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Simple et juste, La Chambre du fils propose (...) une vision presque entomologiste du travail de deuil accompli par une famille frappée par le décès du fils.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
On ne sort pas indemne de La Stanza del figlio. Le film de Moretti blesse. Il hante notre âme de longues journées encore après sa vision et suscite bien des interrogations. Voici sans conteste l'un des films les plus indispensables de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
(...) Moretti parvient à figurer la douleur sans jamais sombrer dans le pathos et le goût des larmes (...). La Chambre du fils a la beauté simple d'un nouveau départ.
Nul doute qu'avec La chambre du fils, le cinéma de Moretti a franchi un pas décisif et s'est considérablement ouvert, là ou son sujet pouvait laisser redouter un repli supérieur.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
(N. Moretti) aura su trouver des expédients autres que la simple représentation dans sa chronique d'une souffrance - son film est emprunt, jusque dans sa construction même, du sentiment qu'il cherche à peindre, et mêle ainsi rigueur technique et émotion avec bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Ennemi du moindre effet, Nanni Moretti ne verse jamais dans le pathos ni le sentimental alors que l'émotion est toujours au bord des yeux. Bouleversant sans être larmoyant.
(...) un film à pleurer qui pare l'œuvre de Moretti d'une générosité nouvelle. Construit en 3 actes – l'équilibre, le piège dépressif, la possibilité de renouer – il rappelle que le cinéma est aussi le plus délicat des arts funéraires.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
Simple et juste, La Chambre du fils propose (...) une vision presque entomologiste du travail de deuil accompli par une famille frappée par le décès du fils.
Cinopsis.com
On ne sort pas indemne de La Stanza del figlio. Le film de Moretti blesse. Il hante notre âme de longues journées encore après sa vision et suscite bien des interrogations. Voici sans conteste l'un des films les plus indispensables de l'année.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) Moretti agrège les éléments du drame par la seule grâce de ce qu'on ne peut qu'appeler la mise en scène. Grand film.
Le Parisien
(...) Moretti parvient, par une espèce de magie qui confine au génie, à nous bouleverser par la simplicité du traitement.
Les Inrockuptibles
(...) Moretti parvient à figurer la douleur sans jamais sombrer dans le pathos et le goût des larmes (...). La Chambre du fils a la beauté simple d'un nouveau départ.
Urbuz
Nul doute qu'avec La chambre du fils, le cinéma de Moretti a franchi un pas décisif et s'est considérablement ouvert, là ou son sujet pouvait laisser redouter un repli supérieur.
Fluctuat.net
(N. Moretti) aura su trouver des expédients autres que la simple représentation dans sa chronique d'une souffrance - son film est emprunt, jusque dans sa construction même, du sentiment qu'il cherche à peindre, et mêle ainsi rigueur technique et émotion avec bonheur.
Le Figaroscope
Avec "La Chambre du fils" l'oeuvre du cinéaste italien s'ouvre à une autre dimension, plus généreuse, et c'est une bonne nouvelle.
Le Journal du Dimanche
Ennemi du moindre effet, Nanni Moretti ne verse jamais dans le pathos ni le sentimental alors que l'émotion est toujours au bord des yeux. Bouleversant sans être larmoyant.
Les Echos
Difficile, sur un tel sujet, de faire plus minimaliste et plus dense à la fois, plus dépouillé et plus émouvant, plus sensible et moins racoleur.
Première
(...) un film à pleurer qui pare l'œuvre de Moretti d'une générosité nouvelle. Construit en 3 actes – l'équilibre, le piège dépressif, la possibilité de renouer – il rappelle que le cinéma est aussi le plus délicat des arts funéraires.
Cahiers du Cinéma
(...) "un film de la maturité", produit sage et neutre qui pourrait être signé par un autre tant il faut s'ingénier à chercher sa griffe.