Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Aden
par Isabelle Danel
Dans des décors follement sixties, Leonardo Di Caprio, incroyablement séduisant, et Tom Hanks, bourru-bougon épatant, foncent à cent à l'heure et nous entraînent à leur suite dans l'éternelle histoire racontée par Spielberg, de E.T., l'extra-terrestre à AI, intelligence artificielle. Celle d'un petit garçon perdu sans sa famille et qui se cherche un papa, ou au moins un ami.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par MichaëL Mélinard
Si l'on ne veut y voir qu'un divertissement, Arrête-moi si tu peux est une très grande réussite (...). Et qu'importe si Spielberg et son scénariste, Jeff Nathanson, ont pris quelques distances avec la réalité. Si on a pu reprocher au réalisateur de lui préférer l'efficacité lorsqu'il s'est attelé à la "grande histoire", on ne peut qu'être séduit par la fougue de ce savoureux jeu du chat et de la souris.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Alain Grasset
Un fim frais et pétillant comme du champagne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Inspiré par un authentique faussaire, le réalisateur de Minority Report signe une comédie policière pétillante où Leonardo DiCaprio incarne avec superbe un faussaire de grand charme. Un délice.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Mad Movies
par Rafik Djoumi
Formellement, Arrête-moi si tu peux est un film lumineux, joyeux, un des rares Spielberg où les visages des comédiens sont éclairés le plus souvent de face, composant l'essentiel du cadre d'un sourire enjôleur.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Obejctif-Cinema.com
par Magali Hamard
Outre des répliques savoureuses (les métaphores paternelles, tout un poème), le film tire sa force comique grâce à des scènes d'escroqueries, où souvent les victimes tendent le bâton pour se faire battre, qui atteignent des sommets de fantaisie. Un côté ludique renforcé par le clinquant des Sixties.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Télérama
par Frédéric Strauss
D'une histoire vraie, Spielberg a fait un de ses films les plus personnels. Et cette comédie "sans prétention" se révèle sa plus profonde rêverie autour de l'enfance et de ses sortilèges.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Clélia Cohen
Beaucoup de plaisir, donc, à la vision d'Arrête-moi si tu peux, où Steven Spielberg s'offre une récréation sixties colorée (...).
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Arrête-moi si tu peux, ou comment on se retrouve face à un écran de cinéma, est aussi l'histoire de cet éloignement par rapport à soi-même. Cela dit, c'est avant tout un film ludique et plaisant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
Toujours excellent interprète, Christopher Walken campe un filou attendrissant. Tom Hanks, en agent du FBI pincé et professionnel jusqu'au bout des ongles, est parfait et enchaîne de plus en plus de rôles de composition. DiCaprio, quant à lui, ne compose pas plus que d'habitude et joue sagement son rôle d'adolescent aux multiples personnalités.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Voilà un film qui a tout pour réjouir : de l'humour, du charme, du dynamisme, le talent fou de Spielberg et de ses interprètes, et cette vérité plaisante à croire, que l'honnêteté peut être aussi payante que l'escroquerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cinéaste enfantin, Spielberg n'est pas puéril au point d'ignorer le poids de la réalité. Quand les deux registres du film se rejoignent, quand le rêve se fracasse sur la réalité, Attrape-moi si tu peux s'arrête de tourner sur lui même, et l'étourdissement fait place au vertige.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Mais cette success story emprunte un chemin plutôt original et se pose quelques questions suffisamment importantes pour que les derniers contempteurs recensés de Spielberg y trouvent un un intérêt. Les autres, majoritaires de toute façon, seront conquis d'avance par l'emballage parfait de ce bon divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Steven Spielberg, 56 ans, semble touché par la mélancolie de la maturité. Il y a dans Catch Me... un éloge du faux et du faussaire qui va à l'encontre des puissances de la sincérité qui prévalait chez lui jusqu'alors.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Alors ARRETE-MOI SI TU PEUX est peut-être une fantaisie mineure dans la filmographie de Spielberg, mais il serait malgré tout dommage de bouder le plaisir qu'elle procure.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Le seul défaut d'Arrête-moi si tu peux, on le trouverait au final. Même si l'anecdote est authentique, elle ressemble trop à une tentative de ressusciter cet âge par une idyllique rédemption (...). Ce qui, même si cela nuit à la tonalité de son film, douce-amère (jamais très éloignée des 400 coups de Truffaut, auquel il fait de nombreux clins d'oeil) le rend d'autant plus attachant.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Première
par Gérard Delorme
Malgré des longueurs, l'ensemble est léger et dynamique comme un ballet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Cerise sur le gâteau : Nathalie Baye, délicieuse dans le rôle de la maman frenchie, et donc un rien dévergondée, de ce fieffé coquin.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Benjamin Braddock
Avec une histoire incroyable mais vraie, Spielberg réussit à rendre son récit pas crédible pour un sou. Malgré un magnifique générique et deux trois bons moments, le film reste un produit de plus, tiède, boursouflé, sans rythme. Si Spielberg est le roi incontesté d'Hollywood, il n'en est pas pour autant un artiste. Son point de vue ici ne dépasse pas celui d'un gamin de six ans accro au Carambar.
Aden
Dans des décors follement sixties, Leonardo Di Caprio, incroyablement séduisant, et Tom Hanks, bourru-bougon épatant, foncent à cent à l'heure et nous entraînent à leur suite dans l'éternelle histoire racontée par Spielberg, de E.T., l'extra-terrestre à AI, intelligence artificielle. Celle d'un petit garçon perdu sans sa famille et qui se cherche un papa, ou au moins un ami.
L'Humanité
Si l'on ne veut y voir qu'un divertissement, Arrête-moi si tu peux est une très grande réussite (...). Et qu'importe si Spielberg et son scénariste, Jeff Nathanson, ont pris quelques distances avec la réalité. Si on a pu reprocher au réalisateur de lui préférer l'efficacité lorsqu'il s'est attelé à la "grande histoire", on ne peut qu'être séduit par la fougue de ce savoureux jeu du chat et de la souris.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Un fim frais et pétillant comme du champagne.
Les Echos
Inspiré par un authentique faussaire, le réalisateur de Minority Report signe une comédie policière pétillante où Leonardo DiCaprio incarne avec superbe un faussaire de grand charme. Un délice.
Mad Movies
Formellement, Arrête-moi si tu peux est un film lumineux, joyeux, un des rares Spielberg où les visages des comédiens sont éclairés le plus souvent de face, composant l'essentiel du cadre d'un sourire enjôleur.
Obejctif-Cinema.com
Outre des répliques savoureuses (les métaphores paternelles, tout un poème), le film tire sa force comique grâce à des scènes d'escroqueries, où souvent les victimes tendent le bâton pour se faire battre, qui atteignent des sommets de fantaisie. Un côté ludique renforcé par le clinquant des Sixties.
Télérama
D'une histoire vraie, Spielberg a fait un de ses films les plus personnels. Et cette comédie "sans prétention" se révèle sa plus profonde rêverie autour de l'enfance et de ses sortilèges.
Cahiers du Cinéma
Beaucoup de plaisir, donc, à la vision d'Arrête-moi si tu peux, où Steven Spielberg s'offre une récréation sixties colorée (...).
Chronic'art.com
Arrête-moi si tu peux, ou comment on se retrouve face à un écran de cinéma, est aussi l'histoire de cet éloignement par rapport à soi-même. Cela dit, c'est avant tout un film ludique et plaisant.
Cinopsis.com
Toujours excellent interprète, Christopher Walken campe un filou attendrissant. Tom Hanks, en agent du FBI pincé et professionnel jusqu'au bout des ongles, est parfait et enchaîne de plus en plus de rôles de composition. DiCaprio, quant à lui, ne compose pas plus que d'habitude et joue sagement son rôle d'adolescent aux multiples personnalités.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Voilà un film qui a tout pour réjouir : de l'humour, du charme, du dynamisme, le talent fou de Spielberg et de ses interprètes, et cette vérité plaisante à croire, que l'honnêteté peut être aussi payante que l'escroquerie.
Le Monde
Cinéaste enfantin, Spielberg n'est pas puéril au point d'ignorer le poids de la réalité. Quand les deux registres du film se rejoignent, quand le rêve se fracasse sur la réalité, Attrape-moi si tu peux s'arrête de tourner sur lui même, et l'étourdissement fait place au vertige.
Les Inrockuptibles
Mais cette success story emprunte un chemin plutôt original et se pose quelques questions suffisamment importantes pour que les derniers contempteurs recensés de Spielberg y trouvent un un intérêt. Les autres, majoritaires de toute façon, seront conquis d'avance par l'emballage parfait de ce bon divertissement.
Libération
Steven Spielberg, 56 ans, semble touché par la mélancolie de la maturité. Il y a dans Catch Me... un éloge du faux et du faussaire qui va à l'encontre des puissances de la sincérité qui prévalait chez lui jusqu'alors.
MCinéma.com
Alors ARRETE-MOI SI TU PEUX est peut-être une fantaisie mineure dans la filmographie de Spielberg, mais il serait malgré tout dommage de bouder le plaisir qu'elle procure.
Novaplanet.com
Le seul défaut d'Arrête-moi si tu peux, on le trouverait au final. Même si l'anecdote est authentique, elle ressemble trop à une tentative de ressusciter cet âge par une idyllique rédemption (...). Ce qui, même si cela nuit à la tonalité de son film, douce-amère (jamais très éloignée des 400 coups de Truffaut, auquel il fait de nombreux clins d'oeil) le rend d'autant plus attachant.
Première
Malgré des longueurs, l'ensemble est léger et dynamique comme un ballet.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Cerise sur le gâteau : Nathalie Baye, délicieuse dans le rôle de la maman frenchie, et donc un rien dévergondée, de ce fieffé coquin.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Avec une histoire incroyable mais vraie, Spielberg réussit à rendre son récit pas crédible pour un sou. Malgré un magnifique générique et deux trois bons moments, le film reste un produit de plus, tiède, boursouflé, sans rythme. Si Spielberg est le roi incontesté d'Hollywood, il n'en est pas pour autant un artiste. Son point de vue ici ne dépasse pas celui d'un gamin de six ans accro au Carambar.