Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Echos
par Isabelle Danel
"Quand tu descendras du ciel" est une réussite enthousiasmante parce que, tout en délivrant son message, le film n'oublie jamais, dans ses cadres et ses couleurs, la magie et le merveilleux du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Olivier-Pierre Salvano
Réalisateur de courts métrages réputés, Eric Guirado réussit brillamment son passage au long. Le jeune réalisateur signe un film bouleversant et débordant de générosité, dont l'univers très humain rappelle ceux de Manuel Poirier ou de Ken Loach. Une excellente surprise portée par des acteurs hors pair.
Aden
par Philippe Piazzo
Cette réalité sociale, le réalisateur l'aborde avec une simplicité courageuse : les évènements ne sont pas suivis depuis le camp des opprimés, ni depuis celui des associations qui peuvent leur venir en aide... mais depuis la camionnette de la mairie chargée de l'exécution du "nettoyage".
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Michel Guilloux
L'allongement de la durée ne conduit pour autant pas le cinéaste à délayer. On sent chez lui le plaisir de réunir plus longuement des acteurs en un trio improbable mais efficace : le personnage un tantinet autiste de Benoît Giros se fait une place entre un Serge Riaboukine clodo grizzli grande gueule, grand cour - exercice dans lequel il excelle - et un Jean-François Gallotte, employé modèle tenaillé par doutes et scrupules.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
L'émotion affleure sans cesse jusqu'à une fin en happy end qui laisse s'engouffrer un furieux bonheur de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Tout le film, en fait, ressemble à Jérôme, silhouette de " simple d'esprit " dostoïevskien, à la bonté encombrante, à qui un nouveau venu (Benoît Giros) prête sa présence et son talent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par N. T. Binh
Dans la violence comme dans l'humour, les comédiens sont tous extraordinaires de justesse et d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marc Lalanne
(...) le finale qui transforme une petite exploitation agricole en Luna Park idéal franchit la ligne rouge de la mièvrerie. Il serait injuste d'oublier qu'au préalable, dans un registre proche de l'investigation journalistique, le film a montré en quelques scènes à la sécheresse coupante des réalités rarement filmées.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Les arrêts antimendicité : un sujet honnêtement traité, malgré une tendance à croire au Père Noël.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine De Baecque
C'est plein de bons sentiments, joué sur le mode du naturalisme va-comme-je-te-pousse : un cinéma qui pose des questions, s'il ne se pose pas trop de questions.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Suffisamment édifiant, l'anecdotique cède peu à peu la place à une démonstration alourdie par les bons sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
L'humour des dialogues et l'épaisseur des personnages font heureusement contrepoids.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Les Echos
"Quand tu descendras du ciel" est une réussite enthousiasmante parce que, tout en délivrant son message, le film n'oublie jamais, dans ses cadres et ses couleurs, la magie et le merveilleux du cinéma.
MCinéma.com
Réalisateur de courts métrages réputés, Eric Guirado réussit brillamment son passage au long. Le jeune réalisateur signe un film bouleversant et débordant de générosité, dont l'univers très humain rappelle ceux de Manuel Poirier ou de Ken Loach. Une excellente surprise portée par des acteurs hors pair.
Aden
Cette réalité sociale, le réalisateur l'aborde avec une simplicité courageuse : les évènements ne sont pas suivis depuis le camp des opprimés, ni depuis celui des associations qui peuvent leur venir en aide... mais depuis la camionnette de la mairie chargée de l'exécution du "nettoyage".
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
L'allongement de la durée ne conduit pour autant pas le cinéaste à délayer. On sent chez lui le plaisir de réunir plus longuement des acteurs en un trio improbable mais efficace : le personnage un tantinet autiste de Benoît Giros se fait une place entre un Serge Riaboukine clodo grizzli grande gueule, grand cour - exercice dans lequel il excelle - et un Jean-François Gallotte, employé modèle tenaillé par doutes et scrupules.
Le Parisien
L'émotion affleure sans cesse jusqu'à une fin en happy end qui laisse s'engouffrer un furieux bonheur de vivre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Tout le film, en fait, ressemble à Jérôme, silhouette de " simple d'esprit " dostoïevskien, à la bonté encombrante, à qui un nouveau venu (Benoît Giros) prête sa présence et son talent.
Zurban
Dans la violence comme dans l'humour, les comédiens sont tous extraordinaires de justesse et d'humanité.
Cahiers du Cinéma
(...) le finale qui transforme une petite exploitation agricole en Luna Park idéal franchit la ligne rouge de la mièvrerie. Il serait injuste d'oublier qu'au préalable, dans un registre proche de l'investigation journalistique, le film a montré en quelques scènes à la sécheresse coupante des réalités rarement filmées.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Les arrêts antimendicité : un sujet honnêtement traité, malgré une tendance à croire au Père Noël.
Libération
C'est plein de bons sentiments, joué sur le mode du naturalisme va-comme-je-te-pousse : un cinéma qui pose des questions, s'il ne se pose pas trop de questions.
Première
Suffisamment édifiant, l'anecdotique cède peu à peu la place à une démonstration alourdie par les bons sentiments.
TéléCinéObs
L'humour des dialogues et l'épaisseur des personnages font heureusement contrepoids.