Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Les assassins deviennent presque victimes, malheureux produits d'une société par trop étouffante. En entretenant cette ambiguïté évidemment gênante, Kore-Eda pointe du doigt l'insondable complexité de l'âme humaine et par extension l'impossibilité de porter des jugements aussi définitifs que la peine de mort.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Philippe Leclercq
Distance revêt une forme qui tient à la fois du documentaire et de la fiction. Fiction (...) qui consiste à retourner sur un lieu précis pour y rencontrer des gens (...). Documentaire au sens de l'enquête que chacun fait sur soi en pareil cas, (...) ce que le film de Kore-Eda mime parfaitement dans un style rigoureux et dépouillé.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Cette capacité de faire passer les questions qui hantent ainsi les quatre pèlerins, englués dans des souvenirs dont ils ne saisissent pas les déterminations profondes, du plan psychologique au plan esthétique, fait tout le prix du film singulier de Hirokazu Kore-Eda.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
La beauté du style de Kore Eda, c'est cela répété à l'envie: (...) Tourner, éperdument, autour d'un lac inquiétant de calme, où dorment des spectres terroristes. Deux heures d'exorcisme. (...) On croit être tenu à distance. Et puis, progressivement, on se prend à tenir à Distance. A y tenir même beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Olivier De Bruyn
Mélangeant les temporalités et les images mentales, le nouveau film de Kore-Eda, ambitieux et lancinant, cherche à rendre compte des traumatismes intérieurs de personnages fâchés avec la sérénité et les codes moraux du Japon.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Son film est assez impassible, comme si l'essentiel était caché, inssaisisable. C'est parfois frustrant, mais le trouble que suscite ce portrait de groupe finit par être éclairant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Le foisonnement de la verdure, l'eau lisse d'un lac, le crépitement nocturne d'un feu de bois, la forêt comme lieu diffus d'un passage secret vers le royaume des morts et d'une réconciliation impossible avec ceux qui l'habitent : telle est la belle idée de ce film magnétique et tourmenté.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Sa mise en scène est belle mais discrétion, allusions et longues plages d'attente finissent par glisser vers le détachement. Ce flottement s'étirant sur deux heures douze, il faut au spectateur une certaine abnégation pour l'apprécier.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Distance (...) pâtit peut-être de l'altitude à laquelle la barre avait-été placée et ce n'est que prudemment sussurée du bout des lèvres qu'on avouera notre légère déception, accordant le droit à la beauté et au pouvoir de fascination du film de se tenir tapis dans les limbes des plans plutôt que de s'afficher plein écran.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
La mise en scène mêle intelligemment les retours en arrière et les autres séquences. Cependant, la beauté formelle du film est un peu figée par le propos et par la froideur, voire la raideur de la mise en scène, certes réussie, mais clinique.
La critique complète est disponible sur le site MCinéma.com
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Trop occupé à vouloir réhabiliter "ses" morts et à critiquer les vivants, il semble perdre le contrôle de son film (...). Vers la fin du film, la seule solution qu'il trouve pour revenir à ses personnages vivants tient dans une intrigue dont l'intérêt échappe totalement au spectateur, relativement épuisé par la durée du film (plus de deux heures).
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Chronic'art.com
Les assassins deviennent presque victimes, malheureux produits d'une société par trop étouffante. En entretenant cette ambiguïté évidemment gênante, Kore-Eda pointe du doigt l'insondable complexité de l'âme humaine et par extension l'impossibilité de porter des jugements aussi définitifs que la peine de mort.
Cine Libre
Distance revêt une forme qui tient à la fois du documentaire et de la fiction. Fiction (...) qui consiste à retourner sur un lieu précis pour y rencontrer des gens (...). Documentaire au sens de l'enquête que chacun fait sur soi en pareil cas, (...) ce que le film de Kore-Eda mime parfaitement dans un style rigoureux et dépouillé.
Le Monde
Cette capacité de faire passer les questions qui hantent ainsi les quatre pèlerins, englués dans des souvenirs dont ils ne saisissent pas les déterminations profondes, du plan psychologique au plan esthétique, fait tout le prix du film singulier de Hirokazu Kore-Eda.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
La beauté du style de Kore Eda, c'est cela répété à l'envie: (...) Tourner, éperdument, autour d'un lac inquiétant de calme, où dorment des spectres terroristes. Deux heures d'exorcisme. (...) On croit être tenu à distance. Et puis, progressivement, on se prend à tenir à Distance. A y tenir même beaucoup.
Première
Mélangeant les temporalités et les images mentales, le nouveau film de Kore-Eda, ambitieux et lancinant, cherche à rendre compte des traumatismes intérieurs de personnages fâchés avec la sérénité et les codes moraux du Japon.
Télérama
Son film est assez impassible, comme si l'essentiel était caché, inssaisisable. C'est parfois frustrant, mais le trouble que suscite ce portrait de groupe finit par être éclairant.
Urbuz
Le foisonnement de la verdure, l'eau lisse d'un lac, le crépitement nocturne d'un feu de bois, la forêt comme lieu diffus d'un passage secret vers le royaume des morts et d'une réconciliation impossible avec ceux qui l'habitent : telle est la belle idée de ce film magnétique et tourmenté.
Aden
Sa mise en scène est belle mais discrétion, allusions et longues plages d'attente finissent par glisser vers le détachement. Ce flottement s'étirant sur deux heures douze, il faut au spectateur une certaine abnégation pour l'apprécier.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Distance (...) pâtit peut-être de l'altitude à laquelle la barre avait-été placée et ce n'est que prudemment sussurée du bout des lèvres qu'on avouera notre légère déception, accordant le droit à la beauté et au pouvoir de fascination du film de se tenir tapis dans les limbes des plans plutôt que de s'afficher plein écran.
MCinéma.com
La mise en scène mêle intelligemment les retours en arrière et les autres séquences. Cependant, la beauté formelle du film est un peu figée par le propos et par la froideur, voire la raideur de la mise en scène, certes réussie, mais clinique.
Fluctuat.net
Trop occupé à vouloir réhabiliter "ses" morts et à critiquer les vivants, il semble perdre le contrôle de son film (...). Vers la fin du film, la seule solution qu'il trouve pour revenir à ses personnages vivants tient dans une intrigue dont l'intérêt échappe totalement au spectateur, relativement épuisé par la durée du film (plus de deux heures).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com