Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Fathi Beddiar
Film témoin de la maturité de son auteur, La 25e heure est aussi un poème cinématographique intense et flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Cahiers du Cinéma
par Sébastien Bénédict
La 25e heure est plutôt une bonne surprise.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Film réussi, la 25e Heure possède néanmoins quelques côtés outranciers. A force de vouloir représenter une mafia russe plus vraie que nature, le cinéaste tombe dans l'archétype et flirte avec la caricature. Certaines séquences qui mettent en perspective l'avenir du héros disputent le kitsch au grotesque. En outre, certains personnages, en particulier l'adolescente mutine qui tente de séduire son professeur, apparaissent-ils superflus. Reste qu'en dépit de ces bémols ce long métrage demeure étonnant et envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Alain Grasset
Intense, dur, touchant (...), ce retour en force du réalisateur est réussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Dernière journée de liberté d'un dealer avant la taule. Un film déprimé mais digne d'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Tout porte à croire que Spike Lee ne sait plus trop quelles sont ses convictions, s'il en eut jamais, ni à quel saint polémique se vouer. Du moins exprime-t-il ici sa crainte qu'à l'avenir, et selon les revers de l'Histoire, l'histrionisme idéologique mêlé de morgue et de morosité qui lui a tenu lieu d'engagement ne lui soit même plus autorisé. A cet égard, le "fuck you Oussama ben Laden" est une de ses prises de positions les plus claires et saines depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Novaplanet.com
par Alex Masson
Un examen de passage amer. Porteur d'un renouveau ? Lee est un cinéaste fataliste, mais essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Première
par Christophe Narbonne
La grande réussite de ce film à haute teneur psychologique tient dans le casting. La sobriété incarnée, Edward Norton confirme qu'il est un très grand.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par François Forestier
Spike Lee l'énervé fait place à Spike Lee l'artisan : on gagne au change.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
La dernière nuit du garçon avant la prison évoque le sursis d'un monde. Autour de lui, les autres semblent continuer à titre provisoire, comme s'ils s'attendaient désormais à tout sauf à des merveilles. Le film est touchant en cela : contrairement à la majorité de ses confrères, Spike Lee nous dit combien il accuse le coup.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Adapté du roman de David Benioff, 24 heures avant la nuit, ce nouveau film d'un Spike Lee apaisé, rompt avec ses engagements précédents. Pas de lutte sociale revendiquée, mais une tension qui réserve de très bons moments de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Africultures.com
par Olivier Barlet
Quant à la récurrence de drapeaux américains sur fond de Tours effondrées, elle finit par être quelque peu assourdissante. Il reste la musique (Terence Blanchard) et une cinématographie de grande qualité. La fin est d'une bizarrerie délicieuse qui ne manquera pas d'être critiquée : Spike Lee a le don de finir ses films en queue de poisson.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Spike Lee développe une idée simple mais stimulante : la disparition, à la suite des attentats du 11 septembre 2001, de New York, Vienne moderne, havre du cosmopolitisme, et l'apparition d'une ville timorée, qui tourne le dos à son insularité pour se fondre dans le moule étroit de l'Amérique du Midwest.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Cousu d'un suspense haletant, La 25e heure est un polar noir et dense. Une exercice de style plutôt réussi dans lequel Edward Norton est impeccable. Dommage que le réalisateur Spike Lee le délaisse parfois pour des histoires secondaires lourdes et sans grand intérêt.
Aden
par Philippe Piazzo
Comme d'habitude, pour parler de lui-même et du monde qui l'entoure, Spike Lee utilise toujours les mêmes archétypes communautaires. Non, rien n'a changé : son cinéma est toujours bouillonnant mais son discours manichéen ne nous plait toujours pas.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Mad Movies
Film témoin de la maturité de son auteur, La 25e heure est aussi un poème cinématographique intense et flamboyant.
Cahiers du Cinéma
La 25e heure est plutôt une bonne surprise.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Film réussi, la 25e Heure possède néanmoins quelques côtés outranciers. A force de vouloir représenter une mafia russe plus vraie que nature, le cinéaste tombe dans l'archétype et flirte avec la caricature. Certaines séquences qui mettent en perspective l'avenir du héros disputent le kitsch au grotesque. En outre, certains personnages, en particulier l'adolescente mutine qui tente de séduire son professeur, apparaissent-ils superflus. Reste qu'en dépit de ces bémols ce long métrage demeure étonnant et envoûtant.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Intense, dur, touchant (...), ce retour en force du réalisateur est réussi.
Les Inrockuptibles
Dernière journée de liberté d'un dealer avant la taule. Un film déprimé mais digne d'intérêt.
Libération
Tout porte à croire que Spike Lee ne sait plus trop quelles sont ses convictions, s'il en eut jamais, ni à quel saint polémique se vouer. Du moins exprime-t-il ici sa crainte qu'à l'avenir, et selon les revers de l'Histoire, l'histrionisme idéologique mêlé de morgue et de morosité qui lui a tenu lieu d'engagement ne lui soit même plus autorisé. A cet égard, le "fuck you Oussama ben Laden" est une de ses prises de positions les plus claires et saines depuis longtemps.
Novaplanet.com
Un examen de passage amer. Porteur d'un renouveau ? Lee est un cinéaste fataliste, mais essentiel.
Première
La grande réussite de ce film à haute teneur psychologique tient dans le casting. La sobriété incarnée, Edward Norton confirme qu'il est un très grand.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Spike Lee l'énervé fait place à Spike Lee l'artisan : on gagne au change.
Télérama
La dernière nuit du garçon avant la prison évoque le sursis d'un monde. Autour de lui, les autres semblent continuer à titre provisoire, comme s'ils s'attendaient désormais à tout sauf à des merveilles. Le film est touchant en cela : contrairement à la majorité de ses confrères, Spike Lee nous dit combien il accuse le coup.
Zurban
Adapté du roman de David Benioff, 24 heures avant la nuit, ce nouveau film d'un Spike Lee apaisé, rompt avec ses engagements précédents. Pas de lutte sociale revendiquée, mais une tension qui réserve de très bons moments de cinéma.
Africultures.com
Quant à la récurrence de drapeaux américains sur fond de Tours effondrées, elle finit par être quelque peu assourdissante. Il reste la musique (Terence Blanchard) et une cinématographie de grande qualité. La fin est d'une bizarrerie délicieuse qui ne manquera pas d'être critiquée : Spike Lee a le don de finir ses films en queue de poisson.
Le Monde
Spike Lee développe une idée simple mais stimulante : la disparition, à la suite des attentats du 11 septembre 2001, de New York, Vienne moderne, havre du cosmopolitisme, et l'apparition d'une ville timorée, qui tourne le dos à son insularité pour se fondre dans le moule étroit de l'Amérique du Midwest.
MCinéma.com
Cousu d'un suspense haletant, La 25e heure est un polar noir et dense. Une exercice de style plutôt réussi dans lequel Edward Norton est impeccable. Dommage que le réalisateur Spike Lee le délaisse parfois pour des histoires secondaires lourdes et sans grand intérêt.
Aden
Comme d'habitude, pour parler de lui-même et du monde qui l'entoure, Spike Lee utilise toujours les mêmes archétypes communautaires. Non, rien n'a changé : son cinéma est toujours bouillonnant mais son discours manichéen ne nous plait toujours pas.