Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Elle
par Elisabeth Quin
Envoûtant Respiro... On pense à une vision méditerranéenne d'Une femme sous influence, un film authentique, et un rôle sur mesure pour Valeria Golino.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Valeria Golino est magnifique, oui, mais tous les autres autour d'elle également.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Isabelle Fajardo
Un film merveilleux, dans tous les sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Présenté avec succès au dernier festival de Cannes, un beau film, sensuel et trouvant la liberté aux rivages du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
L'audace de cette acrobatie scénaristique force le respect. On sent là plus qu'une envie, un vrai désir d'emmener le film loin des sentiers battus. Mais l'idée convainc mieux que sa mise en oeuvre, même si le dernier plan est – encore une fois – d'une invention surprenante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Une brise de poésie, d'intelligence et de liberté qui redore le blason d'un cinéma populaire italien dévasté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
Respiro est à l'image de l'eau bleu turquoise des côtes de Lampedusa : limpide en apparence, mais avec des grandes zones sombres.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Virginie Apiou
Un art de la récup' à toute épreuve qui donne une écriture naturelle alimentée de quelques trouvailles.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
(...) le film (...) oscille sans cesse entre réalisme et onirisme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Eric Quéméré
Face à ce second long-métrage, on ne peut éviter de songer à la rencontre inattendue d'Une femme sous influence de Cassavetes et de Stromboli de Rossellini: mais Emanuele Crialese nous fait rapidement oublier ces illustres modèles grâce à une touche très personnelle, mélange étonnant de réalisme, de poésie et de sensualité. Porté par d'excellents acteurs, son film suscite alors une indicible émotion.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Si l'on ne peut qu'être d'accord avec le message hédoniste du film, on regrettera que celui-ci passe avec une clarté et une évidence qui confinent à la naïveté.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Positif
par Jean-Loup Bourget
Cette ambition constitue en même temps la limite paradoxale d'une oeuvre estimable, dans la mesure où les petits faits vrais de la description (...) étonnent et séduisent davantage que la dimension mythologique de Grazia, qui n'échappe pas à la métaphore parfois malhabile.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
Mais le réalisateur peine à faire passer l'ostracisme dont est victime Grazia autrement que par les dialogues et assome sa fiction sous une musique envahissante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Envoûtant Respiro... On pense à une vision méditerranéenne d'Une femme sous influence, un film authentique, et un rôle sur mesure pour Valeria Golino.
L'Obs
Valeria Golino est magnifique, oui, mais tous les autres autour d'elle également.
Télérama
Un film merveilleux, dans tous les sens du terme.
Aden
Présenté avec succès au dernier festival de Cannes, un beau film, sensuel et trouvant la liberté aux rivages du fantastique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
L'audace de cette acrobatie scénaristique force le respect. On sent là plus qu'une envie, un vrai désir d'emmener le film loin des sentiers battus. Mais l'idée convainc mieux que sa mise en oeuvre, même si le dernier plan est – encore une fois – d'une invention surprenante.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Une brise de poésie, d'intelligence et de liberté qui redore le blason d'un cinéma populaire italien dévasté.
MCinéma.com
Respiro est à l'image de l'eau bleu turquoise des côtes de Lampedusa : limpide en apparence, mais avec des grandes zones sombres.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Un art de la récup' à toute épreuve qui donne une écriture naturelle alimentée de quelques trouvailles.
TéléCinéObs
(...) le film (...) oscille sans cesse entre réalisme et onirisme.
Zurban
Face à ce second long-métrage, on ne peut éviter de songer à la rencontre inattendue d'Une femme sous influence de Cassavetes et de Stromboli de Rossellini: mais Emanuele Crialese nous fait rapidement oublier ces illustres modèles grâce à une touche très personnelle, mélange étonnant de réalisme, de poésie et de sensualité. Porté par d'excellents acteurs, son film suscite alors une indicible émotion.
Chronic'art.com
Si l'on ne peut qu'être d'accord avec le message hédoniste du film, on regrettera que celui-ci passe avec une clarté et une évidence qui confinent à la naïveté.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
Cette ambition constitue en même temps la limite paradoxale d'une oeuvre estimable, dans la mesure où les petits faits vrais de la description (...) étonnent et séduisent davantage que la dimension mythologique de Grazia, qui n'échappe pas à la métaphore parfois malhabile.
Première
Mais le réalisateur peine à faire passer l'ostracisme dont est victime Grazia autrement que par les dialogues et assome sa fiction sous une musique envahissante.