Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Et puis, le cadeau du film, c'est Suzanne Flon en tante Line : un personnage secondaire qui, peu à peu, emplit l'espace de l'écran, savoure des dialogues élégants et devient une craquante vieille dame indigne.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michel Guilloux
Rarement film noir aura été aussi lumineux. De la lumière qui baigne la Fleur du mal on garde un souvenir printanier, noyant cadre et personnages.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Cette "Fleur du mal" dégage un parfum précieux, rare, et compte quelques séquences délicieusement vénéneuses.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Toujours aussi malicieux et maître de sa mise en scène, Claude Chabrol livre un portrait ironique de la grande bourgeoisie et de la France : La Fleur du mal, une intrigue sans dénouement, où la culpabilité est diffuse et la frontière entre bien et mal incertaine jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
Voilà bouclée la boucle de ce film captivant, remarquablement, et imperceptiblement, construit. Comme une bonne dissertation de philo.
Cahiers du Cinéma
par Hélène Frappat
La Fleur du mal ose une intrigue policière dont la victie, le coupable et le mobile sont livrés d'emblée : un thriller psychanalytique sans le moindre suspense.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
La Fleur du mal apporte donc peu de nouveauté, une qualité très attendue, mais à la différence de chaque nouveau Woody Allen, les nouveaux Chabrol sont de plus en plus enjoués et ne faiblissent pas.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le drame criminel, magistralement déterminé par la mise en scène, se transforme en métaphore politique. Chabrol met le doigt sur un processus qui fait trouver la consolation dans l'infamie du père. Une idée qui rencontre un écho historique dans l'allusion à la collaboration.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
Ce volet-là du film (avec notamment la visite d'un ensemble de HLM, un morceau d'anthologie) est férocement jubilatoire. Le reste, la peinture de cette bourgeoisie de province toute d'apparence et de lourds secrets, reste sans surprise. Même si, dans ce cinquante-quatrième opus (!), maître Chabrol joue son petit Hitchcock et ajoute un meurtre aux trahisons et mensonges habituels.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Antoine De Baecque
On ne dira pas qu'il s'agit du meilleur film de Claude Chabrol, mais ce n'est pas cela l'important. D'ailleurs, Chabrol s'en fout : ce film compte pour lui, car, telle une poterie ou un bibelot sur la cheminée, il viendra prendre sa place dans une oeuvre mûrement réfléchie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Jean-Phiilippe Guerand
Malgré son titre baudelairien, c'est bien entre Balzac et Mauriac que penche ce tableau de moeurs au vitriol sur fond de raffarinades.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Chabrol est l'un des derniers à regarder ainsi la société des humains sans la moindre illusion, mais sans se situer lui-même plus haut ni virer au nihilisme désespéré. Dans sa botanique, la fleur du mal est juste une variété très répandue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
On devine le plaisir qu'a pris le cinéaste à tricoter son intrigue, un zeste d'inceste et une poignée de parricide, mais si on admire la maille, l'entreprise s'apparente par trop à un ouvrage de dames.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Sophie Grassin
Mais le reste se traîne à la façon d'une tortue arthritique opu d'une soirée électorale télévisée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
Malgré les références à l'actualité, comme la libération de Papon et les élections présidentielles de 2002, tout cela sent la poussière. Ce devrait être celle qui recouvre les placards aux cadavres et nous incommode quand on souffle dessus. Ce n'est que le signe de l'enlisement d'un cinéaste parfois laborieux.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Aden
Et puis, le cadeau du film, c'est Suzanne Flon en tante Line : un personnage secondaire qui, peu à peu, emplit l'espace de l'écran, savoure des dialogues élégants et devient une craquante vieille dame indigne.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Rarement film noir aura été aussi lumineux. De la lumière qui baigne la Fleur du mal on garde un souvenir printanier, noyant cadre et personnages.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Cette "Fleur du mal" dégage un parfum précieux, rare, et compte quelques séquences délicieusement vénéneuses.
Les Inrockuptibles
Toujours aussi malicieux et maître de sa mise en scène, Claude Chabrol livre un portrait ironique de la grande bourgeoisie et de la France : La Fleur du mal, une intrigue sans dénouement, où la culpabilité est diffuse et la frontière entre bien et mal incertaine jusqu'au bout.
MCinéma.com
Voilà bouclée la boucle de ce film captivant, remarquablement, et imperceptiblement, construit. Comme une bonne dissertation de philo.
Cahiers du Cinéma
La Fleur du mal ose une intrigue policière dont la victie, le coupable et le mobile sont livrés d'emblée : un thriller psychanalytique sans le moindre suspense.
Chronic'art.com
La Fleur du mal apporte donc peu de nouveauté, une qualité très attendue, mais à la différence de chaque nouveau Woody Allen, les nouveaux Chabrol sont de plus en plus enjoués et ne faiblissent pas.
Le Monde
Le drame criminel, magistralement déterminé par la mise en scène, se transforme en métaphore politique. Chabrol met le doigt sur un processus qui fait trouver la consolation dans l'infamie du père. Une idée qui rencontre un écho historique dans l'allusion à la collaboration.
Les Echos
Ce volet-là du film (avec notamment la visite d'un ensemble de HLM, un morceau d'anthologie) est férocement jubilatoire. Le reste, la peinture de cette bourgeoisie de province toute d'apparence et de lourds secrets, reste sans surprise. Même si, dans ce cinquante-quatrième opus (!), maître Chabrol joue son petit Hitchcock et ajoute un meurtre aux trahisons et mensonges habituels.
Libération
On ne dira pas qu'il s'agit du meilleur film de Claude Chabrol, mais ce n'est pas cela l'important. D'ailleurs, Chabrol s'en fout : ce film compte pour lui, car, telle une poterie ou un bibelot sur la cheminée, il viendra prendre sa place dans une oeuvre mûrement réfléchie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Malgré son titre baudelairien, c'est bien entre Balzac et Mauriac que penche ce tableau de moeurs au vitriol sur fond de raffarinades.
Télérama
Chabrol est l'un des derniers à regarder ainsi la société des humains sans la moindre illusion, mais sans se situer lui-même plus haut ni virer au nihilisme désespéré. Dans sa botanique, la fleur du mal est juste une variété très répandue.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
On devine le plaisir qu'a pris le cinéaste à tricoter son intrigue, un zeste d'inceste et une poignée de parricide, mais si on admire la maille, l'entreprise s'apparente par trop à un ouvrage de dames.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Mais le reste se traîne à la façon d'une tortue arthritique opu d'une soirée électorale télévisée.
Fluctuat.net
Malgré les références à l'actualité, comme la libération de Papon et les élections présidentielles de 2002, tout cela sent la poussière. Ce devrait être celle qui recouvre les placards aux cadavres et nous incommode quand on souffle dessus. Ce n'est que le signe de l'enlisement d'un cinéaste parfois laborieux.