Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Voilà un film si vitaminé qu'on en oublie quelques longueurs et quelques patinages.
Le Monde
par Florence Colombani
La réalisation tend à s'éparpiller en effets tape-à-l'oeil qui se confondent avec l'esthétique télévisuelle que le film s'acharne pourtant à dénoncer. Ces défauts finissent par dépouiller le film de sa profondeur mais ne le rendent pas moins immédiatement efficace : Mon Idole garde jusqu'au bout une acidité de ton et un esprit ironique d'une vraie originalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Dommage que Canet, qui conte cette histoire avec un burlesque grinçant d'abord très percutant, épaississe à la longue le trait pour sombrer dans une lourde farce plus grand-guignolesque que noire et qui dès lors ne prend plus. Il reste un premier film tout de même solide et original - qui revendique, en prime, son amoralité ! - et, auprès du jeune réalisateur et de sa partenaire Diane Kruger, la performance impressionnante d'un formidable comédien, qui tient enfin ici un grand premier rôle à sa mesure, François Berléand.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Didier Péron
Mon Idole, à ce titre, surprend. Canet s'y révèle bien meilleur que d'habitude dans un rôle de jeune homme falot vivant sous l'emprise fascinée de son patron, l'ignoble Broustal, producteur de télévision, interprété par François Berléand.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Certains pourront rester perplexes devant le final presque surréel de ce film, proche dans l'esprit du SITCOM de François Ozon, mais Guillaume Canet a amplement réussi ses débuts de metteur en scène. C'est un réalisateur avec qui il faudra compter. Y'a pas photo !
Première
par Christophe Narbonne
La performance de François Berléand, éclatante, éclipse toutes les autres, celle de Canet en particulier dont le personnage trop falot aurait pu (dû) gagner en nuances. Comme quoi, surtout pourune première fois, il est difficile d'être au four et au moulin.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
La sincérité, l'énergie, l'envie de cinéma dont il témoigne (une trouvaille par plan) font que Guillaume Canet emporte le morceau. Haut la main.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Brazil
par Clémence Poniatowski
Restent la BO de Sinclair et un démarrage et un final sous forme de dessin animé délirant.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Pour ses premiers pas derrière la caméra, Canet fait donc preuve d'un regrettable excès de gourmandise, un pêché qui vaut au film de perdre peu à peu de sa cohésion et de sa pertinence.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si en passant à la réalisation, Canet réussit à distiller une atmosphère trouble, son style grinçant et clinquant ressemble pas mal à ce qu'il prétend dénoncer. L'acteur fera sans doute carrière comme réalisateur, mais il devra s'armer de modestie pour ne pas devenir un requin cynique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télérama
par Louis Guichard
Hélas, une fois passé le pic du délire, le film s'étire et s'épuise (une heure cinquante, c'est beaucoup), accuse son trop-plein d'intentions et, finalement, s'échoue dans un épilogue bavard entre deux chaises. C'est que Guillaume Canet a du mal à dézinguer son "idole" et a tendance à vouloir tout dire sur tout dès la première fois. Il a du talent, mais il gagnera à le contenir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Voilà un film si vitaminé qu'on en oublie quelques longueurs et quelques patinages.
Le Monde
La réalisation tend à s'éparpiller en effets tape-à-l'oeil qui se confondent avec l'esthétique télévisuelle que le film s'acharne pourtant à dénoncer. Ces défauts finissent par dépouiller le film de sa profondeur mais ne le rendent pas moins immédiatement efficace : Mon Idole garde jusqu'au bout une acidité de ton et un esprit ironique d'une vraie originalité.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Dommage que Canet, qui conte cette histoire avec un burlesque grinçant d'abord très percutant, épaississe à la longue le trait pour sombrer dans une lourde farce plus grand-guignolesque que noire et qui dès lors ne prend plus. Il reste un premier film tout de même solide et original - qui revendique, en prime, son amoralité ! - et, auprès du jeune réalisateur et de sa partenaire Diane Kruger, la performance impressionnante d'un formidable comédien, qui tient enfin ici un grand premier rôle à sa mesure, François Berléand.
Libération
Mon Idole, à ce titre, surprend. Canet s'y révèle bien meilleur que d'habitude dans un rôle de jeune homme falot vivant sous l'emprise fascinée de son patron, l'ignoble Broustal, producteur de télévision, interprété par François Berléand.
MCinéma.com
Certains pourront rester perplexes devant le final presque surréel de ce film, proche dans l'esprit du SITCOM de François Ozon, mais Guillaume Canet a amplement réussi ses débuts de metteur en scène. C'est un réalisateur avec qui il faudra compter. Y'a pas photo !
Première
La performance de François Berléand, éclatante, éclipse toutes les autres, celle de Canet en particulier dont le personnage trop falot aurait pu (dû) gagner en nuances. Comme quoi, surtout pourune première fois, il est difficile d'être au four et au moulin.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
La sincérité, l'énergie, l'envie de cinéma dont il témoigne (une trouvaille par plan) font que Guillaume Canet emporte le morceau. Haut la main.
Brazil
Restent la BO de Sinclair et un démarrage et un final sous forme de dessin animé délirant.
Chronic'art.com
Pour ses premiers pas derrière la caméra, Canet fait donc preuve d'un regrettable excès de gourmandise, un pêché qui vaut au film de perdre peu à peu de sa cohésion et de sa pertinence.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Si en passant à la réalisation, Canet réussit à distiller une atmosphère trouble, son style grinçant et clinquant ressemble pas mal à ce qu'il prétend dénoncer. L'acteur fera sans doute carrière comme réalisateur, mais il devra s'armer de modestie pour ne pas devenir un requin cynique.
Télérama
Hélas, une fois passé le pic du délire, le film s'étire et s'épuise (une heure cinquante, c'est beaucoup), accuse son trop-plein d'intentions et, finalement, s'échoue dans un épilogue bavard entre deux chaises. C'est que Guillaume Canet a du mal à dézinguer son "idole" et a tendance à vouloir tout dire sur tout dès la première fois. Il a du talent, mais il gagnera à le contenir.