Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Mais c'est, effectivement, moins l'effort marxiste que l'extraordinaire brio des plans -séquences qui impressionne, la composition fulgurante des images, qui éclatent littéralement au visage des spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Olivier Arezki
Kalazatov dirige sa symphonie visuelle comme un chorégraphe au regard mobile, (...). Sa caméra vient pétrir Cuba comme une matière vivante, en donnant une personnalité unique à ses protagonistes grâce à des cadrages penchés, jamais conventionnels.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Un chef-d'oeuvre de formalisme débridé, (...) sorti en pleine conquête spatiale, sept ans après le lancement du premier spoutnik. Tout aurait dû s'arrêter là si les hiérarques soviétiques avaient été de vrais spectateurs de cinéma. Pourquoi lancer un tel programme de conquête spatiale quand votre cinéma tutoie depuis aussi longtemps les étoiles ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Isabelle Danel
Quarante ans après sa réalisation, le film maudit de Kalatozov retrouve le chemin des écrans. Du grand cinéma.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Drôle d'objet ressorti des limbes de l'histoire, sorte de mix étrange entre rêverie sensuelle et tract de propagande grossier (...) (Un film qui) rappelle ce qu'a pu être la puissance lyrique du cinéma soviétique et du cinéma tout court.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gwenola Martel
L'étendue des talents de Kalatozov surprend à tout instant. Ainsi que son art de filmer des plans de plus en plus centrés sur ses personnages : jamais leur durée n'insupporte le spectateur, mais le plonge dans un malaise grandissant face à la détresse transmise par les acteurs.
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Du dynamisme, de l'audace et de l'ingéniosité pendant plus de deux heures ! Une fois la séance terminée, le cinéphile sort de la salle avec la pêche et le sentiment d'avoir découvert un film qui, comme l'a déclaré Martin Scorsese, "donne foi dans le cinéma ".
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
A la fois terriblement obsolète et prodigieusement spectaculaire. (...) mais au bout du compte, quarante ans plus tard, c'est le cinéma qui est célébré avec une ferveur exaltée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Véronique le Bris
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
TéléCinéObs
par Corine Renou-Nativel
L'image en noir et blanc est splendide, les mouvements de caméras époustouflants. Tourné en 1964, le film, on l'imagine bien, n'est pas exempt de manichéisme. Ses appels à la révolte contre l'arbitraire d'une dictature résonne étrangement à l'heure où Castro durcit encore sa répression.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
Mais c'est, effectivement, moins l'effort marxiste que l'extraordinaire brio des plans -séquences qui impressionne, la composition fulgurante des images, qui éclatent littéralement au visage des spectateurs.
Chronic'art.com
Kalazatov dirige sa symphonie visuelle comme un chorégraphe au regard mobile, (...). Sa caméra vient pétrir Cuba comme une matière vivante, en donnant une personnalité unique à ses protagonistes grâce à des cadrages penchés, jamais conventionnels.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
Un chef-d'oeuvre de formalisme débridé, (...) sorti en pleine conquête spatiale, sept ans après le lancement du premier spoutnik. Tout aurait dû s'arrêter là si les hiérarques soviétiques avaient été de vrais spectateurs de cinéma. Pourquoi lancer un tel programme de conquête spatiale quand votre cinéma tutoie depuis aussi longtemps les étoiles ?
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Quarante ans après sa réalisation, le film maudit de Kalatozov retrouve le chemin des écrans. Du grand cinéma.
Les Inrockuptibles
Drôle d'objet ressorti des limbes de l'histoire, sorte de mix étrange entre rêverie sensuelle et tract de propagande grossier (...) (Un film qui) rappelle ce qu'a pu être la puissance lyrique du cinéma soviétique et du cinéma tout court.
Libération
L'étendue des talents de Kalatozov surprend à tout instant. Ainsi que son art de filmer des plans de plus en plus centrés sur ses personnages : jamais leur durée n'insupporte le spectateur, mais le plonge dans un malaise grandissant face à la détresse transmise par les acteurs.
MCinéma.com
Du dynamisme, de l'audace et de l'ingéniosité pendant plus de deux heures ! Une fois la séance terminée, le cinéphile sort de la salle avec la pêche et le sentiment d'avoir découvert un film qui, comme l'a déclaré Martin Scorsese, "donne foi dans le cinéma ".
Télérama
A la fois terriblement obsolète et prodigieusement spectaculaire. (...) mais au bout du compte, quarante ans plus tard, c'est le cinéma qui est célébré avec une ferveur exaltée.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
TéléCinéObs
L'image en noir et blanc est splendide, les mouvements de caméras époustouflants. Tourné en 1964, le film, on l'imagine bien, n'est pas exempt de manichéisme. Ses appels à la révolte contre l'arbitraire d'une dictature résonne étrangement à l'heure où Castro durcit encore sa répression.