Les Looney Tunes passent à l'action : Critique presse
Les Looney Tunes passent à l'action
Note moyenne
3,6
16 titres de presse
Aden
MCinéma.com
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
Le Monde
Première
Studio Magazine
TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
L'Express
L'Humanité
Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
Libération
Positif
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Après Panic sur Florida Beach et Small Soldiers (...), il prolonge son entreprise de déconstruction de la société du spectacle... camouflée en trépidant divertissement ! Gags à cent à l'heure, poursuites dingues, clins d'oeil à la pelle (...) Dérision à tous les étages et jubilation assurée.
La critique complète est disponible sur le site Aden
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Drôle, rapide et peuplé de personnages ayant marqué notre enfance... pourquoi se priver ? C'est Noël.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(...) une équipée de tunes revanchards (...) pliant le film à leurs règles. C'est le paradoxe de cet intrigant Looney Tunes, où la frénésie de tout détruire abrite aussi une éclatante santé permettant au film de retomber in extremis sur ses pieds.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
On peut voir dans ce Looney tunes un joyeux bâclage, une explosion de la commande, prise par-dessus la jambe, poussée à son point de rupture, mais aussi cela : l'amer Joe Dante a toujours de l'énergie, fut-elle cabossée par les échecs successifs et desséchée par l'aigreur, à revendre. On reste preneurs.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Arrivé à son terme, Les Looney Tunes passent à l'action laisse une sensation d'euphorie mélangée d'épuisement, comme si Joe Dante avait brûlé toutes ses réserves d'énergie pour prouver - à lui-même, aux "suits", aux spectateurs - que, malgré les études de marché, on peut encore s'amuser en faisant du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christian Jauberty
Fidèle à l'esprit dingue et joyeusement impertinent des cartoons, Dante entretient un rythme infernal qui fait largement passer quelques dérapages techniques et le caractère échevelé d'une intrigue qui nous entraîne d'Hollywood à Paris en passant par Las Vegas et l'espace.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Un régal : Joe Dante crache méchamment dans la foule, tout en multipliant les clins d'oeil cinéphiles (...) Si le postulat est sous-exploité - le film s'affaisse dès lors qu'on quitte les studios de la Warner (...) -, l'ensemble est suffisamment mordant pour célébrer comme il se doit le retour d'un Joe Dante devenu trop rare.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Richard Vantielcke
En bref, comme dans un cartoon traditionnel, on n'attend rien de l'histoire, tout est dans le comique de situation et dans ce registre, Les Looney Tunes... remplit sans problème les termes du contrat.
L'Express
par Denis Rossano
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tous se livrent une joyeuse poursuite, parodiant au passage James Bond (avec Timothy Dalton) et égratignant pour rire le système des studios hollywoodiens. Rien de tel que Joe Dante pour associer impertinence et nostalgie cinéphile.
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Il y a, bien sûr, la savoureuse satire du monde du cinéma hollywoodien. Mais cela n'est pas nouveau ni suffisant. L'histoire manque un peu de consistance et le temps est long.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un petit Joe Dante, toujours pétillant et référentiel, mais un chouïa à côté de la plaque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La Rédaction
Pas désagréable cette resucée de Roger Rabbit, mais à quoi bon exactement (...) Pas le plus essentiel des Joe Dante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Frank Garbarz
(...) le scénario (pur prétexte) piétine dès le premier quart d'heure et le rythme s'essoufle aussi vite. Dommage d'avoir placé l'insolent Joe Dante aux commandes de ce produit calibré (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Bernard Génin
Refaire Qui veut la peau de Roger Rabbit ? avec uniquement le bestiaire de la Warner (Bugs Bunny et Daffy Duck en tête), pourquoi pas ? A condition de faire aussi bien. Hélas, malgré force clins d'oeil à l'histoire du cartoon (Le Monde de Nemo est déjà cité !), le scénario vire au marathon hystérique même pas drôle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Après Panic sur Florida Beach et Small Soldiers (...), il prolonge son entreprise de déconstruction de la société du spectacle... camouflée en trépidant divertissement ! Gags à cent à l'heure, poursuites dingues, clins d'oeil à la pelle (...) Dérision à tous les étages et jubilation assurée.
MCinéma.com
Drôle, rapide et peuplé de personnages ayant marqué notre enfance... pourquoi se priver ? C'est Noël.
Cahiers du Cinéma
(...) une équipée de tunes revanchards (...) pliant le film à leurs règles. C'est le paradoxe de cet intrigant Looney Tunes, où la frénésie de tout détruire abrite aussi une éclatante santé permettant au film de retomber in extremis sur ses pieds.
Chronic'art.com
On peut voir dans ce Looney tunes un joyeux bâclage, une explosion de la commande, prise par-dessus la jambe, poussée à son point de rupture, mais aussi cela : l'amer Joe Dante a toujours de l'énergie, fut-elle cabossée par les échecs successifs et desséchée par l'aigreur, à revendre. On reste preneurs.
Le Monde
Arrivé à son terme, Les Looney Tunes passent à l'action laisse une sensation d'euphorie mélangée d'épuisement, comme si Joe Dante avait brûlé toutes ses réserves d'énergie pour prouver - à lui-même, aux "suits", aux spectateurs - que, malgré les études de marché, on peut encore s'amuser en faisant du cinéma.
Première
Fidèle à l'esprit dingue et joyeusement impertinent des cartoons, Dante entretient un rythme infernal qui fait largement passer quelques dérapages techniques et le caractère échevelé d'une intrigue qui nous entraîne d'Hollywood à Paris en passant par Las Vegas et l'espace.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un régal : Joe Dante crache méchamment dans la foule, tout en multipliant les clins d'oeil cinéphiles (...) Si le postulat est sous-exploité - le film s'affaisse dès lors qu'on quitte les studios de la Warner (...) -, l'ensemble est suffisamment mordant pour célébrer comme il se doit le retour d'un Joe Dante devenu trop rare.
aVoir-aLire.com
En bref, comme dans un cartoon traditionnel, on n'attend rien de l'histoire, tout est dans le comique de situation et dans ce registre, Les Looney Tunes... remplit sans problème les termes du contrat.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Tous se livrent une joyeuse poursuite, parodiant au passage James Bond (avec Timothy Dalton) et égratignant pour rire le système des studios hollywoodiens. Rien de tel que Joe Dante pour associer impertinence et nostalgie cinéphile.
Le Figaroscope
Il y a, bien sûr, la savoureuse satire du monde du cinéma hollywoodien. Mais cela n'est pas nouveau ni suffisant. L'histoire manque un peu de consistance et le temps est long.
Les Inrockuptibles
Un petit Joe Dante, toujours pétillant et référentiel, mais un chouïa à côté de la plaque.
Libération
Pas désagréable cette resucée de Roger Rabbit, mais à quoi bon exactement (...) Pas le plus essentiel des Joe Dante.
Positif
(...) le scénario (pur prétexte) piétine dès le premier quart d'heure et le rythme s'essoufle aussi vite. Dommage d'avoir placé l'insolent Joe Dante aux commandes de ce produit calibré (...)
Télérama
Refaire Qui veut la peau de Roger Rabbit ? avec uniquement le bestiaire de la Warner (Bugs Bunny et Daffy Duck en tête), pourquoi pas ? A condition de faire aussi bien. Hélas, malgré force clins d'oeil à l'histoire du cartoon (Le Monde de Nemo est déjà cité !), le scénario vire au marathon hystérique même pas drôle.