Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Brazil
par Hervé Deplasse
Nourri au documentaire, Greengrass se montre ici à la hauteur de ses illustres aînés, ainsi que de gens comme Costa-Gavras et son film tombe à point nommé pour nous rappeler à la vigilance face aux bras armés des pouvoirs aveuglés par le conservatisme et le manque de dialogue.
Cine Libre
par Matthieu Perrin
Bloody Sunday est un film dur et vrai. Indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Jean Roy
Ne reste alors qu'à se caler dans son fauteuil et à revivre avec lui ce dimanche 30 janvier 1972, le film respectant l'unité de temps d'une journée, celle de lieu et celle d'action, hormis les actions secondaires destinées à redonner de la chair et à expliquer les motivations de ces héros grands et sinistres des deux camps tombés dans l'oubli si on les prend séparément mais demeurés collectivement dans la mémoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Voilà un grand et beau film.
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) Paul Greengrass nous livre un film coup de poing, objectif en tous points.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Au-delà de son impressionnante efficacité - on en sort sonné -, il donne à réfléchir, aujourd'hui plus que jamais, sur la sanglante absurdité d'affrontements que l'on sait suicidaires, et qui ne résolvent rien. Mais, hélas, il ne donne pas le mode d'emploi permettant de les éviter...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Ni film à sujet ni vieille fiction de gauche, Bloody Sunday est un passionnant dispositif cinématographique qui restitue l'évènement sans le travestir. C'est aussi un excellent film de guerre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sorj Chalandon
Comment est-il possible que nous soyons tellement là-bas, il y a trente ans et au milieu du drame ? Parce que tout est vrai.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Benjamin Braddock
Ce film, réalisé en 16 mm, le plus souvent caméra à l'épaule, donne le vertige (...). C'est un film de guerre effrayant, hallucinant de réalisme qui prend aux tripes du début à la fin (...). Sa mise en scène totalement maîtrisée est également servie par le jeu des acteurs, avec en tête James Nesbitt, magistral.
Obejctif-Cinema.com
par Florence Pommery
Avec Bloody Sunday Paul Greengrass réussit, par une reconstitution minutieuse et hyperréaliste des événements, à livrer un film bouleversant et percutant.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Chemin
Bloody Sunday est une épreuve, certes, mais nécesaire pour penser les plaies de ce dimanche sanglant.
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Florence Colombani
La partie centrale est donc la moins convaincante, échouant à transmettre l'effroi de l'expérience collective. Pourtant, le film de Paul Greengrass est d'une grande force. Le début, qui montre les préparatifs de la manifestation, fait exister quelques-unes des futures victimes avec une grande justesse du regard.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouirock.com
par Sarah Beaufol
Un film à voir, pour ne jamais oublier, et pour ouvrir les yeux.
Positif
par Eithnee O'Neill
La politique, y compris celle de la mise en scène d'un auteur, crée la réaction.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
En bon journaliste de formation, Greengrass alterne les points de vue, passant des manifestants aux forces armées anglaises. La montée de la tension est, de ce point de vue, parfaitement rendue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Il fallait la force d'une image symbolique pour tirer la morale d'un film aussi intensément honnête.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Dommage que l'invention n'apporte pas, comme elle le devrait, un surcroît de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Brazil
Nourri au documentaire, Greengrass se montre ici à la hauteur de ses illustres aînés, ainsi que de gens comme Costa-Gavras et son film tombe à point nommé pour nous rappeler à la vigilance face aux bras armés des pouvoirs aveuglés par le conservatisme et le manque de dialogue.
Cine Libre
Bloody Sunday est un film dur et vrai. Indispensable.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Ne reste alors qu'à se caler dans son fauteuil et à revivre avec lui ce dimanche 30 janvier 1972, le film respectant l'unité de temps d'une journée, celle de lieu et celle d'action, hormis les actions secondaires destinées à redonner de la chair et à expliquer les motivations de ces héros grands et sinistres des deux camps tombés dans l'oubli si on les prend séparément mais demeurés collectivement dans la mémoire.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Voilà un grand et beau film.
Le Parisien
(...) Paul Greengrass nous livre un film coup de poing, objectif en tous points.
Les Echos
Au-delà de son impressionnante efficacité - on en sort sonné -, il donne à réfléchir, aujourd'hui plus que jamais, sur la sanglante absurdité d'affrontements que l'on sait suicidaires, et qui ne résolvent rien. Mais, hélas, il ne donne pas le mode d'emploi permettant de les éviter...
Les Inrockuptibles
Ni film à sujet ni vieille fiction de gauche, Bloody Sunday est un passionnant dispositif cinématographique qui restitue l'évènement sans le travestir. C'est aussi un excellent film de guerre.
Libération
Comment est-il possible que nous soyons tellement là-bas, il y a trente ans et au milieu du drame ? Parce que tout est vrai.
MCinéma.com
Ce film, réalisé en 16 mm, le plus souvent caméra à l'épaule, donne le vertige (...). C'est un film de guerre effrayant, hallucinant de réalisme qui prend aux tripes du début à la fin (...). Sa mise en scène totalement maîtrisée est également servie par le jeu des acteurs, avec en tête James Nesbitt, magistral.
Obejctif-Cinema.com
Avec Bloody Sunday Paul Greengrass réussit, par une reconstitution minutieuse et hyperréaliste des événements, à livrer un film bouleversant et percutant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Bloody Sunday est une épreuve, certes, mais nécesaire pour penser les plaies de ce dimanche sanglant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
La partie centrale est donc la moins convaincante, échouant à transmettre l'effroi de l'expérience collective. Pourtant, le film de Paul Greengrass est d'une grande force. Le début, qui montre les préparatifs de la manifestation, fait exister quelques-unes des futures victimes avec une grande justesse du regard.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouirock.com
Un film à voir, pour ne jamais oublier, et pour ouvrir les yeux.
Positif
La politique, y compris celle de la mise en scène d'un auteur, crée la réaction.
Première
En bon journaliste de formation, Greengrass alterne les points de vue, passant des manifestants aux forces armées anglaises. La montée de la tension est, de ce point de vue, parfaitement rendue.
Télérama
Il fallait la force d'une image symbolique pour tirer la morale d'un film aussi intensément honnête.
Chronic'art.com
Dommage que l'invention n'apporte pas, comme elle le devrait, un surcroît de vérité.