La Machine à explorer le temps - Time machine : Critique presse
La Machine à explorer le temps - Time machine
Note moyenne
2,4
12 titres de presse
MCinéma.com
Ciné Live
L'Express
Première
Aden
Chronic'art.com
Cinopsis.com
Le Monde
Studio Magazine
Télérama
Urbuz
Zurban
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
Guy Pearce (MEMENTO, LA CONFIDENTIAL) est dans la place : il crève l'écran. Malgré la grandiloquence de Jeremy Irons en sous Marilyn Manson / UberMorlock (sic), malgré la musique parfois un peu trop Deep Forest, nous voici devant un excellent divertissement maîtrisé, haletant, exotique et drôle.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Denis Rossano
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Christian Jauberty
Au milieu d'amusantes trouvailles visuelles, les efforts des comédiens se perdent, victimes de la caractérisation grossière des personnages. Le résultat exprime aussi peu de passion qu'il n'en inspire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
(...) rien ne va plus. Le téméraire voyageur découvre notre sombre avenir, dans lequel une méchante tribu de mutants laborieux dévore chaque jour des membres d'une gentille tribu pacifique et passive. Et le spectateur, lui, voit le film virer au kitsch sentencieux.
Chronic'art.com
par David Vincent
(...) les monstres ressemblent à d'atroces Gremlins géants et leur animation grotesque évoque une véritable foire à l'effet numérique de seconde zone. S'y ajoute un grand gourou incarné par Jeremy Irons achevant de faire basculer le tout dans une bouillabaisse psychédélico-scientologique totalement affligeante. Le film fonctionne par effet boule-de-neige, devenant une sorte de bouffissure cinématographique sans nom.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Olivier Loncin
THE TIME MACHINE, version 2002 réalisée par l'arrière petit fils de l'écrivain, souffre de tous les maux du pire cinéma fastfood étiquetté Hollywood. A savoir, des effets visuels hypertrophiés supposés compenser un scénario atrophié au coeur desquels se débattent des acteurs en roue libre.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Cette version est hantée par une lourde idéologie New Age sublimée par la pompeuse musique employée. La laideur des images est par ailleurs rédhibitoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
(...) un moche remake de La Planète des Singes, alourdi par des effets spéciaux numériques terrifiants de laideur. Summum du ridicule : l'intervention de Jeremy Irons en vieillard albinos aux superpouvoirs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Le reste du film est à l'avenant de ce climat de niaiserie atemporel. Les Morlocks sont très vilains, les Éloïs ont dû être recrutés pour une pub Tahiti douche, et Jeremy Irons, déguisé en Marilyn Manson albinos, ressemble au fruit des amours interdits d'un(e) Morlock et d'un(e) Éloï.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Julien Grunberg
Si La Machine à explorer le temps n'était qu'un mauvais film fantastique de plus, une série B pour adolescents, ou encore une machine à faire passer le samedi soir, on n'aurait pas envie de s'insurger. Seulement voilà: en plus d'être assommant visuellement, le film a aussi la prétention de dire des choses. Profond...
MCinéma.com
Guy Pearce (MEMENTO, LA CONFIDENTIAL) est dans la place : il crève l'écran. Malgré la grandiloquence de Jeremy Irons en sous Marilyn Manson / UberMorlock (sic), malgré la musique parfois un peu trop Deep Forest, nous voici devant un excellent divertissement maîtrisé, haletant, exotique et drôle.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Au milieu d'amusantes trouvailles visuelles, les efforts des comédiens se perdent, victimes de la caractérisation grossière des personnages. Le résultat exprime aussi peu de passion qu'il n'en inspire.
Aden
(...) rien ne va plus. Le téméraire voyageur découvre notre sombre avenir, dans lequel une méchante tribu de mutants laborieux dévore chaque jour des membres d'une gentille tribu pacifique et passive. Et le spectateur, lui, voit le film virer au kitsch sentencieux.
Chronic'art.com
(...) les monstres ressemblent à d'atroces Gremlins géants et leur animation grotesque évoque une véritable foire à l'effet numérique de seconde zone. S'y ajoute un grand gourou incarné par Jeremy Irons achevant de faire basculer le tout dans une bouillabaisse psychédélico-scientologique totalement affligeante. Le film fonctionne par effet boule-de-neige, devenant une sorte de bouffissure cinématographique sans nom.
Cinopsis.com
THE TIME MACHINE, version 2002 réalisée par l'arrière petit fils de l'écrivain, souffre de tous les maux du pire cinéma fastfood étiquetté Hollywood. A savoir, des effets visuels hypertrophiés supposés compenser un scénario atrophié au coeur desquels se débattent des acteurs en roue libre.
Le Monde
Cette version est hantée par une lourde idéologie New Age sublimée par la pompeuse musique employée. La laideur des images est par ailleurs rédhibitoire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) un moche remake de La Planète des Singes, alourdi par des effets spéciaux numériques terrifiants de laideur. Summum du ridicule : l'intervention de Jeremy Irons en vieillard albinos aux superpouvoirs.
Urbuz
Le reste du film est à l'avenant de ce climat de niaiserie atemporel. Les Morlocks sont très vilains, les Éloïs ont dû être recrutés pour une pub Tahiti douche, et Jeremy Irons, déguisé en Marilyn Manson albinos, ressemble au fruit des amours interdits d'un(e) Morlock et d'un(e) Éloï.
Zurban
Si La Machine à explorer le temps n'était qu'un mauvais film fantastique de plus, une série B pour adolescents, ou encore une machine à faire passer le samedi soir, on n'aurait pas envie de s'insurger. Seulement voilà: en plus d'être assommant visuellement, le film a aussi la prétention de dire des choses. Profond...