Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
par Nicolas Schaller
La touche Curtis n'a rien perdu de son acuité (tout est bien vu, rien ne sonne faux) et de son efficace sensibilité (tout humain normalement constitué trouvera histoire à son pied et lâchera au moins une larme et quelques rires).
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
C'est sans doute pour ce genre de réussite que les Anglo-saxons ont inventé l'expression feelgood movie>/i> : un film où l'on se sent bien, dont les dialogues carillonnent aux tympans, et dont on ressort le coeur en montgolfière.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Love actually est (...) une horloge huilée dont le moindre rouage n'a d'autre fonction que participer à la grand messe de la romance. Passant allègrement par-dessus la nécessité de se poser (sur une scène, sur une histoire), le film empile les love stories selon un principe radical : éliminer tout ce qui pourrait ralentir ou atténuer le rendement émotionnel.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Denis Rossano
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
En passant derrière la caméra, on imaginait que Richard Curtis (...) retrouverait, avec Love Actually, la veine romanesque sucrée-salée, relevée par un humour si terriblement british. Mais sa recette dont le principal ingrédient se résume à " l'amour est partout " vire à la guimauve.
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Le scénariste dispose d'une maîtrise suffisante de son écriture (...) se révèlent de formidables idées de comédies - et d'acteurs talentueux (Keira Knightley, Liam Neeson, Emma Thompson et Colin Firth sont impeccables) pour mener à bien son premier film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Xavier Pichard
Il est bien difficile dans ce best-of Richard Curtis de s'attacher à une histoire, tant ce ping-pong amoureux entre chaque romance trimballe le spectateur de bras en bras.
Positif
par Pierre Eisenreich
L'intérêt cinématographique est inexistant, sorte de condensé de sitcoms où quelques grands moments d'interprétation viennent tirer le spectateur d'une léthargie cérébrale. La sincérité de Laura Linney et de Liam Neeson, entre autres, prouve le niveau de ces comédiens qui offrent une véritable consistance existentielle à des rôles éculés.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
Rien à dire, ces Anglais ont le chic pour réaliser des comédies romantiques réjouissantes. Pourtant, pas un gramme d'originalité dans cette réalisation estampillée Richard Curtis
Aden
par Philippe Piazzo
Cette nouvelle comédie (...) n'est même pas nulle : elle est opportuniste et racoleuse. Pas de mise en scène, jouée à la va-comme-je-grimace (on nage en pleine sitcom de luxe), et finalement méprisante pour le spectateur, sommé d'abandonner son cerveau à l'entrée. (...) Midinettes, attention à l'overdose.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Libération
par Agnès Catherine Poirier
Réalisé d'une main molle, Love Actually montre une Grande-Bretagne fantasmée : il y neige toujours à Noël, les Anglais, millionnaires, travaillent rarement, et leurs amis sont tous diplômés de Cambridge.
Télérama
par Pierre Murat
Tout cela serait charmant si le réalisateur avait un petit talent de mise en scène. Mais non. Dans une sorte de léthargie ouatée, on guette alors quelques silhouettes incongrues. Et on les trouve : Rowan Atkinson (alias Mister Bean), irrésistible en vendeur pas pressé. Et Bill Nighy, rockeur vieillissant et décalé (...). Heureusement qu'ils sont là.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
La touche Curtis n'a rien perdu de son acuité (tout est bien vu, rien ne sonne faux) et de son efficace sensibilité (tout humain normalement constitué trouvera histoire à son pied et lâchera au moins une larme et quelques rires).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
C'est sans doute pour ce genre de réussite que les Anglo-saxons ont inventé l'expression feelgood movie>/i> : un film où l'on se sent bien, dont les dialogues carillonnent aux tympans, et dont on ressort le coeur en montgolfière.
Chronic'art.com
Love actually est (...) une horloge huilée dont le moindre rouage n'a d'autre fonction que participer à la grand messe de la romance. Passant allègrement par-dessus la nécessité de se poser (sur une scène, sur une histoire), le film empile les love stories selon un principe radical : éliminer tout ce qui pourrait ralentir ou atténuer le rendement émotionnel.
L'Express
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Le Figaroscope
En passant derrière la caméra, on imaginait que Richard Curtis (...) retrouverait, avec Love Actually, la veine romanesque sucrée-salée, relevée par un humour si terriblement british. Mais sa recette dont le principal ingrédient se résume à " l'amour est partout " vire à la guimauve.
Le Monde
Le scénariste dispose d'une maîtrise suffisante de son écriture (...) se révèlent de formidables idées de comédies - et d'acteurs talentueux (Keira Knightley, Liam Neeson, Emma Thompson et Colin Firth sont impeccables) pour mener à bien son premier film.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Il est bien difficile dans ce best-of Richard Curtis de s'attacher à une histoire, tant ce ping-pong amoureux entre chaque romance trimballe le spectateur de bras en bras.
Positif
L'intérêt cinématographique est inexistant, sorte de condensé de sitcoms où quelques grands moments d'interprétation viennent tirer le spectateur d'une léthargie cérébrale. La sincérité de Laura Linney et de Liam Neeson, entre autres, prouve le niveau de ces comédiens qui offrent une véritable consistance existentielle à des rôles éculés.
aVoir-aLire.com
Rien à dire, ces Anglais ont le chic pour réaliser des comédies romantiques réjouissantes. Pourtant, pas un gramme d'originalité dans cette réalisation estampillée Richard Curtis
Aden
Cette nouvelle comédie (...) n'est même pas nulle : elle est opportuniste et racoleuse. Pas de mise en scène, jouée à la va-comme-je-grimace (on nage en pleine sitcom de luxe), et finalement méprisante pour le spectateur, sommé d'abandonner son cerveau à l'entrée. (...) Midinettes, attention à l'overdose.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Réalisé d'une main molle, Love Actually montre une Grande-Bretagne fantasmée : il y neige toujours à Noël, les Anglais, millionnaires, travaillent rarement, et leurs amis sont tous diplômés de Cambridge.
Télérama
Tout cela serait charmant si le réalisateur avait un petit talent de mise en scène. Mais non. Dans une sorte de léthargie ouatée, on guette alors quelques silhouettes incongrues. Et on les trouve : Rowan Atkinson (alias Mister Bean), irrésistible en vendeur pas pressé. Et Bill Nighy, rockeur vieillissant et décalé (...). Heureusement qu'ils sont là.