Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Le réalisateur de Quatre mariages et un enterrement, avec un impeccable académisme, sert ce petit sujet " révolutionnaire " avec la facile distance qui nous en sépare (cinquante ans de perspectives, ça fait oublier le quotidien). Certes, ça peut énerver. Mais il y a Julia Roberts.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(...) le Sourire de Mona Lisa a une décennie de retard (...) Un décalage lourd de conséquences (...) Reste au moins à raconter proprement une histoire et le bon faiseur qu'est Newell s'exécute, son petit kit de comédie dramatique hollywoodienne sous le bras.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant et Gwen Douguet
Le film se laisse regarder sans déplaisir, mais il est nettement plus conventionnel que son héroïne. La mise en scène ne fait pas de vagues, coulant avec une élégance un peu insipide, surtout préoccupée de retrouver l'atmosphère des années 50.
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Camille Brun
MONA LISA ne parvient jamais à provoquer quelque émotion que ce soit. Le long métrage est utile à une chose : il est un beau catalogue des futures actrices de talents d'Hollywood.
Positif
par François Bégaudeau
Mis en scène avec ce qu'il faut de mièvrerie gentille par Mike Newell (...) Le Sourire de Mona Lisa ne quitte jamais les sentiers balisés de la rébellion bon genre (...) Le tout est photographié dans de jolis tons chamarrés, et il y a même un personnage bien écrit, celui de Maggie Gyllenhaal (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Mathieu Caratier
(...) Le Sourire de Mona Lisa ne s'embarrase d'aucune originalité (...) Un film à voir donc pour ses actrices, uniformément formidables, et à consommer comme un bon gros Big Mac.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
(...) privé de rire et d'un bon scénario (Quatre mariages et un enterrement), Newell n'est qu'un pompier.
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Julia Roberts (...) traverse le film sans jamais y laisser sa marque. Les efforts de ses jeunes collègues ont pour effet collatéral de souligner les faiblesses constitutives de ce pauvre Sourire : scénario timoré qui cherche à plaire à tout le monde et réalisation compassée, pourtant signée par Mike Newell.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Les dialogues entre des personnages bavards sont très superficiels et servent surtout une multitude de récits croisés à la fois démonstratifs et des plus prévisibles. Le Sourire de Mona Lisa voile une mélancolie, partagée par le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Sur le fond, pas de problème. Mais était-il indispensable de plagier à ce point Le cercle des poètes disparus ? D'enfiler les clichés avec une telle constance ? Et de confier à Julia Roberts le rôle sans surprise d'une institutrice libérale flanquant la pagaille dans une école de filles ?
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
La star, en pilote automatique d'un bout à l'autre, sait qu'elle ne craint pas grand-chose de son challenger Kirsten Dunst, plus investie mais affligée d'un rôle cliché de fausse peste. Personne n'y gagne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jennifer Homère
Si à l'origine un tel sujet aurait pu se révéler intéressant à explorer, le traitement que lui réserve Mike Newell a un goût de réchauffé et relève surtout de la caricature moralisatrice.
Aden
Le réalisateur de Quatre mariages et un enterrement, avec un impeccable académisme, sert ce petit sujet " révolutionnaire " avec la facile distance qui nous en sépare (cinquante ans de perspectives, ça fait oublier le quotidien). Certes, ça peut énerver. Mais il y a Julia Roberts.
Chronic'art.com
(...) le Sourire de Mona Lisa a une décennie de retard (...) Un décalage lourd de conséquences (...) Reste au moins à raconter proprement une histoire et le bon faiseur qu'est Newell s'exécute, son petit kit de comédie dramatique hollywoodienne sous le bras.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Le film se laisse regarder sans déplaisir, mais il est nettement plus conventionnel que son héroïne. La mise en scène ne fait pas de vagues, coulant avec une élégance un peu insipide, surtout préoccupée de retrouver l'atmosphère des années 50.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
MONA LISA ne parvient jamais à provoquer quelque émotion que ce soit. Le long métrage est utile à une chose : il est un beau catalogue des futures actrices de talents d'Hollywood.
Positif
Mis en scène avec ce qu'il faut de mièvrerie gentille par Mike Newell (...) Le Sourire de Mona Lisa ne quitte jamais les sentiers balisés de la rébellion bon genre (...) Le tout est photographié dans de jolis tons chamarrés, et il y a même un personnage bien écrit, celui de Maggie Gyllenhaal (...)
Première
(...) Le Sourire de Mona Lisa ne s'embarrase d'aucune originalité (...) Un film à voir donc pour ses actrices, uniformément formidables, et à consommer comme un bon gros Big Mac.
Cahiers du Cinéma
(...) privé de rire et d'un bon scénario (Quatre mariages et un enterrement), Newell n'est qu'un pompier.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Julia Roberts (...) traverse le film sans jamais y laisser sa marque. Les efforts de ses jeunes collègues ont pour effet collatéral de souligner les faiblesses constitutives de ce pauvre Sourire : scénario timoré qui cherche à plaire à tout le monde et réalisation compassée, pourtant signée par Mike Newell.
Les Inrockuptibles
Les dialogues entre des personnages bavards sont très superficiels et servent surtout une multitude de récits croisés à la fois démonstratifs et des plus prévisibles. Le Sourire de Mona Lisa voile une mélancolie, partagée par le spectateur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Sur le fond, pas de problème. Mais était-il indispensable de plagier à ce point Le cercle des poètes disparus ? D'enfiler les clichés avec une telle constance ? Et de confier à Julia Roberts le rôle sans surprise d'une institutrice libérale flanquant la pagaille dans une école de filles ?
Télérama
La star, en pilote automatique d'un bout à l'autre, sait qu'elle ne craint pas grand-chose de son challenger Kirsten Dunst, plus investie mais affligée d'un rôle cliché de fausse peste. Personne n'y gagne.
aVoir-aLire.com
Si à l'origine un tel sujet aurait pu se révéler intéressant à explorer, le traitement que lui réserve Mike Newell a un goût de réchauffé et relève surtout de la caricature moralisatrice.