Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Cette oeuvre d'effroi rentré, par son atmosphère nocturne, luminescente, et la force de son sujet (une reconstruction familiale), apporte la certitude que Shyamalan, plus que le brillant magnétiseur annoncé, est aussi un auteur dont les obsessions n'ont sûrement pas fini de nous hanter.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
Si on l'aime autant, et si on lui passe de bonnes grâces ses lourdeurs et ses facilités, c'est sans doute parce qu'il est le dernier cinéaste américain à oeuvrer dans le spectacle le plus majoritaire tout en restant un maître enchanteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Astucieux et classieux, SIGNES est un divertissement largement au-dessus de la moyenne des blockbusters habituels.
Mad Movies
par Stéphane Moïssakis
On attendait Shyamalan au tournant et contre toute attente, notre homme a fait évoluer son propos sans pour autant se renier. Du cinéma rare et précieux.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Première
par Gérard Delorme
On n'est pas obligé de croire en Dieu, mais il faut être aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas voir l'extraordinaire capacité de Shyamalan à organiser des images qui nous font croire en l'incroyable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
C'est un tempo poétique que les maîtres de Shyamalan -Spielberg et Hitchcock- n'ont jamais vraiment osé. C'est ainsi que Sixième Sens a surpris ; et Incassable a confirmé le talent du réalisateur. Signes semble refermer maintenant la trilogie. La même flèche empoisonnée aura traversé les trois histoires et révélé la vraie souffrance de ses héros : celle d'être incompris et de ne plus croire en rien.
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
Cette alliance opportune entre un réel talent de mise en scène et un savoir théorique sur le capital fonctionnel du cinéma américain contribue à la qualité générale du cinéma de Shyamalan.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Florence Colombani
L'atmosphère d'angoisse est maîtrisée avec une virtuosité impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Novaplanet.com
par Alex Masson
(...) Signes annonce un nouveau départ pour un cinéaste décidément plus insaisissable qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cine Libre
par François Doisnel
Enchaînés pendant presque deux heures au destin surnaturel de cette famille américaine trop typique, entraînés par une mise en scène classieuse et diablement efficace, il serait de mauvais ton de bouder le spectacle, malgré les quelques facilités inhérentes au genre inventé par Shyamalan.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Le cinéaste surdoué de 32 ans (...) exploite à fond nos peurs primales. Mais son discours par moments un peu trop manichéen.
Libération
par Philippe Azoury
On dit de lui qu'il est un prodige, que sa mise en scène serait de haute qualité. On croit s'étouffer : le film ne tient pas la distance. Une demi-heure pas mal, un peu étrange, et puis quoi ensuite ? Une croyance misérable en des effets éculés, des sursauts à tout-va, des coups appuyés, un man que total de caractère, pour un résultat de second rang.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cinopsis.com
par Olivier Guéret
On ne pourra qu'être pétri de regrets devant cette absence de rigueur. Connaissant les talents de l'homme, on était en droit d'attendre quelque chose de plus qu'un simple portrait d'une famille provinciale typiquement américaine. Un portrait qui par ailleurs anéantit l'universalité (si chère à son auteur) du propos.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par François Forestier
Inspiré par la légendaire émission de radio d'Orson Welles, "La Guerre des mondes", M. Night Shyamalan établit une atmosphère lourde avec virtuosité. Et gâche tout : l'histoire a été écrite avec des semelles de plomb.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) le scénario dérape vers le mysticisme, à la limite du ridicule. Le réalisateur devrait changer de recettes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Obejctif-Cinema.com
par Cyril Rota
Si les deux premiers films de M. Night Shyamalan (...) avaient réussi à faire tourner unanimement la tête a des millions de spectateurs, gageons que celui-ci ouvre les yeux sur la pauvreté créative de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Les quatre premières minutes sont prometteuses (...). Le reste du film est affligeant (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
Il y a du Graham Greene dans ce personnage de pasteur dépasteurisé, comme il y a beaucoup de morceaux "old age" (signes de l'Amérique rurale, ancienne, éternelle ?) dans le doux potage new age que vous nous servez, cher M. Night. Si ce n'est que Graham Greene aurait bouffé sa Remington plutôt que d'imaginer pareil épilogue. Il faut dire qu'il était anglais, et qu'il n'a pas connu le 11 septembre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Eric Quéméré
L'histoire ne tient pas debout, les dialogues sont indigents, les acteurs terre à terre. Décidément, rien ne vaut un bon vieux Hitchcock, copié, pillé, mais jamais égalé !
Chronic'art.com
Cette oeuvre d'effroi rentré, par son atmosphère nocturne, luminescente, et la force de son sujet (une reconstruction familiale), apporte la certitude que Shyamalan, plus que le brillant magnétiseur annoncé, est aussi un auteur dont les obsessions n'ont sûrement pas fini de nous hanter.
Les Inrockuptibles
Si on l'aime autant, et si on lui passe de bonnes grâces ses lourdeurs et ses facilités, c'est sans doute parce qu'il est le dernier cinéaste américain à oeuvrer dans le spectacle le plus majoritaire tout en restant un maître enchanteur.
MCinéma.com
Astucieux et classieux, SIGNES est un divertissement largement au-dessus de la moyenne des blockbusters habituels.
Mad Movies
On attendait Shyamalan au tournant et contre toute attente, notre homme a fait évoluer son propos sans pour autant se renier. Du cinéma rare et précieux.
Première
On n'est pas obligé de croire en Dieu, mais il faut être aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas voir l'extraordinaire capacité de Shyamalan à organiser des images qui nous font croire en l'incroyable.
Aden
C'est un tempo poétique que les maîtres de Shyamalan -Spielberg et Hitchcock- n'ont jamais vraiment osé. C'est ainsi que Sixième Sens a surpris ; et Incassable a confirmé le talent du réalisateur. Signes semble refermer maintenant la trilogie. La même flèche empoisonnée aura traversé les trois histoires et révélé la vraie souffrance de ses héros : celle d'être incompris et de ne plus croire en rien.
Cahiers du Cinéma
Cette alliance opportune entre un réel talent de mise en scène et un savoir théorique sur le capital fonctionnel du cinéma américain contribue à la qualité générale du cinéma de Shyamalan.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
L'atmosphère d'angoisse est maîtrisée avec une virtuosité impressionnante.
Novaplanet.com
(...) Signes annonce un nouveau départ pour un cinéaste décidément plus insaisissable qu'il n'y paraît.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cine Libre
Enchaînés pendant presque deux heures au destin surnaturel de cette famille américaine trop typique, entraînés par une mise en scène classieuse et diablement efficace, il serait de mauvais ton de bouder le spectacle, malgré les quelques facilités inhérentes au genre inventé par Shyamalan.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Le cinéaste surdoué de 32 ans (...) exploite à fond nos peurs primales. Mais son discours par moments un peu trop manichéen.
Libération
On dit de lui qu'il est un prodige, que sa mise en scène serait de haute qualité. On croit s'étouffer : le film ne tient pas la distance. Une demi-heure pas mal, un peu étrange, et puis quoi ensuite ? Une croyance misérable en des effets éculés, des sursauts à tout-va, des coups appuyés, un man que total de caractère, pour un résultat de second rang.
Cinopsis.com
On ne pourra qu'être pétri de regrets devant cette absence de rigueur. Connaissant les talents de l'homme, on était en droit d'attendre quelque chose de plus qu'un simple portrait d'une famille provinciale typiquement américaine. Un portrait qui par ailleurs anéantit l'universalité (si chère à son auteur) du propos.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Inspiré par la légendaire émission de radio d'Orson Welles, "La Guerre des mondes", M. Night Shyamalan établit une atmosphère lourde avec virtuosité. Et gâche tout : l'histoire a été écrite avec des semelles de plomb.
Le Parisien
(...) le scénario dérape vers le mysticisme, à la limite du ridicule. Le réalisateur devrait changer de recettes.
Obejctif-Cinema.com
Si les deux premiers films de M. Night Shyamalan (...) avaient réussi à faire tourner unanimement la tête a des millions de spectateurs, gageons que celui-ci ouvre les yeux sur la pauvreté créative de son auteur.
TéléCinéObs
Les quatre premières minutes sont prometteuses (...). Le reste du film est affligeant (...).
Télérama
Il y a du Graham Greene dans ce personnage de pasteur dépasteurisé, comme il y a beaucoup de morceaux "old age" (signes de l'Amérique rurale, ancienne, éternelle ?) dans le doux potage new age que vous nous servez, cher M. Night. Si ce n'est que Graham Greene aurait bouffé sa Remington plutôt que d'imaginer pareil épilogue. Il faut dire qu'il était anglais, et qu'il n'a pas connu le 11 septembre.
Zurban
L'histoire ne tient pas debout, les dialogues sont indigents, les acteurs terre à terre. Décidément, rien ne vaut un bon vieux Hitchcock, copié, pillé, mais jamais égalé !