Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Cinéastes
par Hendy Bicaise
Plongeant dans les exactions étranges d'un peuple coréen meurtri et ici assez insondable, KIM Ki-Duk n'en réussit pas moins à parler de tous, de tout homme, avec une poigne et une émotion que bien peu de cinéastes aujourd'hui peuvent dessiner, faisant d'Adresse Inconnue un film profondément universel.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
A travers ces corps prostrés, mutilés, violentés, Adresse Inconnue dresse le portrait sanglant d'une Corée encore loin d'avoir cicatrisé la plaie béante de sa division. L'hyper-violence chez Kim Ki-duk n'a rien d'un outil de genre, elle est, en lieu et place de dialogues, l'unique incarnation possible du rapport humain, son horizon quotidien. Fiction et témoignage, Adresse Inconnue est l'instantané bouleversant d'une douleur, celle qui relie l'Histoire au présent.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
par Marco Ramius
Soucieux d'explorer ses thèmes de prédilections (...), Kim Ki-Duk fouille dans nos tripes et réussit à nous marquer de manière indélébile. Nous ne saurons trop vous conseiller de prendre le risque d'être bouleversé; ce voyage cinématographique vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Une oeuvre violente, hantée par la mort et les les instincts délétères. Du grand Kim Ki-duk.
Le Figaroscope
par Françoise MAUPIN
Dans ce film, la violence est sans fin, chaque agression en entraînant une autre. On peut reprocher à l'auteur cette fascination pour la cruauté, et certaines images sont insupportables. Mais il y a dans cette oeuvre une vraie mise en scène et une réelle poésie.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Adresse inconnue semble confirmer ce qui a fait à la fois la réputation de son auteur et ce qui semble, plus généralement, représenter une certaine tendance du cinéma coréen aujourd'hui : une trivialité, un goût pour la violence et le sordide, et plus généralement une sorte de vision pessimiste qui n'imagine qu'un déroulement proprement catastrophique des événements.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Le film, dans sa malicieuse perversité, fait preuve d'un véritable sens de l'incongruité. Mais très vite son inventivité, trop démonstrative, trop systématique, se retourne contre lui et ses personnages qui, à force d'épate et de surenchère, perdent toute consistance et deviennent quasi interchangeables. Si Adresse inconnue apparait comme le film le plus intéressant de Kim Ki-Duk, ce n'est donc pas sans réserve.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Avec aussi peu d'égards pour le spectateur que pour ses personnages, qu'il martyrise de bout en bout, le réalisateur assène sans faiblir son terrible constat d'une " violence transmise de génération en génération, particulière à la Corée. " (...) la mise en scène, glaciale mais racée, exacerbe la douleur. Alors tant pis si Kim Ki-duk nous la livre parfois avec un peu trop d'exagération, sa démonstration est d'une intensité formidable. C'est bien là l'essentiel.
Paris Match
par Alain Spira
les acteurs sont filmés avec un soin entomologique, les images sont fortes, parfois à la limite du supportable. Telle est la patte de ce cinéaste, dont l'adresse, elle, ne nous est pas inconnue.
Première
par Gérard Delorme
Kim Ki-Duk fait souvent penser à Kitano, avec qui il partage le goût de la violence sèche et exagérée, ainsi qu'un style pcitural très fort et naïf. Malgré quelques défauts évidents, Adresse inconnue est racheté par ses éclairs de poésie, comme dans ce moment significatif et bizarrement comique où trois amis éborgnés se retrouvent. Sans jeu de mots, ça vaut le coup d'oeil.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Jean Roy
on ne peut être insensible à la force du propos. (...) Serait-on sous l'empire du christianisme, comme chez Mel Gibson, qu'on constaterait qu'il n'y a ici que reniements, crachats, flagellations, montées au calvaire et crucifixions, mais sans l'once d'une rédemption à l'horizon. Ici, le pire est toujours sûr.
Ouest France
par La rédaction
Des images dures, l'abattage des chiens notamment, mais une radiographie sans concession de la société coréenne, sur laquelle pèse le poids de l'Amérique.
Positif
par Pierre Eisenreich
N'hésitant pas à recourir à l'outrance des agressions corporelles, le cinéaste pose là les limites de son art. De quelle humanité traite-il ? Est-ce une vision définitivement noire et barbare de l'homme, ou bien est-ce le point de vue d'une critique politique de la Corée du Sud ? Les deux regards s'avèrent valables, mais les moyens poétiques et symboliques utilisés tendent à faire l'amalgame des deux.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Frédéric Strauss
L'accumulation de bizarreries saignantes finit par nuire à la profondeur des personnages, et à celle du message politique dénonçant les méfaits d'une militarisation forcée de la société.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Plus les films passent et plus Printemps, été, automne, hivers et printemps apparaît comme l'Eden dans la noirceur ambiante de l'eouvre de Kim Ki-Duk. Un film et un univers à méditer.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
En dépit de fondations branlantes et d'incontestables maladresses, cette chronique polyphonique, à la fois tordue et pessimiste, ne manque ni d'intensité ni de pertinence. Si Kim Ki-duk a signé des films plus substantiels et maîtrisés par la suite (...), on lui sait gré de ne pas rendre ses personnages plus aimables qu'ils ne sont.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
on est mille fois plus ému à la vision frontale de Jet Li en victime débile de la brutalité humaine qu'à celle de tous ces personnages dont la rudesse et l'âpreté résistent mal aux artifices laborieux d'une intrigue complètement artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Isabelle POTEL
Le film regorge d'annotations et d'enchaînements brillants, mais ses motifs (...) finissent par le ronger. Il se met à tourner en rond comme un chien enragé, il n'y a plus qu'à l'abattre.
Cinéastes
Plongeant dans les exactions étranges d'un peuple coréen meurtri et ici assez insondable, KIM Ki-Duk n'en réussit pas moins à parler de tous, de tout homme, avec une poigne et une émotion que bien peu de cinéastes aujourd'hui peuvent dessiner, faisant d'Adresse Inconnue un film profondément universel.
Fluctuat.net
A travers ces corps prostrés, mutilés, violentés, Adresse Inconnue dresse le portrait sanglant d'une Corée encore loin d'avoir cicatrisé la plaie béante de sa division. L'hyper-violence chez Kim Ki-duk n'a rien d'un outil de genre, elle est, en lieu et place de dialogues, l'unique incarnation possible du rapport humain, son horizon quotidien. Fiction et témoignage, Adresse Inconnue est l'instantané bouleversant d'une douleur, celle qui relie l'Histoire au présent.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
Soucieux d'explorer ses thèmes de prédilections (...), Kim Ki-Duk fouille dans nos tripes et réussit à nous marquer de manière indélébile. Nous ne saurons trop vous conseiller de prendre le risque d'être bouleversé; ce voyage cinématographique vaut le détour.
TéléCinéObs
Une oeuvre violente, hantée par la mort et les les instincts délétères. Du grand Kim Ki-duk.
Le Figaroscope
Dans ce film, la violence est sans fin, chaque agression en entraînant une autre. On peut reprocher à l'auteur cette fascination pour la cruauté, et certaines images sont insupportables. Mais il y a dans cette oeuvre une vraie mise en scène et une réelle poésie.
Le Monde
Adresse inconnue semble confirmer ce qui a fait à la fois la réputation de son auteur et ce qui semble, plus généralement, représenter une certaine tendance du cinéma coréen aujourd'hui : une trivialité, un goût pour la violence et le sordide, et plus généralement une sorte de vision pessimiste qui n'imagine qu'un déroulement proprement catastrophique des événements.
Les Inrockuptibles
Le film, dans sa malicieuse perversité, fait preuve d'un véritable sens de l'incongruité. Mais très vite son inventivité, trop démonstrative, trop systématique, se retourne contre lui et ses personnages qui, à force d'épate et de surenchère, perdent toute consistance et deviennent quasi interchangeables. Si Adresse inconnue apparait comme le film le plus intéressant de Kim Ki-Duk, ce n'est donc pas sans réserve.
MCinéma.com
Avec aussi peu d'égards pour le spectateur que pour ses personnages, qu'il martyrise de bout en bout, le réalisateur assène sans faiblir son terrible constat d'une " violence transmise de génération en génération, particulière à la Corée. " (...) la mise en scène, glaciale mais racée, exacerbe la douleur. Alors tant pis si Kim Ki-duk nous la livre parfois avec un peu trop d'exagération, sa démonstration est d'une intensité formidable. C'est bien là l'essentiel.
Paris Match
les acteurs sont filmés avec un soin entomologique, les images sont fortes, parfois à la limite du supportable. Telle est la patte de ce cinéaste, dont l'adresse, elle, ne nous est pas inconnue.
Première
Kim Ki-Duk fait souvent penser à Kitano, avec qui il partage le goût de la violence sèche et exagérée, ainsi qu'un style pcitural très fort et naïf. Malgré quelques défauts évidents, Adresse inconnue est racheté par ses éclairs de poésie, comme dans ce moment significatif et bizarrement comique où trois amis éborgnés se retrouvent. Sans jeu de mots, ça vaut le coup d'oeil.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
on ne peut être insensible à la force du propos. (...) Serait-on sous l'empire du christianisme, comme chez Mel Gibson, qu'on constaterait qu'il n'y a ici que reniements, crachats, flagellations, montées au calvaire et crucifixions, mais sans l'once d'une rédemption à l'horizon. Ici, le pire est toujours sûr.
Ouest France
Des images dures, l'abattage des chiens notamment, mais une radiographie sans concession de la société coréenne, sur laquelle pèse le poids de l'Amérique.
Positif
N'hésitant pas à recourir à l'outrance des agressions corporelles, le cinéaste pose là les limites de son art. De quelle humanité traite-il ? Est-ce une vision définitivement noire et barbare de l'homme, ou bien est-ce le point de vue d'une critique politique de la Corée du Sud ? Les deux regards s'avèrent valables, mais les moyens poétiques et symboliques utilisés tendent à faire l'amalgame des deux.
Télérama
L'accumulation de bizarreries saignantes finit par nuire à la profondeur des personnages, et à celle du message politique dénonçant les méfaits d'une militarisation forcée de la société.
Zurban
Plus les films passent et plus Printemps, été, automne, hivers et printemps apparaît comme l'Eden dans la noirceur ambiante de l'eouvre de Kim Ki-Duk. Un film et un univers à méditer.
aVoir-aLire.com
En dépit de fondations branlantes et d'incontestables maladresses, cette chronique polyphonique, à la fois tordue et pessimiste, ne manque ni d'intensité ni de pertinence. Si Kim Ki-duk a signé des films plus substantiels et maîtrisés par la suite (...), on lui sait gré de ne pas rendre ses personnages plus aimables qu'ils ne sont.
Chronic'art.com
on est mille fois plus ému à la vision frontale de Jet Li en victime débile de la brutalité humaine qu'à celle de tous ces personnages dont la rudesse et l'âpreté résistent mal aux artifices laborieux d'une intrigue complètement artificielle.
Libération
Le film regorge d'annotations et d'enchaînements brillants, mais ses motifs (...) finissent par le ronger. Il se met à tourner en rond comme un chien enragé, il n'y a plus qu'à l'abattre.