Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Imprévisible, sensuelle et dotée d'une belle énergie créatrice, Salma Hayek incarne avec beaucoup de conviction une artiste en prise directe avec ses passions.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Alain Grasset
Voici un portrait passionnant et coloré de celle que l'écrivain Carlos Fuentes comparaît à une "icône aztèque".
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Obejctif-Cinema.com
par Claudia Collao
Frida peint. Non pour gagner sa vie ou plaire, mais peut-être tout simplement pour réussir à exister. Le film prend alors la force d'une déclaration à la vie tout entière.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Gérard Delorme
Frida est une extraordinaire affirmation de la vie, en même temps qu'il célèbre l'art comme force transcendante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Jennifer Lopez et Madonna ont été intéressées par le personnage de Frida Kahlo... On ne sait pas ce qu'aurait donné leur prestation, mais il y a gros à parier qu'elle n'aurait pas tenu la comparaison avec celle de Salma Hayek. Le spectateur qui connaît, ne serait-ce qu'un peu, l'oeuvre du peintre, sera saisi par la ressemblance entre l'actrice et l'artiste. Salma EST Frida.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Eric Quéméré
Mais la réalisatrice Julie Taymor s'en tire bien : même si le parti pris choisi conduit à une exhaustivité un peu superficielle et que la mise en scène flirte parfois avec l'académique, il se dégage de ce portrait une réelle émotion. En grande partie, il est vrai, grâce à la prestation de Salma Hayek qui, rompant avec les rôles "décoratifs", parvient à insuffler à son personnage une force étonnante.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Les Echos
par Annie Coppermann
Signé par l'Américaine Julie Taymor, célèbre pour son "Roi Lion" monté en " musical " à Broadway, et auteur déjà à l'écran de "Titus", grand clip clinquant au mauvais goût affiché d'après le "Titus Andronicus" de Shakespeare. Elle s'est à peine assagie ici et si son film a de la force, et même une certaine authenticité, il fourmille de clichés et de douteuses trouvailles (...). Mais le personnage est si étonnant, et les interprètes (...) si convaincants qu'on lui pardonne presque...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télérama
par Jacques Morice
Reste un souffle, une intensité, la manière qu'a Frida de vivre pleinement au présent sans rien regretter ni sacrifier. C'est ce qui distingue cette femme libre et entière des icônes maudites habituelles : elle ne choisit pas l'art contre la vie. Le film se veut à l'unisson de ce principe. Hétérogène, éclatant et sombre, tantôt franchement conventionnel, tantôt poignant, il célèbre une artiste qui a fait de son existence une oeuvre d'art.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Mais de clichés habituels en mini-clips assez vulgaires, Julie Taymor ne parvient tout juste qu'à entériner l'absence de dialogue entre une artiste iconisée et la chair ironique de son existence et de son oeuvre.
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Trop rapidement éludée la question du corps de Frida, cruciale chez cette peintre, est à peine évoquée. Cette souffrance à la source de tant de tableaux est bien trop factuelle pour correspondre à l'état d'esprit des toiles nées de ce désespoir. Transformée en parfaite femme la peintre au grand coeur fait la cuisine, aide sa famille, pardonne à son mari et le film prend très vite des allures de chromos naïfs et déjà vu.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Thomas Sotinel
On saura toutefois gré à l'actrice d'avoir fait appel à la réalisatrice Julie Taymor, responsable des moments d'invention du film. Il aurait été sage de trouver un scénariste capable de rendre compte de l'intensité du combat politique de ces années-là. A l'écran, la rivalité entre Rivera et Siqueiros passe pour une querelle d'ivrogne, et l'exil de Trotski pour l'ultime étape d'une croisière du troisième âge.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaroscope
Imprévisible, sensuelle et dotée d'une belle énergie créatrice, Salma Hayek incarne avec beaucoup de conviction une artiste en prise directe avec ses passions.
Le Parisien
Voici un portrait passionnant et coloré de celle que l'écrivain Carlos Fuentes comparaît à une "icône aztèque".
Obejctif-Cinema.com
Frida peint. Non pour gagner sa vie ou plaire, mais peut-être tout simplement pour réussir à exister. Le film prend alors la force d'une déclaration à la vie tout entière.
Première
Frida est une extraordinaire affirmation de la vie, en même temps qu'il célèbre l'art comme force transcendante.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Jennifer Lopez et Madonna ont été intéressées par le personnage de Frida Kahlo... On ne sait pas ce qu'aurait donné leur prestation, mais il y a gros à parier qu'elle n'aurait pas tenu la comparaison avec celle de Salma Hayek. Le spectateur qui connaît, ne serait-ce qu'un peu, l'oeuvre du peintre, sera saisi par la ressemblance entre l'actrice et l'artiste. Salma EST Frida.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Mais la réalisatrice Julie Taymor s'en tire bien : même si le parti pris choisi conduit à une exhaustivité un peu superficielle et que la mise en scène flirte parfois avec l'académique, il se dégage de ce portrait une réelle émotion. En grande partie, il est vrai, grâce à la prestation de Salma Hayek qui, rompant avec les rôles "décoratifs", parvient à insuffler à son personnage une force étonnante.
Les Echos
Signé par l'Américaine Julie Taymor, célèbre pour son "Roi Lion" monté en " musical " à Broadway, et auteur déjà à l'écran de "Titus", grand clip clinquant au mauvais goût affiché d'après le "Titus Andronicus" de Shakespeare. Elle s'est à peine assagie ici et si son film a de la force, et même une certaine authenticité, il fourmille de clichés et de douteuses trouvailles (...). Mais le personnage est si étonnant, et les interprètes (...) si convaincants qu'on lui pardonne presque...
Télérama
Reste un souffle, une intensité, la manière qu'a Frida de vivre pleinement au présent sans rien regretter ni sacrifier. C'est ce qui distingue cette femme libre et entière des icônes maudites habituelles : elle ne choisit pas l'art contre la vie. Le film se veut à l'unisson de ce principe. Hétérogène, éclatant et sombre, tantôt franchement conventionnel, tantôt poignant, il célèbre une artiste qui a fait de son existence une oeuvre d'art.
Cahiers du Cinéma
Mais de clichés habituels en mini-clips assez vulgaires, Julie Taymor ne parvient tout juste qu'à entériner l'absence de dialogue entre une artiste iconisée et la chair ironique de son existence et de son oeuvre.
Fluctuat.net
Trop rapidement éludée la question du corps de Frida, cruciale chez cette peintre, est à peine évoquée. Cette souffrance à la source de tant de tableaux est bien trop factuelle pour correspondre à l'état d'esprit des toiles nées de ce désespoir. Transformée en parfaite femme la peintre au grand coeur fait la cuisine, aide sa famille, pardonne à son mari et le film prend très vite des allures de chromos naïfs et déjà vu.
Le Monde
On saura toutefois gré à l'actrice d'avoir fait appel à la réalisatrice Julie Taymor, responsable des moments d'invention du film. Il aurait été sage de trouver un scénariste capable de rendre compte de l'intensité du combat politique de ces années-là. A l'écran, la rivalité entre Rivera et Siqueiros passe pour une querelle d'ivrogne, et l'exil de Trotski pour l'ultime étape d'une croisière du troisième âge.