finit par laisser entrevoir des abîmes de perversité jubilatoire. Un nouveau grand rôle. Et peut-être un prix d'interprétation ?
Obejctif-Cinema.com
Les différents degrés de lecture, la richesse émotionnelle du scénario, la force de l'atmosphère et la justesse de l'interprétation procurent un plaisir infini.
Première
Soutenu admirablement par ses deux comédiennes (surtout Charlotte Rampling, exceptionnelle), Swimming Pool obéit à une rigueur totale qui métamorphose un script intelligemment cérébral en film envoûtant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) Charlotte Rampling, une fois de plus transfigurée dans le rôle d'une femme qui réapprend à vivre.
Télérama
Avec l'aide de ses deux comédiennes (Rampling, grandiose, Ludivine Sagnier, troublante), dans une villa cernée par une lumière douce (signée Yorick Le Saux), François Ozon a filmé une inquiétude en attente. Un suspense en suspens. Un danger immobile.
Zurban
Quant à Charlotte Rampling, elle, impose une fois de plus sa triomphante maturité d'actrice, et se permet même un clin d'oeil aux swinging sixties de ses 20 ans.
Chronic'art.com
Ce miroitement entre fiction et réalité (Ozon entend bien sûr par réalité un premier degré de la fiction, l'histoire "réaliste") constitue à la fois la limite et l'intérêt de Swimming pool, "roman dans le film" potentiel comme on dit "film dans le film", jeu entre surface et profondeur cristallisé autour de la piscine.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Cahiers du Cinéma
Calme plat, bien loin d'un quelconque trouble en eau profonde.
Les Inrockuptibles
Noyé sous les poncifs, Swimming pool finit par faire plouf. Et ressemble surtout à un ticket d'entrée pour Hollywood.
Libération
"Swimming Pool", aussi vain que chic.
Télérama
Autant Sous le sable – son meilleur film, où on le sentait, où on le voyait subjugué par une Charlotte Rampling ressuscitée – lui échappait avec profit, autant celui-là reste verrouillé et mécanique, malgré les apparences (et Rampling, toujours divinement ambiguë). Si on avait entre les mains le bouquin que Sarah Morton est en train d'écrire à l'écran, il est certain qu'on ne lirait pas jusqu'au bout ce polar creux maquillé en oeuvre profonde.