Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
(...) à condition de goûter les joies de la manipulation, A la folie... pas du tout est la promesse d'un pur plaisir de cinoche. Ne le boudez pas! La réalisatrice et ses comédiens (Audrey Tautou et Samuel Le Bihan mais aussi une pléiade d'excellents seconds rôles) nous ont concocté un film malin, ludique et très flippant... Vous voilà prévenus!
L'Obs
par Pascal Mérigeau
le scénario est assez habilement bricolé (...), c'est un premier film, produit par un des meilleurs producteurs français, et c'est un film qui fait peur, très peur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Véronique Le Bris
La meilleure surprise reste toutefois la toute jeune réalisatrice, Laetitia Colombani. A 26 ans, elle signe un premier long-métrage à la construction audacieuse parfaitement réussie. Elle parvient même à tenir son délicat sujet (la folie amoureuse) jusqu'au bout, en maîtrisant aussi bien la structure de son histoire que ses comédiens (dont Isabelle Carré et Sophie Guillemin).
Cinopsis.com
par Olivier Guéret
A LA FOLIE... PAS DU TOUT est un petit film de série certes maîtrisé mais complètement enchaîné dans ses propres rouages scénaristiques et laissant très peu de place à l'émotion. Juste quelques petites erreurs de jeunesses quoi !
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Ce premier film de Laetitia Colombani repose sur un renversement de situation astucieusement élaboré. Presque trop : à cette mécanique bien huilée, il manque un peu d'humanité et de générosité. Fabrication raide, regard sec. La mignonne Audrey Tautou ressemble à un clone d'Audrey Tautou. Heureusement, Samuel Le Bihan est plus convaincant.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
Cette première réalisation désarçonnera peut-être les fans de Jeunet en assumant un aspect pathologique nié par Le Fabuleux Destin...
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
La comédie romantique à la limite du supportable tourne alors au thriller plutôt bien ficelé, toutes proportions gardées. Cette astuce banale a au moins le mérite de rendre le personnage de Tautou moins lisse que prévu.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Scénario bien ficelé, mise en scène moins convaincante.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Laetitia Colombani (...) s'est laissé pieger par ce procédé un peu mécanique : acharnée à recoller les morceaux du puzzle, elle en oublie de creuser ses personnages et de donner chair à son récit. C'est dans sa troisième partie (...) que le film trouve son originalité et sa violence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
le premier long métrage de la jeune Lætitia Colombani tient de la dragée au poivre : moitié sucré, moitié piquant. Plutôt original. Enfin, jusque là, nous parlons du projet. Question mise en images, ce n'est plus Stephen King mais Massacre à la tronçonneuse. (...) En tête ce très mauvais guignolshow, Audrey Tautou nous fait donc son Amélie Poulain, en plus sucré (c'est possible!). Chaque sourire, chaque oeil de biche, chaque petit son aigu sortant de sa jolie voix apparaît alors comme une minauderie insupportable. Libérez Audrey Tautou de sa cage à poulbot ! Laissez la devenir actrice !
Cine Libre
par David Perrault
(...) la jeune réalisatrice a le plus grand mal à insuffler la moindre humanité à sa fiction. Et ses idées, aussi ingénieuses sont-elles, ne dépassent jamais leur statut d'idées, justement. Le scénario ne se fait jamais chaire, et rend finalement l'entreprise assez artificielle. Ce qui aurait pu déboucher sur un thriller haletant ou – quitte à être artificiel - une réflexion autour des faux-semblants et de la mise en scène, ne se résume alors qu'à un simple film à trucs.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) la construction (du film) laisse à désirer. Ce n'est pourtant pas la faute des acteurs, notamment d'Isabelle Carré qui, dès qu'elle apparaît, apporte un peu de crédibilité à cette affaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Mais la mayonnaise ne prend pas. L'ambiguïté du scénario à deux faces est mal exploitée, se fait artifice cousu de fil blanc. On se prend, surtout, à imaginer la même histoire sans Amélie, pardon, Audrey. Peut-être y croirait-on davantage ?
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
La mise en scène est à l'avenant, totalement toc et non maîtrisée. Le détail qui tue, ici, c'est la déferlante de scènes au ralenti : comme des 45 tours bloqués sur le mode 33 tours, elles ont la propriété de transformer les joues de Samuel Le Bihan en gelée à la framboise. Le ralenti est un art délicat.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
MCinéma.com
(...) à condition de goûter les joies de la manipulation, A la folie... pas du tout est la promesse d'un pur plaisir de cinoche. Ne le boudez pas! La réalisatrice et ses comédiens (Audrey Tautou et Samuel Le Bihan mais aussi une pléiade d'excellents seconds rôles) nous ont concocté un film malin, ludique et très flippant... Vous voilà prévenus!
L'Obs
le scénario est assez habilement bricolé (...), c'est un premier film, produit par un des meilleurs producteurs français, et c'est un film qui fait peur, très peur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
La meilleure surprise reste toutefois la toute jeune réalisatrice, Laetitia Colombani. A 26 ans, elle signe un premier long-métrage à la construction audacieuse parfaitement réussie. Elle parvient même à tenir son délicat sujet (la folie amoureuse) jusqu'au bout, en maîtrisant aussi bien la structure de son histoire que ses comédiens (dont Isabelle Carré et Sophie Guillemin).
Cinopsis.com
A LA FOLIE... PAS DU TOUT est un petit film de série certes maîtrisé mais complètement enchaîné dans ses propres rouages scénaristiques et laissant très peu de place à l'émotion. Juste quelques petites erreurs de jeunesses quoi !
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Ce premier film de Laetitia Colombani repose sur un renversement de situation astucieusement élaboré. Presque trop : à cette mécanique bien huilée, il manque un peu d'humanité et de générosité. Fabrication raide, regard sec. La mignonne Audrey Tautou ressemble à un clone d'Audrey Tautou. Heureusement, Samuel Le Bihan est plus convaincant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Cette première réalisation désarçonnera peut-être les fans de Jeunet en assumant un aspect pathologique nié par Le Fabuleux Destin...
Première
La comédie romantique à la limite du supportable tourne alors au thriller plutôt bien ficelé, toutes proportions gardées. Cette astuce banale a au moins le mérite de rendre le personnage de Tautou moins lisse que prévu.
TéléCinéObs
Scénario bien ficelé, mise en scène moins convaincante.
Télérama
Laetitia Colombani (...) s'est laissé pieger par ce procédé un peu mécanique : acharnée à recoller les morceaux du puzzle, elle en oublie de creuser ses personnages et de donner chair à son récit. C'est dans sa troisième partie (...) que le film trouve son originalité et sa violence.
Aden
le premier long métrage de la jeune Lætitia Colombani tient de la dragée au poivre : moitié sucré, moitié piquant. Plutôt original. Enfin, jusque là, nous parlons du projet. Question mise en images, ce n'est plus Stephen King mais Massacre à la tronçonneuse. (...) En tête ce très mauvais guignolshow, Audrey Tautou nous fait donc son Amélie Poulain, en plus sucré (c'est possible!). Chaque sourire, chaque oeil de biche, chaque petit son aigu sortant de sa jolie voix apparaît alors comme une minauderie insupportable. Libérez Audrey Tautou de sa cage à poulbot ! Laissez la devenir actrice !
Cine Libre
(...) la jeune réalisatrice a le plus grand mal à insuffler la moindre humanité à sa fiction. Et ses idées, aussi ingénieuses sont-elles, ne dépassent jamais leur statut d'idées, justement. Le scénario ne se fait jamais chaire, et rend finalement l'entreprise assez artificielle. Ce qui aurait pu déboucher sur un thriller haletant ou – quitte à être artificiel - une réflexion autour des faux-semblants et de la mise en scène, ne se résume alors qu'à un simple film à trucs.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
(...) la construction (du film) laisse à désirer. Ce n'est pourtant pas la faute des acteurs, notamment d'Isabelle Carré qui, dès qu'elle apparaît, apporte un peu de crédibilité à cette affaire.
Les Echos
Mais la mayonnaise ne prend pas. L'ambiguïté du scénario à deux faces est mal exploitée, se fait artifice cousu de fil blanc. On se prend, surtout, à imaginer la même histoire sans Amélie, pardon, Audrey. Peut-être y croirait-on davantage ?
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
La mise en scène est à l'avenant, totalement toc et non maîtrisée. Le détail qui tue, ici, c'est la déferlante de scènes au ralenti : comme des 45 tours bloqués sur le mode 33 tours, elles ont la propriété de transformer les joues de Samuel Le Bihan en gelée à la framboise. Le ralenti est un art délicat.