Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
(...) grâce à son savoir-faire, ce dernier (Ridley Scott) sort haut la main de ce projet délicat. (...) Après GLADIATOR, la route des Oscars lui est à nouveau ouverte.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
On aurait aimé plus de franchise et de courage dans la dénonciation car cette fin conserve un reste de flatterie patriotique atténuant un propos potentiellement subversif, surtout en temps de guerre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
En bref, nous serions en présence d'un bon film de guerre solidement ficelé, osé même, car il n'en est pas tant qui racontent une déroute, s'il n'épousait de manière aussi cocardière le point de vue américain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
A l'inverse du Coppola d'Apocalypse Now, il se moque de la politique. La Chute du faucon noir se concentre sur la mission de sauvetage de soldats acculés, dans un centre urbain, à des Somaliens équipés de mitraillettes AK-47. Ce film semble conçu pour apparaître sur une PlayStation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
La Chute du faucon noir, malgré l'audace de son sujet (...) est donc une production de série, et un film de propagande de plus. (...) Un message pour le moins opportuniste, reçu cinq sur cinq par le public américain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Garnier
Le but déclaré de la Chute du faucon noir est de faire de l'antispectacle, de ne glorifier ni la guerre ni les soldats. Mais le film réussit cette gageure de glorifier les combattants de ce qui reste le plus étonnant fiasco américain de récente mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
Au lieu de renforcer le réalisme, la débauche d'artifices contribue à détourner l'attention de la dimension historique du film, au risque de la réduire à un jeu vidéo où l'ennemi n'a pas de visage et le décompte des morts plus aucune importance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
Le scénario gomme hélas les aspérités d'un sujet audacieux et encore brûlant (...). Ridley Scott participe lui-même à cette banalisation du propos à force de se désintéresser des personnages, perdus dans des décors qui libèrent toute leur puissance en plans larges.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
La peur, l'agressivité, le malaise, tous les enjeux humains de la guerre sont (...) réduits à de pures conventions, ce qui laisse le film très loin derrière La ligne rouge de Terrence Malick pour ne citer que lui.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
(...) un carton final nous apprend que cette défaite a fait 18 morts et 73 blessés côté américain, et des milliers côté africain. Défilent alors le nom des 18 Américains. Pas la place pour les milliers d'Africains, on comprend bien.
Africultures.com
par Olivier Barlet
Pour qui n'est pas convaincu que l'armée américaine sauve le monde en intervenant en Somalie ou en Afghanistan, le film est d'un vide impressionnant. La nausée qu'il provoque ne vient pas de sa violence, qui n'a rien de bien nouveau, mais de sa malheureuse laideur.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Cine Libre
par David Perrault
La Chute du Faucon Noir est artificiel, truqué ? D'où vient ce sentiment désagréable de n'assister qu'à un long jeu vidéo pénible (2h23 !) où tout ce qui apparaît dans notre champ de vision doit être détruit ? Il ne faut pas chercher bien loin...
Novaplanet.com
par Alex Masson
La chute du faucon noir retourne aux fonctions shématiques du western dans ce qu'elles ont de plus basiques: bons contre méchants. Brav'recrues américaines contre méchants Noirs.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
MCinéma.com
(...) grâce à son savoir-faire, ce dernier (Ridley Scott) sort haut la main de ce projet délicat. (...) Après GLADIATOR, la route des Oscars lui est à nouveau ouverte.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Chronic'art.com
On aurait aimé plus de franchise et de courage dans la dénonciation car cette fin conserve un reste de flatterie patriotique atténuant un propos potentiellement subversif, surtout en temps de guerre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
En bref, nous serions en présence d'un bon film de guerre solidement ficelé, osé même, car il n'en est pas tant qui racontent une déroute, s'il n'épousait de manière aussi cocardière le point de vue américain.
Le Monde
A l'inverse du Coppola d'Apocalypse Now, il se moque de la politique. La Chute du faucon noir se concentre sur la mission de sauvetage de soldats acculés, dans un centre urbain, à des Somaliens équipés de mitraillettes AK-47. Ce film semble conçu pour apparaître sur une PlayStation.
Les Inrockuptibles
La Chute du faucon noir, malgré l'audace de son sujet (...) est donc une production de série, et un film de propagande de plus. (...) Un message pour le moins opportuniste, reçu cinq sur cinq par le public américain.
Libération
Le but déclaré de la Chute du faucon noir est de faire de l'antispectacle, de ne glorifier ni la guerre ni les soldats. Mais le film réussit cette gageure de glorifier les combattants de ce qui reste le plus étonnant fiasco américain de récente mémoire.
Première
Au lieu de renforcer le réalisme, la débauche d'artifices contribue à détourner l'attention de la dimension historique du film, au risque de la réduire à un jeu vidéo où l'ennemi n'a pas de visage et le décompte des morts plus aucune importance.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le scénario gomme hélas les aspérités d'un sujet audacieux et encore brûlant (...). Ridley Scott participe lui-même à cette banalisation du propos à force de se désintéresser des personnages, perdus dans des décors qui libèrent toute leur puissance en plans larges.
Urbuz
La peur, l'agressivité, le malaise, tous les enjeux humains de la guerre sont (...) réduits à de pures conventions, ce qui laisse le film très loin derrière La ligne rouge de Terrence Malick pour ne citer que lui.
Aden
(...) un carton final nous apprend que cette défaite a fait 18 morts et 73 blessés côté américain, et des milliers côté africain. Défilent alors le nom des 18 Américains. Pas la place pour les milliers d'Africains, on comprend bien.
Africultures.com
Pour qui n'est pas convaincu que l'armée américaine sauve le monde en intervenant en Somalie ou en Afghanistan, le film est d'un vide impressionnant. La nausée qu'il provoque ne vient pas de sa violence, qui n'a rien de bien nouveau, mais de sa malheureuse laideur.
Cine Libre
La Chute du Faucon Noir est artificiel, truqué ? D'où vient ce sentiment désagréable de n'assister qu'à un long jeu vidéo pénible (2h23 !) où tout ce qui apparaît dans notre champ de vision doit être détruit ? Il ne faut pas chercher bien loin...
Novaplanet.com
La chute du faucon noir retourne aux fonctions shématiques du western dans ce qu'elles ont de plus basiques: bons contre méchants. Brav'recrues américaines contre méchants Noirs.