Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Gore Verbinski (La Souris, Le Mexicain) fait preuve d'une relative invention dans sa mise en scène, même si l'on voit bien que Scream (pour la séquence d'ouverture) et Sixième Sens (pour l'incroyable mélange d'intelligence et de panique dans le comportement du gamin) sont passés par là.
Chronic'art.com
par Laurent Robert
Entre examen minutieux des images contenues dans la vidéo et flashs de voyant, LE CERCLE recompose une réalité typique de l'horreur tendance Z (une jeune fille enterrée vivante revient se venger) mais selon une progression bien huilée et avec beaucoup de sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Philippe Garnier
Verbinski est peut-être juste bon à repeindre la girafe, mais quand il peint sur du solide, il crée des images troublantes et des scènes annexes réussies. Bref, un film qu'on aurait tort de bouder par principe mal embouché.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Pourtant, surprise : Gore Verbinski livre un travail honnête avec cet opus américain. Fidèle sans copier, juste plus musclé, et sans courir à tout prix après le spectaculaire, il nous offre une version blockbuster qui conserve l'esprit de l'original. Si la tension résiduelle est moins présente, les pics de terreur fonctionnent, et le final, techniquement plus réussi, mérite d'être vu.
Mad Movies
par Bertrand Rougier
Le Cercle apparaît comme un bon duplicata de son original nippon, et Gore Verbinski comme un élève appliqué d'Hideo Nakata.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Nova
par Alex Masson
Le coup de force de Kruger et de Verbinski réside dans la conservation de la trame du film originel, tout en lui donnant une autre identité.
La critique complète est disponible sur le site Nova
Première
par Mathieu Carratier
En faisant le choix d'images plus dérangeantes que terrifiantes, Verbinski installe un malaise durable et lorgne volontairement plus vers L'EXORCISTE que vers l'horreur post-moderne de Craven & Co. Evidemment, il n'y a rien de plus subjectif que la peur au cinéma. Mais nous sommes prêts à parier que LE CERCLE a toutes les chances de vous faire passer quelques (très) mauvaises nuits.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Noyés qui viennent rendre de l'eau dans votre salon, visages déformés, séquence choc d'un pur-sang affolé qui se jette à l'eau : vieilles recettes du cinéma d'épouvante auxquelles on se laisse prendre, pas trop fier, mais pas mécontent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
Les dialogues renforcés, plus explicites, et les images enregistrées sur la cassette, beaucoup moins énigmatiques, ne font que confirmer que, l'occident, et surtout l'Amérique, privilégie le dit plutôt que le non-dit. On ne lutte pas contre sa culture... Ceci étant clarifié, le film de Gore Verbinski bénéficie incontestablement d'une mise en scène soignée, réglée pour que la montée de l'angoisse soit la plus indicible possible.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jean-François Rauger
Perdant, pour ceux qui connaissent le film de Nakata, tout véritable effet de surprise, Le Cercle-The Ring bénéfie toutefois d'une belle photographie (...) qui contribue à maintenir un sentiment d'élégante angoisse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Certes, les références de Gore Verbinski ne sont pas des moindres et arrivent à relancer efficacement le film quand il commence à s'épuiser, mais convoquer Kiyoshi Kurosawa et Dario Argento pour masquer son manque d'inspiration est bien le signe qu'il ne peut franchement compter sur son talent pour donner du souffle au CERCLE.
Obejctif-Cinema.com
par Raki Gnaba
Juste se demander ce que le verbe "réaliser" veut encore signifier. Il reste cette histoire finalement, toujours aussi efficace et originale, qui rehausse le genre du fantastique et le débarrasse de ses figures épuisées. Alors, oeuvre de copiste, ou oeuvre de faussaire, on sera sensible soit à ses quelques qualités, soit à sa malhonnêteté.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Aden
Gore Verbinski (La Souris, Le Mexicain) fait preuve d'une relative invention dans sa mise en scène, même si l'on voit bien que Scream (pour la séquence d'ouverture) et Sixième Sens (pour l'incroyable mélange d'intelligence et de panique dans le comportement du gamin) sont passés par là.
Chronic'art.com
Entre examen minutieux des images contenues dans la vidéo et flashs de voyant, LE CERCLE recompose une réalité typique de l'horreur tendance Z (une jeune fille enterrée vivante revient se venger) mais selon une progression bien huilée et avec beaucoup de sobriété.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Verbinski est peut-être juste bon à repeindre la girafe, mais quand il peint sur du solide, il crée des images troublantes et des scènes annexes réussies. Bref, un film qu'on aurait tort de bouder par principe mal embouché.
MCinéma.com
Pourtant, surprise : Gore Verbinski livre un travail honnête avec cet opus américain. Fidèle sans copier, juste plus musclé, et sans courir à tout prix après le spectaculaire, il nous offre une version blockbuster qui conserve l'esprit de l'original. Si la tension résiduelle est moins présente, les pics de terreur fonctionnent, et le final, techniquement plus réussi, mérite d'être vu.
Mad Movies
Le Cercle apparaît comme un bon duplicata de son original nippon, et Gore Verbinski comme un élève appliqué d'Hideo Nakata.
Nova
Le coup de force de Kruger et de Verbinski réside dans la conservation de la trame du film originel, tout en lui donnant une autre identité.
Première
En faisant le choix d'images plus dérangeantes que terrifiantes, Verbinski installe un malaise durable et lorgne volontairement plus vers L'EXORCISTE que vers l'horreur post-moderne de Craven & Co. Evidemment, il n'y a rien de plus subjectif que la peur au cinéma. Mais nous sommes prêts à parier que LE CERCLE a toutes les chances de vous faire passer quelques (très) mauvaises nuits.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Noyés qui viennent rendre de l'eau dans votre salon, visages déformés, séquence choc d'un pur-sang affolé qui se jette à l'eau : vieilles recettes du cinéma d'épouvante auxquelles on se laisse prendre, pas trop fier, mais pas mécontent.
Cinopsis.com
Les dialogues renforcés, plus explicites, et les images enregistrées sur la cassette, beaucoup moins énigmatiques, ne font que confirmer que, l'occident, et surtout l'Amérique, privilégie le dit plutôt que le non-dit. On ne lutte pas contre sa culture... Ceci étant clarifié, le film de Gore Verbinski bénéficie incontestablement d'une mise en scène soignée, réglée pour que la montée de l'angoisse soit la plus indicible possible.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Perdant, pour ceux qui connaissent le film de Nakata, tout véritable effet de surprise, Le Cercle-The Ring bénéfie toutefois d'une belle photographie (...) qui contribue à maintenir un sentiment d'élégante angoisse.
Les Inrockuptibles
Certes, les références de Gore Verbinski ne sont pas des moindres et arrivent à relancer efficacement le film quand il commence à s'épuiser, mais convoquer Kiyoshi Kurosawa et Dario Argento pour masquer son manque d'inspiration est bien le signe qu'il ne peut franchement compter sur son talent pour donner du souffle au CERCLE.
Obejctif-Cinema.com
Juste se demander ce que le verbe "réaliser" veut encore signifier. Il reste cette histoire finalement, toujours aussi efficace et originale, qui rehausse le genre du fantastique et le débarrasse de ses figures épuisées. Alors, oeuvre de copiste, ou oeuvre de faussaire, on sera sensible soit à ses quelques qualités, soit à sa malhonnêteté.