Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
Loin des banlieue-films américanisés pour le meilleur ou pour le pire, improbable cousin de Guédiguian, Jean Odoutan fait figure de fils adoptif de la tendance Guitry-Pagnol du cinéma français (...).
Cine Libre
par Fanny Leys
Une bonne humeur communicative. Mais là où l'on prend le plus de plaisir c'est encore à l'écoute des dialogues savoureux que l'homme orchestre nous a encore concoctés. Vifs, drôles et toujours émaillés d'expressions très imagées entendues nulle part ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Libération
par Philippe Azoury
(...) l'arme d'Odoutan, c'est le flow. Une parole, un débit, quelque part entre Sacha Guitry et la battue-aux-mots du rap, une langue de rires acérés, neuve, en formation, qui dénature tout, et repose les choses à leur place, c'est-à-dire pas toujours là où on les attend.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Louis Guichard
(...) cette tragi-comédie bouts de ficelle témoigne d'une jolie avancée plastique. Jean Odoutan a transformé une petite parcelle de Belleville en pimpant décor de bande dessinée, très accordé à l'intrigue (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Rien ne tient et c'est tant mieux, puisque ce film fait de bric et de broc ne carbure qu'à l'énergie brute, au pétrole mal dégrossi.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Mais si le cinéaste s'écoute un peu parler, il ne dit pas que des choses inutiles ; et si la trame dramatique tombe à plat, son actrice principale, Laurentine Milebo, est une Mama Aloko qui, elle, tombe à pic.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au bout du compte, Mama Aloko tire tout le parti possible de son statut de film sans domicile fixe. Le décalage entre le discours et les liens sociaux à l'africaine (...) la coupure entre les générations (...), tous ces symptômes font un malheur qu'Odoutan filme avec l'énergie du désespoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Jean-Baptiste Drouet
Plus micmac que black, cette tentative de cinéma de quartier (le XXème) est si caricaturale qu'elle nuit à la communauté africaine.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Eric Quéméré
A Belleville, le quotidien d'un restaurant africain : ce film dépeint avec complaisance et amateurisme des personnages qui, bien qu'issus de l'immigration, font preuve d'un pénible racisme
Cahiers du Cinéma
Loin des banlieue-films américanisés pour le meilleur ou pour le pire, improbable cousin de Guédiguian, Jean Odoutan fait figure de fils adoptif de la tendance Guitry-Pagnol du cinéma français (...).
Cine Libre
Une bonne humeur communicative. Mais là où l'on prend le plus de plaisir c'est encore à l'écoute des dialogues savoureux que l'homme orchestre nous a encore concoctés. Vifs, drôles et toujours émaillés d'expressions très imagées entendues nulle part ailleurs.
Libération
(...) l'arme d'Odoutan, c'est le flow. Une parole, un débit, quelque part entre Sacha Guitry et la battue-aux-mots du rap, une langue de rires acérés, neuve, en formation, qui dénature tout, et repose les choses à leur place, c'est-à-dire pas toujours là où on les attend.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) cette tragi-comédie bouts de ficelle témoigne d'une jolie avancée plastique. Jean Odoutan a transformé une petite parcelle de Belleville en pimpant décor de bande dessinée, très accordé à l'intrigue (...).
Urbuz
Rien ne tient et c'est tant mieux, puisque ce film fait de bric et de broc ne carbure qu'à l'énergie brute, au pétrole mal dégrossi.
Aden
Mais si le cinéaste s'écoute un peu parler, il ne dit pas que des choses inutiles ; et si la trame dramatique tombe à plat, son actrice principale, Laurentine Milebo, est une Mama Aloko qui, elle, tombe à pic.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Au bout du compte, Mama Aloko tire tout le parti possible de son statut de film sans domicile fixe. Le décalage entre le discours et les liens sociaux à l'africaine (...) la coupure entre les générations (...), tous ces symptômes font un malheur qu'Odoutan filme avec l'énergie du désespoir.
Première
Plus micmac que black, cette tentative de cinéma de quartier (le XXème) est si caricaturale qu'elle nuit à la communauté africaine.
Zurban
A Belleville, le quotidien d'un restaurant africain : ce film dépeint avec complaisance et amateurisme des personnages qui, bien qu'issus de l'immigration, font preuve d'un pénible racisme