Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
Loin de l'oeuvre singulière attendu, ce conservatisme permet au Dragon rouge de Brett Ratner et De Laurentiis de clore avec une certaine élégance ce triptyque tout entier voué à la gloire d'Hannibal Lecter.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Voilà un bon thriller psychologique, impeccablement réalisé par Brett Ratner, avec un zeste d'humour noir, mais dans lequel Hannibal, en retrait de l'action principale, n'a pas grand chose à faire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cine Libre
par Marielle Gaudry
En dehors du cadre de la trilogie, ce long métrage de Brett Ratner a pourtant les qualités nécessaires pour fonctionner. Une intrigue policière comme on a l'habitude d'en voir dans les productions hollywoodiennes.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquy
Quoi qu'il en soit, que cet opus ne fasse ou pas un carton au box office, une chose est sûre, il serait grand temps de penser à ranger dans sa boite le mythe d'Hannibal avant qu'il ne finisse par nous manger.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
L'intérêt de cette nouvelle version, relativement passe-partout, c'est le tueur fou Dolarhyde, incarné par Ralph Fiennes, qui distille une ambiguïté assez subtile avant que les effets spéciaux ne l'éclipsent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Mission donc à moitié réussie. On reste un peu sur sa faim.
Libération
par Bruno Bayon
Réalisation réduite à l'outillage luxueux d'une narration riche en trucs de script, leurres lyncho-finchiens, types (flic saturnien, serial killer civique, journaleux fouille-merde héroïque), ce thriller sous le signe gothique de William Blake génère une tension recherchée qui, à y regarder de près, recycle Se7en/8 mm, mais avec tant de goût et d'oeil qu'on oublie la cuisine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
L'enquête menée par le héros est parfois bâclée au profit de la dynamique du film. Le flic a beau être un génie, on a un peu de mal à croire à ses déductions. Mais DRAGON ROUGE reste un divertissement efficace et bien réglé. Aussi goûteux qu'une bonne cervelle !
Novaplanet.com
par Alex Masson
Le sixième sens est un bien meilleur film que Dragon rouge, ce qui n'empêche pas ce dernier d'avoir ses propres qualités, celle d'un honnête thriller ayant comme pire adversité le fait que cette histoire a déjà été racontée, en mieux.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Ouirock.com
par Sarah Beaufol
Le réalisateur Brett Ratner n'a pas échappé au danger des trilogies, celui de refaire du vieux avec du neuf. DRAGON ROUGE est donc un polar déjà vu, mais dont les ficelles solides marchent encore.
Première
par Gérard Delorme
Malgré la profusion d'éléments positifs, pourquoi sort-on frustré ? Le film donne effectivement tout ce qu'on attend, sauf l'essentiel : l'imprévu et la surprise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Qui n'a plus en bouche la précédente adaptation du roman Dragon rouge, de Thomas Harris (...), digérera sans doute ce polar aux péripéties modestement condimentées, ni vraiment fast-food, ni grande cuisine. Un par un, les acteurs-ingrédients (...) donnent du bouquet ; ensemble, la sauce est un peu figée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Hervé Deplasse
Last but not least, les excellents acteurs que sont Hopkins ou Norton (American History X), Keitel et Fiennes (...) se montrent soit insupportablement cabotins, soit désespérément nuls.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
On n'ose imaginer quel film cela aurait été si les scénaristes avaient eu la bonne idée de développer le seul personnage véritablement passionnant du film : le journaliste véreux et ordurier savoureusement interprété par Philip Seymour Hoffman.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Avec Ralph Fiennes, Emma Watson entreprend de jouer un autre film dans le film, où les acteurs font leur métier, suscitent l'apparition de personnages, font croire à des sentiments. Sans doute Brett Ratner était-il en conférence avec le responsable des effets spéciaux pendant ces moments-là. Ce sont les seuls dignes d'intérêt d'un film qui réussit à rendre le cannibalisme insipide.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Rafik Djoumi
(...) où se situe le problème ? Tout simplement dans sa mise en scène. Son total manque de point de vue. Son incapacité à nous transmettre l'enjeu derrière l'histoire. Par conséquent, son incapacité à nous impliquer avec notre accord ou à notre insu, au-delà de sa bête intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Zurban
par Charlotte Lipinska
La mise en scène de ce troisième opus est loin de l'efficacité du Silence: aucun mystère, aucune angoisse, une intrigue anticipée par la musique assourdissante et désamorcée par des champs-contre-champs faciles, quelques visions gore, une louche de traumatisme enfantin (merci Psychose !). Dommage !
Fluctuat.net
Loin de l'oeuvre singulière attendu, ce conservatisme permet au Dragon rouge de Brett Ratner et De Laurentiis de clore avec une certaine élégance ce triptyque tout entier voué à la gloire d'Hannibal Lecter.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Voilà un bon thriller psychologique, impeccablement réalisé par Brett Ratner, avec un zeste d'humour noir, mais dans lequel Hannibal, en retrait de l'action principale, n'a pas grand chose à faire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cine Libre
En dehors du cadre de la trilogie, ce long métrage de Brett Ratner a pourtant les qualités nécessaires pour fonctionner. Une intrigue policière comme on a l'habitude d'en voir dans les productions hollywoodiennes.
Cinopsis.com
Quoi qu'il en soit, que cet opus ne fasse ou pas un carton au box office, une chose est sûre, il serait grand temps de penser à ranger dans sa boite le mythe d'Hannibal avant qu'il ne finisse par nous manger.
L'Humanité
L'intérêt de cette nouvelle version, relativement passe-partout, c'est le tueur fou Dolarhyde, incarné par Ralph Fiennes, qui distille une ambiguïté assez subtile avant que les effets spéciaux ne l'éclipsent.
Le Figaroscope
Mission donc à moitié réussie. On reste un peu sur sa faim.
Libération
Réalisation réduite à l'outillage luxueux d'une narration riche en trucs de script, leurres lyncho-finchiens, types (flic saturnien, serial killer civique, journaleux fouille-merde héroïque), ce thriller sous le signe gothique de William Blake génère une tension recherchée qui, à y regarder de près, recycle Se7en/8 mm, mais avec tant de goût et d'oeil qu'on oublie la cuisine.
MCinéma.com
L'enquête menée par le héros est parfois bâclée au profit de la dynamique du film. Le flic a beau être un génie, on a un peu de mal à croire à ses déductions. Mais DRAGON ROUGE reste un divertissement efficace et bien réglé. Aussi goûteux qu'une bonne cervelle !
Novaplanet.com
Le sixième sens est un bien meilleur film que Dragon rouge, ce qui n'empêche pas ce dernier d'avoir ses propres qualités, celle d'un honnête thriller ayant comme pire adversité le fait que cette histoire a déjà été racontée, en mieux.
Ouirock.com
Le réalisateur Brett Ratner n'a pas échappé au danger des trilogies, celui de refaire du vieux avec du neuf. DRAGON ROUGE est donc un polar déjà vu, mais dont les ficelles solides marchent encore.
Première
Malgré la profusion d'éléments positifs, pourquoi sort-on frustré ? Le film donne effectivement tout ce qu'on attend, sauf l'essentiel : l'imprévu et la surprise.
Télérama
Qui n'a plus en bouche la précédente adaptation du roman Dragon rouge, de Thomas Harris (...), digérera sans doute ce polar aux péripéties modestement condimentées, ni vraiment fast-food, ni grande cuisine. Un par un, les acteurs-ingrédients (...) donnent du bouquet ; ensemble, la sauce est un peu figée.
Brazil
Last but not least, les excellents acteurs que sont Hopkins ou Norton (American History X), Keitel et Fiennes (...) se montrent soit insupportablement cabotins, soit désespérément nuls.
Cahiers du Cinéma
On n'ose imaginer quel film cela aurait été si les scénaristes avaient eu la bonne idée de développer le seul personnage véritablement passionnant du film : le journaliste véreux et ordurier savoureusement interprété par Philip Seymour Hoffman.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Avec Ralph Fiennes, Emma Watson entreprend de jouer un autre film dans le film, où les acteurs font leur métier, suscitent l'apparition de personnages, font croire à des sentiments. Sans doute Brett Ratner était-il en conférence avec le responsable des effets spéciaux pendant ces moments-là. Ce sont les seuls dignes d'intérêt d'un film qui réussit à rendre le cannibalisme insipide.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Mad Movies
(...) où se situe le problème ? Tout simplement dans sa mise en scène. Son total manque de point de vue. Son incapacité à nous transmettre l'enjeu derrière l'histoire. Par conséquent, son incapacité à nous impliquer avec notre accord ou à notre insu, au-delà de sa bête intrigue.
Zurban
La mise en scène de ce troisième opus est loin de l'efficacité du Silence: aucun mystère, aucune angoisse, une intrigue anticipée par la musique assourdissante et désamorcée par des champs-contre-champs faciles, quelques visions gore, une louche de traumatisme enfantin (merci Psychose !). Dommage !