Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Chronic'art.com
par Laurent Robert
Réaliser que chacun est seul face à un destin exclusif n'est pas aisé. Une prise de conscience portée par un dernier plan surréaliste, lorsque Enid quitte la ville seule dans un bus dont la ligne est censée ne pas exister, sa destinée personnelle donc.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Romain Le Vern
Ghost World, authentique réussite, est une très agréable surprise qui hante longtemps l'esprit et qui déride savamment les zygomatiques tout en fredonnant une mélodie délicieusement morose. Un film qui a autant d'ambition pour ses spectateurs ne peut être qu'excellent.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Terry Zwigoff adapte Ghost World, la bande dessinée culte de Daniel Clowes : une peinture juste et ironique du délicat passage de l'enfance à l'âge adulte, pour l'un des plus beaux films sur l'adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Novaplanet.com
par Alex Masson
Ghost World, chronique de l'âge ordinaire, confirme que certains cinéastes américains ont tout compris à l'âge pas tendre.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Aden
par Philippe Piazzo
Si un petit film modeste, tendre et intelligent vous tente, voilà : ne le laissez pas filer.
Cahiers du Cinéma
par Lise Bellynck
Ghost World est la goutte d'acide sur la plaie de la classe moyenne américaine.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-François Rauger
La simplicité appuyée de la mise en scène, l'usage d'éléments légèrement oniriques ou symboliques font de Ghost World un film subtilement décalé, délicatement fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Garnier
Spleen adolescent sur fond de monde marchand terrifiant : après son fameux documentaire sur le dessinateur Crumb, l'Américain Terry Zwigoff réussit l'adaptation de "Ghost World", la BD-culte de Daniel Clowes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Le film révèle une fois de plus, si besoin était, l'étendue du talent de Thora Birch (...) et de la trop rare Illeana Douglas, absolument hilarante en professeur de dessin décalquée. Petite déception en revanche pour Steve Buscemi, curieusement trop sobre.
Positif
par Pierre Eisenreich
Qu'un premier film ose aujourd'hui dénoncer un système d'exploitation inique, devenu majoritaire et malgré tout vital pour la carrière de cette production, démontre un courage et une grande conscience sociale.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Mathieu Carratier
Dans ce rôle à double foyer, Thora Birch confirme tout le bien qu'on pensait d'elle depuis American Beauty. Et bien plus encore.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par François Gorin
C'est aussi le dessin grandeur nature d'une petite idée de l'Amérique telle qu'on aimerait la voir plus souvent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Stéphane Brisset
Incarnation de cette Enid dont les désirs contradictoires se cognent aux réalités du monde, la comédienne Thora Birch promène sa mauvaise humeur avec tant d'intelligence qu'elle gomme toutes les aspérités antipathiques de l'héroïne.
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
L'ensemble du film est à l'aune de son héroïne, tout en charmes et en nuances...
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Obejctif-Cinema.com
par Yves Gaillard
Des stéréotypes féminins grossiers (la professeur d'art plastique fofolle, la maîtresse de Seymour hygiénique et sportive) sont introduits par les auteurs du film, sans autre justification semble-t-il que de surligner l'impossible épanouissement de son héroïne dans une condition féminine adulte.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Chronic'art.com
Réaliser que chacun est seul face à un destin exclusif n'est pas aisé. Une prise de conscience portée par un dernier plan surréaliste, lorsque Enid quitte la ville seule dans un bus dont la ligne est censée ne pas exister, sa destinée personnelle donc.
Cine Libre
Ghost World, authentique réussite, est une très agréable surprise qui hante longtemps l'esprit et qui déride savamment les zygomatiques tout en fredonnant une mélodie délicieusement morose. Un film qui a autant d'ambition pour ses spectateurs ne peut être qu'excellent.
Les Inrockuptibles
Terry Zwigoff adapte Ghost World, la bande dessinée culte de Daniel Clowes : une peinture juste et ironique du délicat passage de l'enfance à l'âge adulte, pour l'un des plus beaux films sur l'adolescence.
Novaplanet.com
Ghost World, chronique de l'âge ordinaire, confirme que certains cinéastes américains ont tout compris à l'âge pas tendre.
Aden
Si un petit film modeste, tendre et intelligent vous tente, voilà : ne le laissez pas filer.
Cahiers du Cinéma
Ghost World est la goutte d'acide sur la plaie de la classe moyenne américaine.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
La simplicité appuyée de la mise en scène, l'usage d'éléments légèrement oniriques ou symboliques font de Ghost World un film subtilement décalé, délicatement fantastique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Spleen adolescent sur fond de monde marchand terrifiant : après son fameux documentaire sur le dessinateur Crumb, l'Américain Terry Zwigoff réussit l'adaptation de "Ghost World", la BD-culte de Daniel Clowes.
MCinéma.com
Le film révèle une fois de plus, si besoin était, l'étendue du talent de Thora Birch (...) et de la trop rare Illeana Douglas, absolument hilarante en professeur de dessin décalquée. Petite déception en revanche pour Steve Buscemi, curieusement trop sobre.
Positif
Qu'un premier film ose aujourd'hui dénoncer un système d'exploitation inique, devenu majoritaire et malgré tout vital pour la carrière de cette production, démontre un courage et une grande conscience sociale.
Première
Dans ce rôle à double foyer, Thora Birch confirme tout le bien qu'on pensait d'elle depuis American Beauty. Et bien plus encore.
Télérama
C'est aussi le dessin grandeur nature d'une petite idée de l'Amérique telle qu'on aimerait la voir plus souvent.
Zurban
Incarnation de cette Enid dont les désirs contradictoires se cognent aux réalités du monde, la comédienne Thora Birch promène sa mauvaise humeur avec tant d'intelligence qu'elle gomme toutes les aspérités antipathiques de l'héroïne.
TéléCinéObs
L'ensemble du film est à l'aune de son héroïne, tout en charmes et en nuances...
Obejctif-Cinema.com
Des stéréotypes féminins grossiers (la professeur d'art plastique fofolle, la maîtresse de Seymour hygiénique et sportive) sont introduits par les auteurs du film, sans autre justification semble-t-il que de surligner l'impossible épanouissement de son héroïne dans une condition féminine adulte.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com